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Dr Jean Stevens
J’accuse
Le Président Macron
de Haute Trahison
Une analyse du délitement de nos démocraties au travers du prisme de la crise sanitaire
Auto-édition l’Hétérodoxe
4ème de couverture de "J'accuse le Président Macron de Haute Trahison"
En 2010, Stephane Hessel , diplomate français rescapé de Buchenwald, publie un court pamphlet qui est succès de librairie mondial : « Indignez-vous !». C’est la même indignation, ici doublée de colère, qui est à l’origine de « J’accuse ». Appliqué ici au Président Macron il vise en réalité toutes « élites » politiques de nos démocraties.
Ces deux sentiments sont le fruit d’une longue enquête menée par l’auteur dans le but de comprendre en profondeur une crise sanitaire qui, à ses yeux de clinicien chevronné, semblait « étrange » et même totalement aberrante. Comment une épidémie peut-elle être assimilée à un état de guerre ? Comment des hommes politiques incultes peuvent-ils se constituer en « Conseil de défense » tout-puissant face à un problème médical, et interdire au « Conseil scientifique » qu’ils ont eux-mêmes nommé, d’ouvrir le débat contradictoire qui seul aurait pu garantir la scientificité de leurs décisions ? Comment expliquer l’incroyable unisson mondial de la stratégie sanitaire alors que le moindre projet de politique mondiale met habituellement des années avant d’être adopté ? Comment peut-on gérer une épidémie sans s’appuyer sur la collaboration étroite des médecins généralistes, la première ligne de soins et les seuls médecins ayant une réelle expérience de terrain des épidémies ? A quel titre ces autorités se sont-elles permises de faire fi des « plans pandémie » de l’OMS et des règles déontologiques basiques de la médecine et de la pharmacovigilance ?
comme à l’inacceptable censure (tacitement approuvée par nos autorités politiques alors qu’une telle pratique est totalement illégitime en démocratie et, de plus, gérée par des organismes dépourvus de toute légitimité démocratique), La seule explication logique à toutes ces aberrations consiste à évoquer puis à analyser rationnellement l’hypothèse du « complot mondial ».
Dès qu’on a le courage d’envisager cette hypothèse « incroyable » et psychologiquement particulièrement déstabilisante, le« tableau clinique » de la pandémie devient subitement limpide et cohérent. La Covid n’a été qu’un prétexte sanitaire à un projet politique mondialiste inavoué par nos responsables politiques mais reconnu explicitement par Bill Gates puisqu’il a déclaré que « la pandémie a été un essai grandeur nature de gouvernance mondiale ».
Cela signifie que nos élites politiques ont « vendu » leur âme (leurs engagements démocratiques) à une « puissance étrangère » (une « caste mondialiste ») qui rêve de s’emparer, en coulisse, du pouvoir politique du futur « Nouvel Ordre Mondial », ce qui implique de se débarrasser de nos « démocraties défaillantes » (Klaus Schwab, patron du FEM) en vassalisant tous nos élus nationaux, coupables dès lors de Haute Trahison.
Table des Matières du livre imprimé
Préambule 3
Introduction 5
I : Tromperie 17
Les médias, outil indispensable de la tromperie de masse
L’inimaginable corruption des médias
La première tromperie : le mensonge.
La seconde tromperie : la censure.
La troisième tromperie : la manipulation des lois
Quelques exemples de tromperie flagrante
II : Abus de Pouvoir 37
L’Etat de droit
La confiscation de l’autorité médicale
L’ « état de guerre »
Le conseil de défense
Le Conseil scientifique
III : Charlatanisme 47
Ecarter les « concurrents »
Le serment d’Hippocrate
Le Code de déontologie
Le règlement sanitaire international de l’OMS
Le code de Nuremberg
La convention d’Helsinki
IV : Crime de Masse 63
Crime, meurtre ou homicide ?
Les victimes du déni de soins
Les victimes du plan blanc et de la peur de l’hôpital
Les victimes des vaccinations
Victimes du Rivotril
Victimes de la stratégie de panique planifiée
Des responsabilités pénales différentes
V : Collusion 75
Collusion ou complot ?
Collusion et corruption
La source d’inspiration commune
Le FEM, catalyseur des intérêts mondialistes
L’enjeu de la gouvernance mondiale
Le niveau national de la collusion
Le niveau mondial de la collusion
Les grands acteurs de la collusion
- Le FEM/ L’OMS/ Big Pharma/Big Media/Big Finance
VI : Haute Trahison 103
La dérive totalitaire
Une accusation inédite
Le grief qui explique les cinq autres
Coupables ou victimes ?
Une idée « complotiste » très raisonnable
VII : Pour une thérapeutique spirituelle de la planète 113
Une grille de lecture organiciste de la société
L’organisme planétaire
Annexe : lettre ouverte à mes consœurs et confrères généralistes 119
Table des matières 133
Dr Jean Stevens
J’accuse
Le Président Macron
de Haute Trahison
Une analyse du délitement de nos démocraties au travers du prisme de la crise sanitaire
Préambule
Au nom de mes consoeurs, confrères, collègues et co-citoyens qualifiés depuis cinq ans par nos plus hautes autorités politiques et les médias de complotistes[1]
j’accuse
Le président Macron et ses collaborateurs
deTromperie délibérée de la population, d’Abus de pouvoir, de Charlatanisme, de Crime de masse, de Collusion et en définitive de
Haute Trahison.
(Cette accusation est valable pour la plupart des dirigeants de nos pays dits démocratiques)
- « Trahison » parce que, dans la crise sanitaire, ils ont abusé la confiance du peuple en exploitant délibérément un prétexte sanitaire pour lui imposer, à son insu, un programme politique mondial destructeur des valeurs humanistes de nos sociétés.
- « Haute trahison » parce que, dans le contexte de l’ « état de guerre » factice qu’ils ont eux-mêmes décrété, ils ont « vendu » la souveraineté de l’Etat en matière de santé à des « puissances étrangères », une caste mondialiste dont le projet est incompatible avec les idéaux de nos démocraties.
Je me sens pleinement autorisé à porter cette accusation en vertu de l’« autorité médicale » dont j’ai été légalement investi après une longue formation universitaire (12 ans) qui garantit ma compétence médicale et sur base du serment d’Hippocrate qui garantit ma probité et mon respect des principes éthiques de ma profession. Cette autorité est confortée par 45 ans d’une expérience clinique particulièrement diversifiée et 30 ans d’une recherche scientifique et épistémologique portant sur l’incomplétude de la « médecine scientifique »[2] qui réduit l’homme à un objet complexe dépourvu d’âme.
Ce livre est la prolongation et l’explicitation d’une « lettre ouverte à mes confrères généralistes » (cfr annexe en fin du texte) postée au début de l’année 2025 et visant à éveiller ces praticiens au rôle crucial qu’ils pourraient jouer dans la crise que traverse aujourd’hui notre société gravement menacée par la déshumanisation de leur profession mais aussi par la décadence morale de toute notre société occidentale.
La médecine humaine subit aujourd’hui les attaques puissantes d’une évidente dérive totalitaire. La France, pays des Droits de l’Homme, se doit, plus que tout autre pays, d’être à la tête du combat contre cet ennemi de nos valeurs fondamentales.
Introduction
1- Du titre
Le titre de ce livre fait délibérément référence à l’article publié par Emile Zola dans le journal L’Aurore du 13 janvier 1898. Ici, comme il y a 125 ans dans l’ « affaire Dreyfus », les deux camps (« complotistes » versus « loyalistes », « anti-vax » versus « pro-vax ») s’affrontent sur un mode idéologique qui empêche tout dialogue constructif.
Il est évident, toutefois, que les deux camps ne peuvent pas avoir raison simultanément.
- Soit la « crise » a été gérée par nos autorités politiques dans une perspective exclusivement sanitaire en élaborant une réponse médicalement rationnelle et optimale à une menace réelle pesant sur la santé des citoyens. C’est la thèse des autorités politiques et des « loyalistes » ou « pro-vax ». Dans ce cas, toutes les victimes de la crise sont imputables à la pandémie elle-même et/ou à des erreurs de stratégie (pardonnables vu le contexte de panique générale).
- Soit cette gestion avait un but politique inavoué (car inavouable) et l’épidémie de Covid n’a été qu’un prétexte à cette finalité politique. C’est la thèse des « complotistes » ou « anti-vax ». Ils suspectent une entente secrète (collusion , complot) entre nos dirigeants politiques nationaux et une « caste » d’élites non élues mais très puissantes qui vise à prendre le pouvoir politique dans le futur Nouvel Ordre Mondial. Dans ce cas, les autorités politiques ont trompé délibérément la population et trahi ses engagements puisque cette caste n’a aucune légitimité démocratique. Ils sont alors pleinement responsables de toutes les victimes de ce « mensonge d’Etats » mondial.
La seule façon de trancher entre les deux camps consiste à rouvrir un débat contradictoire public qui a été empêché depuis trois ans par une censure très active. Sans ce type de débat, il ne peut exister ni vérité scientifique ni consensus démocratique.
L’acte d’accusation qui suit se veut une approche rationnelle pleinement assumée de la thèse dite « complotiste ». Elle attend une réponse aussi rationnelle de la part de l’autre camp.
2- De la mondialisation
La mondialisation constitue le principal enjeu politique du XXIème siècle. Elle est, depuis plusieurs décennies, au cœur des réflexions dans les think-tanks privés[3] organisés par les élites (commerciales, financières et politiques) des milieux mondialistes, atlantistes ou européistes, ceux que nous appellerons ici globalement la « caste mondialiste ».
Si, comme le pensent aujourd’hui la majorité des prétendus « complotistes-anti-vax », les réflexions de cette caste mondialiste non élue a inspiré nos autorités politiques élues et leur a même secrètement dicté leur agenda sanitaire durant la crise, le pays n’a plus été géré démocratiquement depuis cinq ans. Les autorités politiques de la nation, vassalisées par cette caste, ont en effet adopté une stratégie sanitaire mondiale dont la conceptualisation et la réalisation ont complètement échappé aux processus habituels du contrôle démocratique. La voix des parlementaires, dont la fonction est de limiter la « puissance publique » en portant la voix du peuple, a été écrasée par la prétendue urgence de cet agenda et une désinformation orchestrée par des médias aux mains de cette caste mondialiste. La voix du peuple a ainsi été remplacée par la voix des médias qui, à l’insu de tous, était affidés à une caste mondialistes et, grâce à une censure très sélective, ne traduisait plus la diversité des opinions du peuple mais une « doctrine » sanitaire et un « narratif » de la pandémie directement inspirés par cette « caste ».
Le citoyen moyen n’a généralement pas conscience que l’avenir de la planète - et donc aussi le sien- est conçu, élaboré et, dans une large mesure déjà, décidé dans des cercles d’élites supranationales dénuées de toute légitimité démocratique. Il pense encore naïvement que, dans son pays, les grandes décisions sont prises, en toute liberté et pour son bien, par les élites qu’il a élues.
Ceux qui ont été élus, par contre, sont très conscients de leur impuissance et du mensonge de la « souveraineté nationale ». Avec le temps, les marges de manœuvre des autorités politiques se sont considérablement rétrécies à cause de la dépendance internationale (européenne) générée par la mondialisation des échanges commerciaux et l’extrême concentration du pouvoir économique et financier dans les mains d’entreprises privées devenues plus puissantes que les Etats.
Pour analyser aujourd’hui un quelconque phénomène social - et la pandémie en est un de taille- il faut impérativement l’aborder d’un point de vue mondial et en pleine conscience qu’une « guerre des Titans » (économiques et financiers) se joue en coulisse autour de la future gouvernance mondiale. Dans les délibérations secrètes de leurs think-tanks, la voix du peuple est absente sauf en tant que « problème », qu’obstacle à l’exercice de leur pouvoir. Leurs élaborations politiques théoriques poussent donc « hors-sol », sans l’indispensable avis du contre-pouvoir populaire ou médiatique. Dans leur esprit, la disparition des « démocraties défaillantes » (dixit Klaus Schwab) est souhaitable et inéluctable.
Cette évidence s’est progressivement imposée à moi quand j’ai essayé de comprendre la crise sanitaire[4]. Tant que j’abordais la situation du point de vue médical et dans le contexte national, la stratégie imposée par nos autorités politiques me semblait, en tant que médecin, étrange et même aberrante, irrationnelle et incompatible avec les principes de la santé publique, de la médecine et de l’éthique.
Ce n’est qu’en adoptant une approche politique et un point de vue mondial que je suis parvenu à comprendre la cohérence de cette stratégie. Sa logique n’était manifestement pas d’ordre sanitaire (visant à protéger notre santé) mais d’ordre politique (visant l’installation d’un « nouvel Ordre Mondial »). Cette finalité étant inavouable, elle a été délibérément cachée aux yeux du peuple par des manœuvres médiatiques de censure ou d’ostracisme (dont l’injure de « complotisme » n’est qu’un exemple) visant tous ceux qui, par leur contestation, semblaient deviner ce caractère politique et pas sanitaire de leur stratégie.
3- De l’autorité
L’accusation que je porte ici est particulièrement grave puisqu’elle met en cause nos plus hauts responsables politiques, ceux qui ont imposé leur stratégie sanitaire pendant ces dernières années. De prime abord, le simple médecin que je suis avait toutes les raisons de penser qu’il n’a pas l’autorité nécessaire pour porter publiquement un jugement sur un phénomène d’ampleur mondiale et de dimension aussi sociale et politique que sanitaire. Cela me semblait dépasser ma compétence.
Très progressivement cependant, j’ai pris conscience que, dans cette crise, ceux qui s’étaient présentés d’emblée comme investis de l’autorité légitime en la matière - nos responsables politiques - étaient en réalité démunis de la compétence et de la légitimité nécessaire à l’exercice de cette autorité[5] dans une situation sanitaire. Ils n’ont en effet ni l’expertise des spécialistes en santé publique, ni la compétence clinique ou technique du médecin, ni surtout ses engagements éthiques.
Par contre, de par mes compétences spécifiques de spécialiste, de scientifique et de chercheur[6] et mon expérience clinique très éclectique[7], je prétends avoir, sur la pandémie, un point de vue beaucoup plus autorisé que toutes les autorités politiques et même que tous les « experts de plateau » interpellés. Du fait de leur diplôme et de leur expérience exclusive de spécialistes, ils ne sont que les détenteurs d’une autorité médicale très limitée, celle de leur petite spécialité. La plupart de ces »experts de plateau » n’ont aucune expérience concrète des épidémies. Seuls les médecins généralistes, qui ont cette expérience (j’ai pratiqué cette non-spécialité durant 7 ans) ont une vision holistique de la santé et auraient pu se targuer de cette autorité.
J’ai donc pris lentement conscience que peu de médecins ont à la fois une bonne expérience de la médecine générale, une compétence scientifique de spécialiste et une conscience aigue de l’incomplétude de la « Science » qui nous cache deux des trois dimensions de la santé[8] (ses dimensions psychologique et sociale), et l’importance cruciale de la relation médecin-malade, base fondamentale de toute vraie médecine.
Nous savons tous intuitivement qu’il existe deux formes d’autorité. L’une est naturelle, celle qui naît de la confiance réciproque, comme c’est le cas dans la relation médecin-malade en médecine générale. L’autre est artificielle. Elle s’impose par la contrainte ou la menace, ce qui a été précisément le cas dans les relations de nos autorités politiques avec les citoyens au cours de cette crise. Les politiciens ont donc imposé sur un mode autoritaire une stratégie que la majorité des médecins généralistes auraient spontanément rejetée. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ils ont, dès le début de la crise, été délibérément écartés de la première ligne de soins et des lieux de décision de la stratégie. Les autorités politiques avaient tiré les conséquences de la « fausse pandémie » H1N1 de 2009 au terme de laquelle Agnès Buzin, alors ministre de la santé a eu le culot d’avouer publiquement que « le seul regret que j’ai dans ma gestion de cette crise est de na pas avoir suffisamment contrôlé (lisez censuré) les propos des complotistes sur les réseaux sociaux ». Or, ils avaient raison puisque la « pandémie » s’est éteinte avant la distribution massive des vaccins…
4- Des deux niveaux de l’accusation
Comme la stratégie sanitaire « folle »[9] et « « irrationnelle » déployée en France est quasiment identique à celle mise en œuvre dans tous les autres pays, il semble évident qu’elle n’a pas été imaginée par nos « petits » hommes politiques nationaux. Ils ne sont que les marionnettes mises en place[10] par des puissances mondiales dépourvues d’identité politique précise et bénéficiant de ce fait d’une forme d’invisibilité politique et d’une immunité juridique. De plus, pour que cette stratégie ait pu réussir, elle a nécessairement dû être très activement soutenue sur le plan financier et médiatique par ces mêmes puissances mondiales. Un « agenda » commun[11] a nécessairement dû être conçu dans des « think-tanks » de niveau mondial, pour expliquer l’étrange unisson des stratégies déployées dans le monde par tous les gouvernements nationaux.
Je focaliserai néanmoins mon attention sur le niveau national parce que, là seulement, les responsables ont une identité politique bien précise, sont soumis à des règles juridiques contraignantes (Constitution, Conventions internationales, lois et règlements nationaux) et sont juridiquement responsables des mesures sanitaires qu’ils ont imposées à la population.
Puisque la même stratégie a été déployée partout, le peuple de chacun de nos pays occidentaux pourrait sans difficulté reprendre, en l’adaptant, mon acte d’accusation à l’adresse de ses propres responsables politiques. Pour que cette accusation aboutisse à une condamnation, il suffirait que, dans chaque pays, la voix du peuple devienne plus puissante que les pressions que cette caste mondialiste (et les autorités politiques qui leurs sont affidées) exerce sur nos propres autorités judiciaires dont l’indépendantes est théoriquement garantie par la Constitution et sur nos médias probablement plus hypnotisés par l’autorité des agences de presses et de leurs propriétaires aux service de la caste que véritablement complices de la manœuvre. Alors seulement, tous les peuples parviendront collectivement à forcer les « éminences grises » de la stratégie sanitaire mondiale à sortir de leur anonymat juridique et à les présenter devant un tribunal international.
5- De la censure
Nul ne peut comprendre l’argumentaire de mon accusation s’il n’a pas une conscience très claire de l’ampleur et de la redoutable efficacité de la censure qui règne depuis plus de quatre ans dans les médias mainstream. Cette situation est inédite depuis la seconde guerre mondiale. C’est en réalité cette conscience qui distingue le plus les « complotistes » des « loyalistes ». Cette censure contrôle avec tellement d’efficacité et de sélectivité les informations médiatiques concernant la pandémie que le citoyen moyen peut rester parfaitement aveugle à son action et continuer à croire, en toute bonne foi, dans le « narratif officiel ». De plus, ce discours est tellement à l’unisson dans tous les pays qu’il doit paraître « inimaginable » au citoyen lambda qu’il ne soit pas conforme à la réalité et à la vérité. Seuls ont échappé à cette désinformation mondiale organisée ceux qui, pour une raison ou un autre, ont découvert des faits qui contredisaient le discours officiel et se sont mis à chercher où se cachait la vérité, découvrant ainsi tout un discours alternatif, parfaitement sensé et autorisé sur le plan scientifique et médical mais comme « effacé » de l’espace public par une censure mondiale anonyme[12].
Contrairement aux populations des systèmes totalitaires et dictatoriaux, les jeunes générations de nos démocraties n’ont jamais connu la censure. Depuis des décennies, au contraire, nous avons été habitués à jouir d’une presse libre nous livrant des informations diversifiées et fiables. Nous percevions ainsi, a priori et en toute confiance, les informations des médias comme un fidèle reflet de la réalité.
Peu de gens, de ce fait, se sont aperçus que ces médias, aujourd’hui aux mains d’une caste d’élites mondialistes très peu soucieuse des principes démocratiques, servaient depuis le début de la crise d’outil de désinformation mondiale particulièrement efficace et discret. A notre insu, ces médias ont mené, dans la population mondiale, une « guerre cognitive » dont le but était de cacher au peuple le projet très peu démocratique de « Nouvel Ordre Mondial » imaginé par la caste mondialiste et de museler la voix de tous ceux qui en prennent conscience. Le citoyen lambda, anesthésié par cette désinformation généralisée, ne prendra conscience de cette censure que si un événement particulier vient réveiller son sens critique[13].
Aujourd’hui, chacun des deux camps idéologiques se nourrit à une source d’information différente, les medias mainstream pour les « loyalistes » et les réseaux alternatifs pour les « complotistes ». Le « bais de confirmation » fait que chacun des camps comprend de moins en moins le comportement du camp adverse, comme deux randonneurs distincts qui, pour se tendre d’un point à un autre dans une région inconnue, se fieraient à deux cartes, deux « guides » différentes, l’un fiable et l’autre falsifié. Toute la question est donc de savoir qui détient la carte fiable.
Pour moi, la réponse est devenue claire quand j’ai pris conscience de l’ampleur du phénomène de la censure. Ce procédé, inadmissible dans les sociétés démocratiques, a toujours pour but de cacher une vérité inavouable. Le fait qu’elle ait été tolérée et même secrètement soutenue[14] par nos autorités politiques durant la pandémie est une preuve que celles-ci avaient quelque chose à nous cacher.
Les preuves de cette censure sont légions et de plus en plus nombreuses depuis que la nouvelle administration politique aux USA a pris le parti de faire la guerre à la censure et de placer aux postes-clé de la Santé Publique de individus qualifiés jusqu’alors de « complotistes ». Cette censure est depuis longtemps évidente à ceux qui se sont branché sur des réseaux d’information « alternatifs » soigneusement choisis. Comme je considère cette censure comme une atteinte gravissime à nos libertés fondamentales mais aussi comme la cause principale du clivage idéologique qui divise notre société, nos familles et la communauté médicale, je pense utile d’en donner quelques exemples concrets de façon à ce que ceux qui n’en sont pas conscients ou qui n’y croient tout simplement pas puissent vérifier par eux-mêmes que l’idée de censure mondiale ne relève pas d’un « complotisme psychiatrique » (paranoïa) mais correspond à un fait vérifiable et donc incontestable.
1-Un simple coup d’œil sur le site français protégé « crowdbunker.com »[15], devrait suffire à convaincre. En haut à gauche de la page d’accueil, il suffit de cliquer sur l’onglet « censurés » et on tombe sur une mine inépuisable de vidéos censurées sur d’autres chaînes. On n’y trouve pas ces vidéos pornos, pédophiles, antisémites, terroristes ou satanistes que nous voudrions tous voir disparaître[16]. Par contre, on y trouve une foule de vidéos présentant des interprétations de la pandémie souvent parfaitement conformes aux exigences de la Science mais non conformes à la « doctrine sanitaire » de nos autorités politiques.
2-Depuis le début de la pandémie prolifèrent, dans la presse officielle, des services de fact-checking qui, auparavant, n’existaient pas, tout simplement parce qu’ils n’avaient aucune raison d’exister. La diversité des opinions, naturellement présente dans une société ou règne la liberté d’expression, les mensonges n’ont pas besoin d’être « fact-checkés ». Après un éventuel débat contradictoire dans les journaux d’opinion différente, les désinformations sont déjouées, l’auteur du mensonge est décrédibilisé et la vérité est rétablie. Dans une société où règne la liberté d’expression, la vérité finit rapidement par triompher. Le fact-checking ne devient une nécessité que dans une société où règne la censure et qui a exclu de la presse mainstram la diversité d’opinion.
La supervision mondiale du fact-checking par un organisme privé installé en Floride (le Poynter Institute) et l’étonnante entente des majors privés de l’information pour « lutter contre la désinformation » en créant la « Trusted News Initiative » (TNI)[17] en 2019 (étonnante coïncidence de date), témoignent de la gestion anticipée de cette désinformation par des puissances privées mondialistes dénuées de tout contrôle démocratique. Ce TNI évoque fortement le sinistre « Ministère de la vérité » du roman d’anticipation de Georges Orwell (« 1984 »).
Les auditions récentes de fact-checkers et censeurs de Twitter repérés grâce à l’opération de nettoyage de cette firme par Elon Musk nous démontre à quel point ces société privées sont infiltrées par le pouvoir politique en place (le FBI, par exemple) et exercent, par ce biais privé, la censure politique qui leur est interdite par la Constitution américaine (alors qu’est tolère impunément la présence de près de 44.000 sites pédo-pornographiques).
3- Depuis le début de la pandémie, les sites internet dits « complotistes » se sont mis à proliférer. Si, au début de la crise, on pouvait encore croire les grands médias qui nous assuraient que, en France, tous les propos et vidéos « complotistes » n’étaient en réalité que « le fait de tout au plus une douzaine d’internautes très actifs sur le net », aujourd’hui, cette prolifération submerge la censure et devient d’une évidence incontestable.
4- Il suffit d’interroger personnellement tous ces citoyens parfaitement sains d’esprit, cultivés et souvent même intellectuellement brillants que les médias mainstream nous présentent comme des « complotistes » bas de plafond, pour prendre conscience de l’arbitraire qui préside à l’évaluation de la « désinformation ». Des fact-checkers dénués de toute compétence médicale ou scientifique se permettent de « corriger » les propos de scientifiques de très haut niveau, voire même des Prix Nobel et de les traiter de « complotistes » au sens de délirants paranoïaques. Ces services ne sont manifestement qu’un moyen d’éliminer de l’espace public les idées non-alignées sur la doctrine sanitaire des autorités politiques. Tout se passe comme si, à notre insu et sans notre accord, nos autorités nationales dictaient à tous ces censeurs privés mondialisés les critères de censure qui conviennent à leur « narratif » et leur « doctrine ». Jamais le pouvoir national n’aurait eu les moyens logistiques d’organiser une telle censure[18].
6- Du plan du texte
En cohérence avec la distinction que je fais entre les deux niveaux de cette accusation, j’examinerai, dans les quatre premières sections les griefs qu’une analyse au niveau national suffit à expliquer, c’est à dire : la tromperie (I), l’abus de pouvoir (II), le charlatanisme (III) et le crime de masse (IV). Par contre les accusations de collusion (V) et de haute trahison (VI) ne s’expliquent que dans un contexte mondial.
La dernière section (VII) fait office de message d’espoir, bien nécessaire après la prise de conscience de l’étendue de la corruption de nos élites nationales et mondiales. Intitulée « Pour une thérapeutique systémique », j’y montre que le coupable ici pointé du doigt, le Président Macron, n’est qu’un des rouages (facilement interchangeable) d’un « système » politico-économique mondial profondément dysfonctionnel. Pour le modifier, il faut changer ce qui organise le « vivre ensemble » du « système » mondial, c’est à dire la finalité première et consensuelle de la planète en remplaçant la primauté des valeurs matérielles et des impératifs économiques - typique du capitalisme devenu monopolistique - par celle des valeurs spirituelles et des impératifs humanistes. L’avenir de la mondialisation n’est pas encore déterminé. Nous sommes à un point de bifurcation de l’histoire de la planète. Nous avons encore le choix de dire NON au programme de la « caste » et d’organiser une autre forme de mondialisation politique que celle qu’ils proposent et essaient de nous imposer en dehors de tout contrôle démocratique.
J’expliquerai très brièvement[19] que toute cette crise sanitaire n’est que l’aboutissement ultime d’une vision du monde « scientiste » qui est devenue depuis quelques décennies la nouvelle « religion » de la caste des nantis et des mondialistes. Cette philosophie trouve aujourd’hui son apogée - et, je pense aussi, son chant du cygne - dans le transhumanisme qui inspire les hauts responsables du FEM. Cette philosophie nouvelle est fondée sur une désacralisation la vie et du sujet humain et une négation assumée du libre arbitre qui, depuis des temps immémoriaux signait la dignité et la spécificité de l’homme au sein de la Nature. Cette nouvelle vision du monde nous réduit à des objets génétiquement « hackables »[20] dénués de toute profondeur, semblables aux machines intelligentes que créent leurs centres de recherche.
Le seul idéal commun qui relie tous les acteurs de cette « caste mondialiste » - peu portée par nature à se soucier du bien de l’humanité- est de garder les rênes du pouvoir au cours de la périlleuse transition en cours entre le règne des Etats-nation et celui d’une nation mondiale. L’organisation de la mondialisation qu’ils proposent est de type pyramidal et eux, les élites, entendent continuer à en occuper le sommet.
Je montrerai qu’il est possible, moyennant une profonde révolution du paradigme sous-jacent à notre actuelle « vision du monde », d’imaginer une autre forme d’organisation politique planétaire inspirée des principes de l’auto-organisation biologique (un « paradigme organiciste »[21]) et centrée non plus sur des objectifs économiques, c’est à dire des valeurs matérielles mais sur l’épanouissement de tous les individus par le respect des valeurs spirituelles (éthiques) qu’ils jugent tous essentielles. Cette nouvelle « vision du monde », fondée sur la primauté de la VIE, renoue en fait avec toutes les cosmologies « organicistes » qu’avait imaginées l’humanité avant que ne s’impose, très récemment, le « paradigme mécaniciste » de la Science galiléenne, …un paradigme que les plus grands scientifiques d’aujourd’hui jugent obsolète.
« Je n’ai pas vu d’exemple, dans le monde, de maîtrise d’une épidémie par un vaccin, aucune.» Pr.D. Raoult, (l’infectiologue le plus cité dans la littérature mondiale)
« La morbi-mortalité de la pandémie Covid est comparable à celle d’une grippe saisonnière banale». Pr John Ioannidis, (l’épidémiologiste le plus cité dans la littérature mondiale)
I : Tromperie
J’affirme, sur base d’une longue enquête que, depuis cinq ans, nos autorités politiques, soutenues par les grands médias officiels, trompent délibérément la population à propos de tout ce qui concerne la pandémie.
La tromperie en droit est l’équivalent du mensonge en morale, c'est-à-dire le terme que j’ai utilisé pour le titre de mon enquête (« La Pandémie du Mensonge et de la Peur »). J’y montre que la « narration » officielle de la crise correspond à un gigantesque tissu de mensonges médiatisés. Tout l’argumentaire de cette accusation est développé en détail dans ce livre.
L’acte de naissance de la crise sanitaire - la découverte du virus puis le séquençage de son génome- porte déjà le sceau du mensonge et ce « mensonge originel » est du type le plus tenace qui soit puisqu’il est un « mensonge d’Etats » (au pluriel), comme celui de l’affaire Dreyfus. L’origine artificielle et pas naturelle du virus a été cachée par les deux plus grandes puissances politiques de la planète, la Chine et les USA, parce que ses élites ne voulaient pas que la population apprenne que c’est avec son argent qu’elles ont créé, en laboratoire, l’agent de la pandémie, le Sars-Cov2.
Les médias, outil indispensable de la tromperie de masse
La puissance hypnotique des médias, comme l’histoire nous en donne de nombreux exemples[22], est telle qu’il leur est possible aujourd’hui de nous faire vivre collectivement une « téléréalité[23] » parfaitement factice. Individuellement, chacun de nous ne peut pas faire la distinction entre téléréalité et réalité parce que nous n’avons pas la possibilité de vérifier si ce qui nous est présenté par les médias correspond à une vraie « réalité » ou même s’il ne résulte pas seulement d’un « effet de loupe », d’une focalisation abusive sur des détails relativement insignifiants. Tout le crédit que nous accordons aux médias repose sur une sorte de confiance aveugle, c'est-à-dire de « foi », en l’honnêteté des journalistes et des medias. Tant qu’ils remplissent leur fonction avec probité et que le système médiatique nous offre une diversité de points de vue suffisante, les inévitables « biais d’interprétations » et « effets de loupe » se neutralisent mutuellement. Nous pouvons alors globalement faire confiance aux médias.
Par contre, dès que cette diversité disparaît et que les médias se mettent à fonctionner à l’unisson, nous sommes piégés dans une « pensée unique ». Et c’est bien ce qu’il se passe dans notre pays (et dans le monde) depuis cinq ans. La grosse majorité des médias mainstream nous servent, à propos de la pandémie, une narration unique qui est mensongère et appuyée par une censure de toute pensée non-alignée. La plupart des citoyens s’est fait piéger parce que ce mensonge est mondial et colporté par tous les grands médias nationaux. Et rien de plus difficile pour quelqu’un qui se prend, à cause des ses diplôme, pour un être plus intelligent ou mieux informé que la moyenne (comme un médecin, un homme politique ou un journaliste), de reconnaître qu’il s’est trompé surtout si c’est pendant cinq ans d’affilée.
Je n’ai échappé à ce piège que parce que mon expérience clinique de généraliste et mes compétences scientifique, de spécialiste et de chercheur m’ont permis de déceler très précocement le caractère mensonger (la finalité non sanitaire) de la stratégie imposée. En cherchant les raisons de ce mensonge, j’ai progressivement compris que nous étions tous victimes d’une manipulation de masse par les médias comme le monde occidental n’en a jamais connue auparavant (hormis la propagande nazie en Allemagne avant et durant la guerre). Je me suis alors mis en quête de voix scientifiquement autorisées mais alternatives à la narration officielle. Je conseille vivement aux esprits sceptiques mais néanmoins ouverts à la contradiction d’aller surfer sur quatre sites francophone que je juge de haute qualité[24].
J’ai alors compris que ces dissidents étaient très nombreux et, pour beaucoup, très qualifiés sur le plan académique. Leurs voix et leurs opinions sont donc parfaitement « autorisées » mais elles sont systématiquement censurées, ignorées ou disqualifiées par les médias officiels. Le « débat contradictoire » qui, en temps normal, assure la vie de la Science et de la Démocratie a totalement disparu depuis le début 2020.
Cette censure dans les médias, qui venait conforter très à propos la « doctrine » sanitaire impopulaire de nos autorités politiques, n’aurait pas été possible sans l’appui financier et logistique de ceux qui, aujourd’hui, détiennent le contrôle des deux principales « clés du pouvoir » au niveau mondial, l’argent (Black Rock, Vanguard etc.) et l’information (GAFAM, AFP, AP, Reuters etc.).
L’attitude des médias nationaux dans la pandémie s’est en réalité caractérisée par leur servile « collaboration »[25] à la stratégie pseudo-sanitaire de nos autorités politiques. Dans la littérature scientifique, la situation a été quasiment identique comme l’ont dénoncé plusieurs articles[26] récents qui ne faisaient que rappeler un état bien connu de corruption de ces hauts lieux de la « vérité scientifique » par l’industrie pharmaceutique[27].
Le narratif que nos médias ont défendu à l’unisson a eu pour effet d’endormir notre esprit critique et nous empêcher de prendre conscience de la finalité cachée de cette stratégie prétendument sanitaire. Comme celle-ci était fort contraignante, et même liberticide, il fallait impérativement, pour la faire accepter, instiller dans l’esprit des citoyens une peur suffisamment forte pour les pousser à mette en sourdine leurs exigences « égoïstes » de liberté. Cette peur [28]a donc été, comme le mensonge, un outil central et délibéré de la stratégie de nos autorités politiques.
Il ne fait aucun doute à mes yeux que, si on confiait aujourd’hui à une équipe de sociologues universitaires la tâche d’analyser les enregistrements des journaux parlés et télévisés des années 2020 et 2021, ils démontreraient facilement la volonté des médias et des autorités politiques de créer un état de panique[29] dans la population. Toutes les techniques bien connues de manipulation de masse y ont été utilisées[30].
L’inimaginable corruption des médias
Comme nous avons été habitués, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, à faire confiance à nos médias mainstream, la majorité des gens a continué faire de même pendant la crise sanitaire. Il est en effet très difficile, quand on n’a pas fait (comme moi et bien d’autres) tout le cheminement de la remise en question du narratif officiel, d’imaginer qu’il soit possible que tous les journalistes d’un pays (et même de la planète entière) participent à une entreprise de tromperie organisée[31]. A moi-même, il a fallu six mois de questionnement et de doutes avant d’envisager que cette hypothèse « impensable » puisse être évoquée puis finalement considérée comme réelle.
Ce qui m’a le plus aidé à l’admettre, c’est l’attitude de mes confrères et des Conseils de l’Ordre. Jamais je n’aurais imaginé possible qu’autant de médecins acceptent, sans se révolter, de bafouer les principes éthiques et déontologiques fondamentaux de leur métier[32], simplement parce que des autorités politiques le leur imposaient. Si certains, les moins « humains » d’entre eux, l’ont fait sans aucun état d’âme, nombreux sont ceux qui ont dû se faire violence pour agir ainsi. Aujourd’hui, tous savent, quelque part en eux, qu’ils ont trahi un idéal et accepté un compromis moralement inacceptable. A mon expérience, ils fuient la confrontation que moi, comme de nombreux autres « complotistes », leur proposons.
Il est vrai que peu ont eu, comme cela a été mon cas[33], la liberté de s’opposer ouvertement à ces mesures prétendument sanitaires. Une très forte pression sociale - activement construite et entretenue par les médias[34]- condamnait et ostracisait les « anti-vax » en les faisant passer pour des êtres profondément « égoïstes ». De plus, une forte pression financière venait doubler très efficacement cette pression morale. Comment rester fidèle à des principes moraux si, quand on s’entête à les défendre, on se trouve privé de tous ses revenus ? Or, c’est bien devant ce choix cornélien que les autorités politiques ont placé, sans aucun état d’âme, les médecins, les soignants[35], les pompiers et les militaires.
Ayant été un témoin « autorisé » de cette lâcheté collective du corps médical, j’ai compris que le même phénomène expliquait le comportement des acteurs médiatiques. Les journalistes sont pourtant, comme les médecins, tenus par un contrat moral vis-à-vis de leurs lecteurs (la Charte de Munich). Comme les médecins aussi, leurs revenus dépendent d’une « autorité supérieure ». Eux sont payés par le patron du journal ou de la chaîne (radio ou TV) qui les emploie tandis que, dans le cas des médecins, ce sont les caisses d’assurance sociale (CPAM en France), c'est-à-dire l’Etat et donc en définitive l’autorité politique, qui joue le rôle du patron payeur.
Ceux qui sont aux commandes de ces leviers financiers peuvent donc facilement forcer leurs subordonnés à taire leurs scrupules moraux, pervertissant ainsi tout le système qu’ils dirigent. Aujourd’hui, après bientôt cinq ans de crise, l’ensemble du système médiatique et l’ensemble du système médical sont pervertis même s’il n’a pas fallu, pour cela, corrompre individuellement chaque journaliste ou chaque médecin. Il a suffi de persuader (corrompre) les élites nationales de ces deux systèmes, c'est-à-dire les gens les plus proches du sommet de la pyramide[36] du pouvoir, pour que tous ceux qui dépendent financièrement ou juridiquement d’eux, soient, comme des marionnettes, forcés de collaborer au projet de la caste mondialiste. Et cela s’est fait, le plus souvent, à l’insu de ces marionnettes qui faisaient naïvement confiance aux médias mainstream et aux « autorités sanitaires ».
Les preuves à mes yeux les plus flagrantes de cette « soumission à l’autorité »[37] des journalistes se trouvent dans deux courtes séquences TV.
- Quand le très spontané et libertaire Laurent Ruquier, journaliste à France 2 se permet en direct, dans l’émission « On n’est pas couchés » du 9 janvier 2022, un « coup de gueule » très peu en phase avec le narratif officiel, sa collègue Léa Salamé, manifestement effrayée par son « débordement[38] », essaie de l’arrêter et lui répète: « Laurent, vous êtes occupé à prendre la défense des non-vaccinés. Vous savez que vous n’avez pas le droit, c’est politiquement très incorrect ». Cette scène, aujourd’hui effacée de la plupart des vidéos sur internet (pas toutes[39]) démontre que tous les journalistes de nos médias officiels sont obligés de se soumettre à une « doctrine », celle des autorités politiques.
- De même, quand, sur C News, Pascal Praud met en boite son collègue Jérome Béglé, en le confrontant à ses propres incohérences à propos des vaccins[40], on voit très clairement que ce dernier lui fait un signe avec la main qui signifie qu’il doit « la fermer »[41], qu’il avait brisé un tabou, une convention tacite et inavouée du monde journalistique mainstream, critiquer les vaccins.
Toute cette « conspiration du silence » dans les médias autour de la Covid et du vaccin s’inscrit dans le contexte d’une vaste manipulation de masse, très vraisemblablement conçue et organisée depuis longtemps[42], au niveau mondial, dans des think-tanks élitistes et très confidentiels pour ne pas dire secrets. La doctrine élaborée est alors appliquée au niveau national par l’intermédiaire des élites politiques acquises à la cause mondialiste (comme les nôtres) et des élites médiatiques nationales « vassalisées » par leurs patrons ou financiers mondiaux.
Pour des raisons financières[43], toute la presse écrite a été forcée de s’aligner sur la philosophie et les projets de ceux qui la maintiennent en vie. Les journalistes n’ont plus le temps, paraît-il[44], de faire du travail de terrain. Ils se nourrissent principalement des communiqués des grandes agences de presse mondiales (AP, AFP, Reuters). Il est alors facile de comprendre que si les patrons de ces agences partagent les mêmes idéaux mondialistes[45] que les autres puissants de ce monde, ils peuvent facilement s’arranger pour que la planète entière soit nourrie par un narratif unique. Pour moi qui ai un point de vue à la fois indemne de toute pression psychologique ou financière et particulièrement autorisé sur le sujet sanitaire, cette manipulation de masse par les médias est d’une évidence criante. Ils diffusent tous exactement les mêmes mensonges, ce qui n’est concevable, dans un monde naturellement fait d’une diversité infinie de points de vue, que s’ils sont tous forcés de suivre un même mot d’ordre.
Nos médias mainstream ont manifestement perdu leur liberté d’opinion et d’expression et sont forcés de se soumettre à des ordres « supérieurs ». J’en ai quotidiennement la preuve quand je compare ce qu’ils présentent au public comme la vérité - ou ce qu’ils lui cachent délibérément - avec ce que moi, fort de mon expérience et de mes sources d’informations alternatives (censurées mais dûment autorisées), je sais être la vérité.
La première tromperie : le mensonge.
Le titre de mon livre (La Pandémie du Mensonge et de la Peur) traduit bien la première découverte de mon enquête, celle de l’omniprésence de la tromperie, appelée ici mensonge, au cours de la pandémie. Mes sages parent répétaient inlassablement à leurs enfants que « le mensonge tue la confiance », ce à quoi j’ajouterais que « la confiance est le lubrifiant naturel du lien social ». Elle assure la fluidité des relations humaines et… notre bien-être collectif. Tout le travail du médecin généraliste (et de tous les vrais cliniciens), s’appuie sur une relation de confiance avec leurs patients. Sans elle, l’exercice de la médecine deviendrait impossible.
Il devrait en être de même des relations entre les citoyens et les élus à qui nous donnons le pouvoir et l’autorité politique. Hélas, il n’existe pas chez les politiciens d’équivalent du serment d’Hippocrate des médecins ou de la charte de Munich des journalistes. La probité ne fait pas partie du minimum requis pour devenir politicien. La défiance actuelle à leur égard dans la société n’est que la conséquence de leurs mensonges. Dès que cette défiance s’installe, le système se met à dysfonctionner et finit par créer de la violence et des révolutions. Quand, comme ici, elle porte sur des sujets aussi sensibles que la santé et la vie, je suis persuadé que la prise de conscience par la population qu’elle a été trompée réveillera, un jour ou l’autre, un puissant mouvement de colère populaire. Les autorités politiques ont effectivement trompé les citoyens, soit directement en leur livrant des informations fausses, tronquées ou manipulées[46], soit indirectement en tolérant hypocritement, dans les médias, une désinformation (au nom de la « liberté de la presse » ?) alors que, dans le même temps, elles acceptaient sans broncher que des puissances médiatiques mondiales privées censurent, sans aucune supervision démocratique, une foule d’informations exactes[47] et diffusent des fausses vérités.
La seconde tromperie : la censure.
La seconde découverte de mon enquête a été l’omniprésence dans les médias et sur les réseaux sociaux de cette censure - théoriquement inacceptable en démocratie - aussi discrète qu’efficace. Cette discrétion l’a rendue quasi invisible à tous ceux qui n’avaient aucune raison de se méfier de la fiabilité du discours des autorités politiques ou des médias mainstream, c'est-à-dire la majorité de la population.
Il est aujourd’hui évident[48] que nos autorités politiques ont été secrètement complices de cette autre forme de tromperie. Toutefois, comme ces médias sont aux mains d’autorités privées gravitant dans un espace supranational, nos dirigeants politiques pouvaient hypocritement se laver les mains de leur travail de censure. Ils savent pourtant très certainement que cette pratique est totalement incompatible avec les principes de la démocratie[49]. Leur inertie juridique vis à vis de ces géants de l’information équivaut, vu la gravité de l’infraction, à leur approbation tacite, c'est-à-dire à leur collaboration « par omission » à cette censure.
La troisième tromperie : la manipulation des lois
Beaucoup de résistants (terme préféré par beaucoup, car moins infâmant que « complotistes ») utilisent le mot « plandémie » pour qualifier la pandémie du Covid parce qu’une foule d’éléments factuels très troublants plaident en faveur d’une programmation délibérée de cette épidémie mondiale. Elle semble même planifiée de longue date par des organisations mondialistes. Plusieurs articles, livres et vidéos argumentent solidement cette thèse[50] à laquelle aujourd’hui j’adhère pleinement.
En France, le 5 décembre 2.019, c'est-à-dire juste avant qu’on ne parle de pandémie, l’Assemblée Nationale a voté une proposition de loi relative à la sécurité sanitaire qui modifiait plusieurs articles, dont (Ch Vbis) ceux traitant des « mesures d’éviction et de maintien à domicile des personnes non malades ayant été en contact avec une ou plusieurs personnes atteintes d’une maladie transmissible ». Cela ressemble étrangement à une préparation des confinements…avant la crise.
De même, le 13 janvier 2020 (2 mois avant la déclaration par l’OMS de la pandémie), Mme Agnès Buzin alors Ministre de la Santé a demandé, sur proposition du Dr Jérome Salomon (directeur général de la Santé), que l’hydroxychloroquine (mais aucun autre médicament…) soit inscrit sur la liste II des substances vénéneuses alors que ce médicament est connu depuis 70 ans et très largement utilisé dans le monde, sans que personne ne se soit inquiété jusqu’alors de sa « vénénosité »…une vraiment curieuse coïncidence[51].
Quelques exemples de tromperie flagrante[52]
Nos autorité politiques, en étroite collaboration avec les médias mainsteam, ont trompé la population sur une infinité de sujets. Je retiens ici les principaux.
1- Elles nous ont trompés à propos de la gravité réelle de la menace sanitaire.
Comme nous avons aujourd’hui cinq ans de recul, il est facile, en examinant les statistiques officielles des organismes gouvernementaux et en lisant les études scientifiques d’épidémiologistes réputés, de se faire une idée claire de la situation. Le Pr John Ioannidis de Stanford, considéré comme un des plus brillants épidémiologistes au monde, a démontré, sur base des statistiques nationales d’une foule de pays, que l’épidémie de Covid avait eu une morbidité et une mortalité « comparable à celle d’une grippe saisonnière banale »[53]. Cette position jugée « dissidente » par l’autorité politique (et par aucune autorité scientifique puisqu’il n’y a plus de débat contradictoire au sujet de la pandémie depuis le début de la crise), lui a valu de nombreux ennuis qu’il évoque non sans humour dans une interview : « La Science et les scientifiques ressemblent à de minuscules fourmis dans cette guerre des Titans…Avant la pandémie, les gens bourrés de conflits d’intérêt essayaient de se cacher. Avec la pandémie, ils assument une sorte de supériorité morale sur ceux qui n’en ont pas. Ce sont ceux qui restent indemnes de tout conflit d’intérêt qui doivent maintenant se cacher »[54].
Laurent Toubiana de l’Inserm, fondateur du « Réseau Sentinelle »[55] avait fait la même constatation[56] et déclaré publiquement qu’on avait « transformé une épidémie mineure en une crise sanitaire majeure », ce qui lui a valu une campagne de dénigrement dans la presse et l’ostracisme de son milieu de travail. Toute sa réflexion, autorisée puisque fondée sur 30 ans de pratique de l’épidémiologie en France (dûment reconnue et financée par les autorités sanitaires), est expliquée en détail dans son livre[57].
A Ottawa au Canada, le Pr Denis Rancourt[58], physicien retraité et ex-scientifique principal de l’université, a examiné exclusivement les statistiques des décès toutes causes confondue (les seules infalsifiables), en comparant celles de son pays à celles des USA voisins qui, théoriquement, devraient être équivalentes puisque les facteurs de risques et le niveau de vie des deux populations sont identiques. Il en conclut que « aucune mortalité anormale due à un virus anormalement virulent n’est décelable » et que « toutes les surmortalités observées correspondent à des mesures sanitaires agressives imposées durant la même période, soit aux USA et pas au Canada, soit l’inverse ».
En France, les statistiques hospitalières (ATIH)[59] nous apprennent que les lits Covid n’ont représenté en 2020, c'est-à-dire en pleine « catastrophe sanitaire », que 2% des hospitalisations et 5 % des lits de soins intensifs. Ces chiffres ne cadrent pas du tout avec la « téléréalité » alarmiste présentée par les médias.
Cette « catastrophe sanitaire sans précédent depuis un siècle » selon Emmanuel Macron est donc une dramatisation délibérée, par le pouvoir politique et les médias, d’une épidémie relativement banale. Cette « téléréalité » a été tellement martelée quotidiennement dans l’esprit des français (et du monde entier) qu’elle est devenue, à leurs yeux, une vérité que plus personne ne pouvait raisonnablement contester[60].
2- Elles nous ont trompés par la création de faux malades.
Plus personne aujourd’hui ne conteste qu’on a gonflé le nombre de « cas de Covid » hospitalisés ou décédés en confondant (délibérément) les malades décédés du Covid et ceux décédés avec la Covid (test PCR positif[61]) mais sans aucun symptôme suggestif de cette maladie. Il existait dans les hôpitaux et les EHPADs des incitants financier très attractifs poussant les directions à gonfler le nombre de « cas Covid » et de « décès Covid ».
François Palombi, ex-collaborateur de Macron et Président de la Confédération des commerçants de France, est filmé par BFM TV[62], assis dans un lit d’hôpital, portant un masque et branché sur une source d’oxygène. Il se dit non-vacciné, victime de la Covid et sortant tout juste de 3 jours de réanimation à la Clinique Ambroise Paré (Neuilly) où « il aurait bien failli perdre la vie ». Il se lance alors, face caméra, dans un incroyable discours de « propagande » pour la vaccination. Démasqué par des gens qui l’avaient reconnu, il avouera ce simulacre de maladie, avouant même « qu’il était un mauvais comédien »….mais qu’il restait « convaincu d’agir pour la bonne cause ».
Une situation du même type a été repérée en Belgique par le cinéaste Bernard Crutzen qui l’évoque dans son film « Ceci n’est pas un complot[63] ». Des jeunes comédiennes ont été engagées par une agence pour jouer le rôle de victimes du Covid hospitalisées en réanimation et placées sous respirateur. En réalité, les sujets jeunes admis en réanimation pour Covid sont quasi inexistants mais ce genre d’image (truquée) émeut le public. Ici, l’auteur a même retrouvé les contrats de l’agence qui les avait recrutées. La fraude est donc manifeste.
L’explication donnée par les autorités politiques à toutes ces tromperies patentes est toujours la même. Ces manœuvres n’auraient eu qu’un but, venir en aide à une population trop inconsciente du danger qui les menaçait. Ils disent avoir « fait tout ce qu’il est possible pour convaincre le gens de la gravité de la pandémie et de l’impérieuse nécessité qu’il y a à se faire vacciner ». Ces injonctions sanitaires fortes ne sont pas venues initialement des médecins mais des politiques. Le médecin que je suis se demande dans quelle mesure ce genre de démarche - qui évoque plus une campagne de propagande pour une nouvelle mousse à raser qu’une honnête tentative d’éducation sanitaire des citoyens - relève de la compétence et de la fonction des hommes politiques. Cette insistance (cette « rage »[64] même) à proposer la vaccination m’évoque bien plus le travail agressif du démarcheur commercial au téléphone ou du marchand d’aspirateurs à ma porte que du médecin soucieux de la santé de son patient.
3- Elles nous ont trompés sur l’efficacité des vaccins.
Comme rappelé par les deux citations en début de section, tous les spécialistes concernés connaissent la forte propension des coronavirus à muter et donc leur échappement systématique, à moyen terme, aux vaccinations proposées[65]. De même, tous les vaccinologues savent bien que certains vaccins ont provoqué plus de dégâts que de bénéfices en termes de santé publique[66]. Il était donc très risqué de se précipiter aveuglément sur un vaccin créé par une technologie jamais testée sur l’homme ni préalablement soumise aux trois phases classiques des essais cliniques[67]. Aujourd’hui, après quatre ans de vaccination, Bill Gates, le chantre mondial du « salut par le vaccin » et les fabricants de vaccin eux-mêmes avouent que leur produit n’empêche pas la transmission[68] et même, que ce paramètre …n’avait pas été examiné dans leurs études cliniques préalables. Les statistiques[69], de plus, nous démontrent aujourd’hui qu’ils ne protègent même pas contre la récidive de la maladie ou contre ses variants. Bien au contraire, plus les patients reçoivent de rappels, plus ils augmentent leur sensibilité aux nouveaux variants[70]. Une réévaluation récente (01/2023) du rapport bénéfice-risques au Royaume Uni par John Campbell montre qu’entre 20 et 30 ans, il faut vacciner 169.000 personnes pour éviter une seule hospitalisation et 706.500 pour éviter une hospitalisation « grave » alors que, dans cette tranche d’âge, un vacciné sur 800 présente des effets secondaires graves.
Bref, ces prétendu vaccins ne « vaccinent » pas et, au contraire, plus ils sont répétés, plus ils affaiblissent l’immunité[71]. Cette tromperie mondiale porte en réalité sur ce que nous considérons tous comme les valeurs humaines les plus précieuses, la santé et la vie mais les autorités, impliquées jusqu’au cou dans ce mensonge mondial font tout aujourd’hui pour cacher des statistiques qui décrédibilisent totalement leur narratif et leur doctrine. Les mensonges d’Etat sont les plus coriaces. Il a fallu douze ans pour que celui de l’affaire Dreyfus soit dénoncé publiquement.
4- Elles nous ont trompés sur les effets secondaires et les décès.
Ce sujet est l’objet d’un nombre colossal de publications sur les sites dits complotistes[72] parce qu’ils sont les seuls lieux publics où les victimes sont entendues. Les médecins qui ont vacciné ont une forte tendance au déni de ces effets secondaires (s’ils les admettaient, ils se sentiraient trop coupables) et ils sont aidés en cela par le discours officiel qui répète inlassablement que les vaccins sont « surs et efficaces ». Il suffit pourtant de consulter les sites officiels de pharmacovigilance (réputés ne collecter que 1 à 10 % des cas réels) pour constater que tous les signaux sont au rouge. L’ANSM en France reconnaissait officiellement (au 30/09/2022) 2.010 (x10, x100 ?) décès, 189.000 effets secondaires dont 42.845 étiquetés « graves ». Eudravigilance pour l’Europe recense 50.000 décès et 2.2 millions de déclarations d’effets indésirables, le VAERS aux USA, 13.547 décès et 1.3 millions d’effets secondaires dont 242.000 étiquetés graves (au 01/7/2023). Vigiaccess de l’OMS recense 4.743.000 déclarations d’effets secondaires (x10 à x100) en fin 2022.
Or, tous ces décès et tous ces effets secondaires surviennent chez des sujets préalablement en bonne santé, c'est-à-dire que leur cause est « iatrogène », exclusivement d’origine médicale. La référence permanente des autorités politico-sanitaires à un « rapport bénéfices/risques » prétendument positif repose, du point de vue médical sur un calcul comptable parfaitement inhumain. Le médecin traitant qui, influencé par la propagande des autorités politiques, insiste lourdement auprès de ses clients (des enfants et des femmes enceintes par exemple) pour qu’ils se fassent vacciner ne peut que nier la relation de cause à effet entre le vaccin et le décès, la fausse couche ou la maladie survenus chez son patient après la vaccination alors qu’il était en parfaite santé avant son intervention. Et c’est bien de ce déni[73] de reconnaissance de la relation de cause à effet entre la vaccination et l’effet secondaire que se plaignent tant de gens sur les réseaux sociaux ou dans des films et vidéos « complotistes »[74]. Il est parfaitement inhumain de mettre sur pied d’égalité un décès dû à une maladie naturelle, ici la Covid, et un décès « iatrogène » ici dû au vaccin. Décéder d’une maladie ou d’une injection de vaccin n’a absolument pas le même poids sur le plan humain mais l’ « humanité » est un paramètre systématiquement ignoré par la « médecine par les preuves » (EBM) et nos hommes politiques incompétents qui l’utilisent. Ce calcul comptable ignore le premier principe de la médecine : « primum non nocere ». Toute la propagande pro-vaccinale de nos autorités politiques repose donc sur une comptabilité de technocrates totalement incompatible avec l’éthique de notre profession et le simple bon sens de commun de l’humanité.
L’exemple des décès d’athlètes[75], symboles mêmes de la jeunesse en très bonne santé et des myocardites[76], effet secondaire très fréquent[77] des vaccins affectant exclusivement des sujets jeunes, sont particulièrement représentatifs du déni de vérité des autorités politiques et sanitaires. Les indices d’alertes sont flagrants et les autorités politico-sanitaires ne réagissent pas.
Le cas des vaccinations d’enfants, sujets ayant un risque nul de décéder de la Covid, est encore plus effrayant. Euromomo comptabilisait en Europe huit fois plus de décès d’enfants de 0 à 14 ans après le début de la vaccination qu’avant[78]. Les statistique récente (juillet 2022) de l’Office national des statistiques du Royaume Uni calculent que le risque de décès chez un enfant vacciné est 82 (à 303) fois supérieur à celui d’un enfant non-vacciné.
Depuis quelques mois, les sites « complotistes » fourmillent de rapports émanant de centres de statistiques nationaux officiels qui montrent une surmortalité « inexplicable », apparue depuis les campagnes de vaccinations et qui frappe tout particulièrement les tranches d’âge jeunes[79]. En temps normal, l’alerte en santé publique aurait été donnée depuis longtemps.
De même, les statistiques de nombreux pays décèlent une sous-natalité inquiétante (de -8 à -23%) apparue quelques mois après les campagnes de vaccination[80].
C’est une hécatombe sans précédent dans l’histoire des vaccinations que nous révèlent les chiffres très officiels des agences de pharmacovigilance[81]et personne, dans les institutions compétentes ou le monde politique ne semble réagir. La raison en est qu’avouer ces réalités leur ferait perdre tout crédit. Dans cette fuite en avant, toute leur énergie est donc mise sur le déni et la censure médiatique. Pour de nombreux médecins comme de nombreux autres complotistes, cette inertie est « incroyable », « inimaginable » et bien évidemment « criminelle ».
Ces statistiques des organismes officiels sont confirmées par celles tenues par les services de santé de l’armée américaine[82] (6 millions d’affiliés) ou des sociétés d’assurance-vie américaines[83] ou allemandes (70 millions d’affiliés)[84]. Or, les actuaires n’ont pas la réputation de trafiquer leurs chiffres.
La médaille d’or toutes catégories des mensonges à propos des effets secondaires du vaccin revient, à mon avis, à Olivier Véran, ministre la santé puis porte-parole du gouvernement et, de surplus, médecin-neurologue de formation. A la question posée en octobre 2021 par un journaliste: « combien y a-t-il eu de morts dus au vaccin Covid ? », le ministre répond, droit dans les yeux de celui qui le questionne : « zéro ». Si on consulte ce qu’en dit le service français de pharmacovigilance (l’ANSM) sur la page de son site officiel dédié au grand public, on ne trouve curieusement, dans la liste des « effets secondaires du vaccin Covid », aucune rubrique décès. Par contre si on cherche sur internet les résultats envoyés à l’ANSM nationale par les quatre centres de pharmacovigilance régionaux qui se sont partagé les quatre vaccins commercialisés en France, on recensait à la même époque à peu près 1.200 décès dont plus de 900 pour le seul vaccin Pfizer. Quand on fait remarquer au ministre cette incohérence, il explique que, dans aucun de ces cas, la preuve définitive n’avait été donnée d’une « relation de cause à effet » entre le vaccin et le décès. Comme la seule preuve définitive ne peut être fournie que par une autopsie et que les autopsies …ont été interdites depuis le début de la pandémie[85], l’explication qu’il donne équivaut à nier toute valeur à nos systèmes de pharmacovigilance.
Lorsqu’on a ordonné le confinement, on a dérogé collectivement et massivement à plus de dix droits fondamentaux. Cette situation n’avait plus été vue depuis la seconde guerre mondiale ».
Me Arnaud Jansen, avocat bruxellois
II : Abus de Pouvoir
La citation ci-dessus n’est qu’un exemple parmi des centaines d’autres, de la dénonciation par des juristes du viol systématique, par nos autorités politiques, des règles de l’« état de droit » qui fondent nos démocraties et nos droits individuels.
L’Etat de droit
N’étant pas juriste, je n’avais jusqu’ici qu’une idée très vague de ce qu’est l’« état de droit » mais je pense aujourd’hui indispensable, pour quiconque veut comprendre la gravité de l’accusation que j’adresse à nos plus hautes autorités politiques, de connaître très précisément ce qu’implique ce terme. Je me réfère, pour cela, au site officiel du gouvernement[86], que j’ai trouvé particulièrement limpide pour le non-initié. Il situe très clairement les limites de l’ « autorité politique », celles précisément qui ont été franchies dans l’abus de pouvoir que je dénonce et détaille ici.
« L’état de droit peut se définir comme un système institutionnel dans lequel la puissance publique [nos « autorités politiques »] est soumise au droit et comme …un Etat dans lequel les normes juridiques sont hiérarchisées de telle sorte que sa puissance s’en trouve limitée … Dans ce cadre, les contraintes qui pèsent sur l’État sont fortes : les règlements qu’il édicte et les décisions qu’il prend doivent respecter l’ensemble des normes juridiques supérieures en vigueur (lois, conventions internationales et règles constitutionnelles) [principe de légalité], sans pouvoir bénéficier d’un quelconque privilège de juridiction, ni d’un régime dérogatoire au droit commun….Un tel modèle implique l’existence d’une séparation des pouvoirs et d’une justice indépendante… L’État de droit est … aujourd’hui considéré comme la principale caractéristique des régimes démocratiques. »
N’ayant pas de compétence en matière de droit, il serait imprudent de ma part de défendre mon accusation sur un plan strictement légal. Dans mon échelle de valeurs, l’ordre moral passe avant l’ordre juridique. Je préfère donc m’en tenir ici à une accusation d’ordre éthique (ou moral), espérant que des avocats expérimentés se chargeront de la transcrire sur le plan judiciaire. Je choisis cette attitude parce que, dans cette crise sanitaire, c’est le viol systématique de l’éthique qui représente le danger collectif le plus menaçant. L’autre raison de mon choix est qu’un argument moral est beaucoup plus aisément compréhensible que le langage technique d’une accusation juridique.
La confiscation de l’autorité médicale
Aux yeux du médecin que je suis, l’abus de pouvoir le plus flagrant de nos autorités politiques dans la crise sanitaire a été celui qu’il a exercé à l’égard des médecins généralistes. Ces médecins « de première ligne » se sont vus interdits d’exercer leur fonction spécifiques et leurs prérogatives en matière de thérapeutique à l’égard des malades suspects de Covid. Cette fonction et ces prérogatives fondent pourtant leur « autorité » particulière dans notre société, une autorité qui repose à la fois sur une compétence technique et sur un engagement éthique vis-à vis des patients.
C’est parce que l’exercice de la médecine touche aux valeurs physiques et morales intimes des personnes, leur santé et leur vie, qu’il exige cette double compétence. Toutes les règles de l’éthique et de la déontologie médicale reposent d’ailleurs sur la dimension « humaine » si spécifique à la profession médicale. La confiscation du pouvoir légitime des médecins en matière de santé par des autorités politiques dépourvues de ces compétences techniques et de cet engagement éthique a entraîné une perversion profonde de la « thérapeutique » imposée à la population pour faire face à la pandémie.
La Déclaration Universelles des Droits de l’Homme
En raison du principe de légalité évoqué plus haut, les autorités politiques restent soumises, dans nos démocraties, à la Constitution, aux conventions internationales et aux lois nationales. Cette soumission forcée de la puissance publique à des textes inviolables a pour but de nous prémunir contre ses abus potentiels, ses tentations de gestion dictatoriale de la gouvernance du pays. Et c’est précisément à ce type de dévoiement de notre système politique que la crise sanitaire nous a fait assister.
La « Déclaration Universelles des Droits de l’Homme » a été écrite en 1948, au sortir de cinq ans de (vraie) guerre fratricide. On prend conscience, en la lisant, des hautes aspirations morales et de la nécessité d’un retour aux valeurs éthiques les plus profondes de l’humanité manifestées par tous les pays après cinq ans de boucherie. Il est question, dès le préambule, de « dignité de la personne humaine », de « la liberté comme la plus haute aspiration de l’homme », de « famille humaine », de « rêve d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire », de « relations amicales » et d’un « idéal commun à atteindre ». Soixante ans plus tard, la crise sanitaire semble avoir fait oublier à nos très jeunes autorités politiques ces valeurs morales et les limites légales de leur pouvoir.
Les « bonnes résolutions » de la Déclaration Universelle ont été, comme tout projet idéaliste, mise à mal avec le temps. Toutefois, avec la pandémie, elles ont été comme effacées de la mémoire de nos dirigeants. Cette crise est peut-être une bénédiction parce que sa gestion désastreuse nous permet de voir, avant que la situation ne devienne irréversible, à quel point nos démocraties sont fragiles et nos idéaux humanistes corruptibles. Il faut relire la Déclaration universelle.
L’article premier proclame que « tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droit » et que « ils doivent agir les uns vis-à-vis des autres dans un esprit de fraternité ». Or, après trois ans de crise sanitaire, la société et même les familles, « l’élément naturel et fondamental de la société (art 16) » sont divisées par un clivage idéologique induit par le mensonge entretenu, à grands renforts de propagande et de censure médiatiques, par nos autorités politiques. Les « loyalistes » ne parlent plus aux « complotistes » et évitent tout débat contradictoire public mais les deux camps ne peuvent avoir simultanément raison et les mensonges d’états sont réputés être les plus tenaces[87]. Tout l’enjeu de ce clivage idéologique repose sur la question de la confiance dans la narration et la stratégie présentée par les autorités politiques.
L’article 7 garantit à tous une « égalité devant la loi et… une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration ». La discrimination faite par les autorités entre vaccinés et non-vaccinés viole donc un droit humain fondamental.
L’article 19 est celui qui a été le plus systématiquement violé durant la crise sanitaire. Il déclare que « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit….de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées… ». Le viol de ce droit a été perpétré au nom d’une lutte contre la « désinformation » mais l’autorité politique n’a aucune légitimité dans le choix de ce qui est ou pas de la désinformation. S’arroger ce droit est un abus de pouvoir typique des dérives totalitaires. Ce sont principalement des agences de presse et des réseaux sociaux privés et mondiaux qui se sont chargés du travail de censure, leur origine supranationale permettant aux autorités nationales de se dédouaner de toute responsabilité dans ces manœuvres. Les preuves de l’existence d’une véritable entente secrète (collusion) entre les gouvernements et ces organes mondiaux de diffusion de l’information commencent aujourd’hui à s’accumuler, aux USA (cfr supra) mais aussi en Europe[88].
L’article 21.3 rappelle que « La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ». Le musèlement délibéré, dans les médias, des opinions non conformes à la « doctrine » sanitaire, la surdité des autorités politiques aux manifestations de masse et aux nombreuses déclarations publiques d’associations de personnes « autorisées » (médecins, scientifiques, juristes, soignants) s’opposant à la stratégie imposée équivaut à un mépris total de cette volonté du peuple qui seule fonde l’autorité des pouvoirs publics. La stratégie a été décidée en dehors de tout débat démocratique ou scientifique mais manifestement dictée par un « agenda » mondial (vu l’unisson des réponses sanitaires des états) dénué de toute autorité légitime. Dans cette situation sanitaire, seul l’OMS aurait eu autorité mais cet agenda en question n’émanait pas de lui.
L’ « état de guerre »
Le second abus de pouvoir de nos autorités est cet incroyable et grotesque déclaration, par le Président Macron le 16 mars 2020, d’un « état de guerre » doublant l’« état d’urgence sanitaire » reconnu par l’OMS. Ces deux situations d’exception, dûment reconnues par notre droit, sont devenues, grâce à cette déclaration officielle, le cadre législatif usuel de la gestion de la crise. L’application de ce cadre exceptionnel n’est toutefois légitime que si la situation constitue une menace réelle de guerre ou de catastrophe sanitaire.
La menace sanitaire apparaît clairement, avec cinq ans de recul, comme factice, délibérément organisée et grossie dans un but politique. Sans l’aide d’une censure très active et de la collaboration d’une presse vassalisée, jamais la stratégie sanitaire imposée par nos autorités politiques n’aurait été acceptée par la population et les médecins généralistes.
Quant à la menace de guerre, elle est, depuis le début, tout aussi factice. Jamais, dans toute l’histoire de l’humanité, une guerre n’a été déclarée à des micro-organismes invisibles. Jamais d’ailleurs, durant la crise, l’Etat n’a fait appel aux autorités militaires, les seuls spécialistes en matière de guerres et de stratégies. Jamais non plus le Président n’a fait ratifier par le parlement, comme la loi l’y oblige, cette grandguignolesque déclaration. Cela ressemble à un énorme canular qu’à force de déclarations alarmistes, nos autorités sont parvenues à faire gober au public.
L’idée de « guerre » contre une maladie n’a jamais été, pour les médecins, qu’une simple métaphore abondamment exploitée par l’industrie pharmaceutique depuis Pasteur et, plus encore, après la découverte des antibiotiques. Tout comme le complexe militaro-industriel, l’industrie du médicament se nourrit et s’enrichit de la culture de cette vision guerrière de la maladie et de la peur d’un « ennemi ». Ces industries entretiennent donc savamment cette peur[89]dans l’esprit de leurs clients (les militaires et les médecins). Toutes les approches thérapeutiques non-alignées sur cette vision guerrière et moléculaire du corps humain et de la médecine se sont trouvées marginalisées et discréditées[90] dans les facultés. Aujourd’hui toutefois, les vrais chercheurs en biologie comme en médecine reconnaissent le caractère totalement obsolète de cette vision guerrière de la médecine et l’ampleur des effets secondaires induits par ces thérapeutiques agressives.
Les virus sont aussi anciens que les premiers organismes vivants et ils ont joué un rôle positif majeur dans l’évolution des espèces du fait de leur capacité à augmenter la diversité génétique des organismes, condition indispensable à leur « évolution ». De même, notre moyen de défense contre les virus, notre système immunitaire, s’est élaboré au cours de millions d’années d’essais et erreurs. L’immunité naturelle nous fournit donc des capacités, éprouvées par des millénaires d’expérience, pour nous défendre contre les virus. Seule une mauvaise foi totale[91] a pu, durant la pandémie, présenter l’immunité vaccinale comme supérieure à l’immunité artificielle des vaccins[92]. C’est pourtant à cette « religion vaccinale » que nos autorités politiques ont fait confiance pour mener leur « guerre » contre le nouveau virus. Tous les cliniciens savent très bien qu’on n’éradique pas un virus, on apprend à vivre avec lui et à s’adapter à ses incessantes mutations. La déclaration martiale du Président Macron est donc, aux yeux du médecin ou du biologiste sérieux, un gigantesque canular scientifique, une vaste « foutaise » comme le disait une épidémiologiste belge.
Le Conseil de défense
L’énormité de cette erreur, difficilement compréhensible chez des gens intelligents, ne s’explique que quand on comprend que la finalité de cette mise en scène était politique et pas sanitaire. L’état de guerre, comme l’état d’urgence permettaient au pouvoir d’imposer des mesures d’exception en outrepassant les systèmes de contrôle de la « puissance publique » prévus par toutes les constitutions et lois des pays démocratiques. L’instauration d’un Conseil de défense sanitaire constitué exclusivement de politiques (le Président et ses six principaux ministres) a fonctionné sur le mode des « conseils de guerre », permettant aux délibérations de rester secrètes et d’assurer aux vrais responsables de la stratégie sanitaire, une immunité totale (« secret défense » pendant 75 ans). Ici aussi, on croit rêver. En quoi des délibérations portant sur un sujet sanitaire pris en main d’autorité par des hommes politiques sans compétence dans ce domaine pourraient-elles relever du « secret défense » ? Le canular s’est donc poursuivi jusque dans les détails. Tout cela prêterait à rire si cette mascarade n’avait été qu’une farce inoffensive mais, nous le verrons (cfr section IV : Crime de masse), elle a fait un nombre considérable de victimes.
La garantie théorique du contrôle de la « limitation de la puissance publique» par les parlementaires, n’a de valeur que si ces élus sont, préalablement à leur aval, dûment éclairés sur la situation et sur les tenants et aboutissements des mesures sanitaires proposées. Or, tous ces représentants du peuple ont été aussi hypnotisés par le narratif mensonger que le peuple lui-même. Le pouvoir les a donc clairement abusés en les laissant délibérément dans l’ignorance de ses intentions politiques inavouables. Le mécanisme central du processus démocratique a ainsi été mis « hors service » par la magie hypnotique d’un narratif parfaitement maitrisé.
Le Conseil scientifique
Le tout puissant Conseil de défense était censé s’assurer de la justification scientifique et médicale des ses décisions en s’appuyant sur les avis d’un « Conseil Scientifique », organisme créé au tout début de la crise. Sa fonction officielle était d’« assister l’exécutif dans la prise de décision »[93]. A l’analyse de sa composition, il s’avère avoir été délibérément construit de telle façon que ses avis n’entravent en aucune façon la stratégie sanitaire décidée par le gouvernement.
Ces avis n’avaient en effet qu’une valeur purement consultative aux yeux des autorités politiques, ce qui traduit clairement leur déni de toute autorité supérieure à la leur, fût elle médicale ou scientifique. C’est là un abus de pouvoir manifeste. L’exemple le plus démonstratif de ce rejet de l’autorité scientifique est le refus, à trois reprises, par le Président Macron d’accepter la proposition du Pr. JF Delfraissy de « démocratiser le débat » dans le Conseil scientifique qu’il présidait. Il savait très bien que son autorité de scientifique n’était valide que si le débat contradictoire, élément indispensable à la vie de la Science, était assuré. Ce refus présidentiel est la preuve flagrante qu’il n’était nullement intéressé par les avis de ce Conseil. Il n’était là que pour donner un semblant de scientificité à sa politique[94].
L’organisation même de ce Conseil et le choix de ses membres trahit la volonté de ceux qui l’ont imaginé de le rendre inopérant. Dans un premier temps, ce Conseil n’était composé que de 11 experts réunis autour du Pr JF Delfraissy, immunologiste. La diversité extrême des experts qui le constituaient lui donnaient d’emblée des allures de « Tour de Babel ». Il n’existe pas, en effet, de langue experte commune à un immunologiste (JF Delfraissy), deux infectiologue (D Raoult, D Malvy), un épidémiologite (A Fontanet), un virologue (BLina), un modélisateur (S Cauchemez), un réanimateur (L. Bouadma), un généraliste (PL Druais), un anthropologue (L Atlanti-Duault) et un sociologue (D. Benamouzig). Rien que pour accorder les violons de cette liste à la Prévert, il faudrait des mois de travail. Tous les universitaires connaissent les énormes difficultés que rencontrent les projets dits pluri- ou transdisciplinaires dans un monde académique constitué de spécialistes hyperpointus.
Ce qui me frappe le plus, dans cette équipe, c’est la présence d’un seul généraliste, alors que ce type d’expert est le seul à avoir une expérience concrète des épidémies.
Dès la fin de la première réunion, le professeur D. Raoult a « jeté l’éponge », outré de voir le Président de la République lui-même intervenir en cours de la réunion, accompagné du président de la firme Gilead, pour faire, la promotion de son nouvel anti-viral, le Remdesivir[95].
Le modélisateur du Conseil scientifique, S. Cauchemez, est un élève de Neil Ferguson de l’Imperial College, l’émissaire curieusement choisi[96], on ne sait trop par qui, pour faire le tour de toutes les capitales européennes, affoler leurs autorités sanitaires sur base de ses projections mathématiques alarmistes et prêcher l’impérieuse nécessité de confiner l’entièreté de la population. Comme mille autres experts auraient été plus indiqués pour remplir cette tâche, je pense que c’est précisément son alarmisme notoire qui l’a fait choisir.
La majorité de ces participants ont des conflits d’intérêts avec l’industrie mais le champion en la matière est l’infectiologue qui est venu remplacer le Pr Raoult après qu’il ait claqué la porte du Conseil scientifique, le Dr Yazdan Yazdanpanah, infectiologue à l’hôpital Bichat. Il était, lui aussi, un grand défenseur du Remdesivir avant que cet antiviral ne soit retiré du marché pour inefficacité et toxicité rénale et hépatique.
« C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance…C’est la politique qui joue à la médecine »
Pr Paul Atkinson (nov. 202l).
III : Charlatanisme
Le troisième grief à l’égard des autorités politiques correspond à l’accusation de charlatanisme. Le mot est à prendre dans le sens de la définition du Robert, c’est à dire d’un « imposteur qui exploite la crédulité publique » mais aussi dans son sens commun de « faux médecin ».
Ecarter les « concurrents »
Dans la stratégie qu’ils ont imposée autoritairement à la population, nos autorités politiques ont commencé par imposer une mesure qui leur était en fait indispensable s’ils voulaient exercer librement et sans concurrence, leur « autorité sanitaire » sur toute la population. Ils ont écarté ceux qui ont naturellement, de fait et de droit, autorité en matière de santé sur les citoyens en cas d’épidémie, c'est-à-dire les médecins de famille. Ils les ont écartés de la « ligne de front » alors que leur autorité politique ne leur attribue aucun droit sur cette prérogative de la fonction médicale. En interdisant aux généralistes de consulter et d’examiner les malades suspects de Covid, ils leur ont en fait interdit d’exercer sur eux leur « art », alors qu’ils sont les seuls compétent en matière d’épidémies virales. Ils leurs ont aussi enlevé le droit, pourtant dûment reconnu par la loi, de prescrire à leurs patients les traitements qu’eux-mêmes jugeaient, en âme et conscience[97], les plus adaptés à chaque cas particulier. C’est une technique utilisée par tous les charlatans : commencer par détourner le public du travail des vrais médecins.
Nos responsables politiques ont donc retiré aux médecins de famille une autorité et une liberté thérapeutique auxquelles ils ont, depuis toujours, légalement droit et qu’ils ont même déontologiquement le devoir d’exercer quand leur patient est en danger (cfr infra, le serment d’Hippocrate).
Ensuite, pour combler le vide créé, ils ont donné la parole dans les médias à des experts inconnus et concrètement incompétents en matière de gestion des épidémies. Ces « experts » se sont adressés à tous les citoyens de façon impersonnelle - médias obligent - comme s’ils étaient tous identiques face à la maladie. Ces mesures « sanitaires » imposées alors que les malades, comme beaucoup de citoyens, traversaient une période de grande angoisse voire même de panique, a privé la population des conseils rassurants d’une autorité médicale en qui ils avaient pleinement confiance[98].
Après avoir écarté et neutralisé les médecins de famille, les autorités politiques ont en quelque sorte enfilé eux-mêmes ou fait enfiler par des médecins spécialistes (les « experts de plateau ») les habits du médecin généraliste de façon à bénéficier, par ce subterfuge, de la confiance que le citoyen a d’habitude dans la blouse blanche de son médecin de famille.
Dans cette médecine de proximité que j’ai bien connue, l’étroite implication du médecin dans le réseau social spécifique de ses patients constitue une forme de garantie de sa bienveillance et de sa probité. Il sait que sa réputation tient, plus que partout ailleurs en médecine, à la qualité humaine de ses soins. Pour des raisons purement géographiques, toute erreur grossière de diagnostic ou de traitement est rapidement colportée dans sa clientèle, ce qui, automatiquement, va lui porter préjudice. Il est ainsi naturellement responsabilisé par les conséquences de ses actes (feed-back social). C’est, à mon expérience, beaucoup moins le cas des spécialistes, surtout s’ils opèrent dans l’anonymat des grandes villes. Et ce n’est évidemment pas du tout le cas des hommes politiques (ou des vendeurs de software richissimes…) quand ils font la promotion de telle ou telle thérapeutique. Les hommes politiques qui se sont ainsi déguisés en médecins bienveillants correspondent très précisément à ce qu’on appelle couramment des charlatans, Bill Gates en étant le prototype.
Il me semble donc utile, pour comprendre la pertinence de mon accusation, de rappeler brièvement les textes des règles éthiques(le serment d’Hippocrate), déontologiques (le code de déontologie), sanitaires (l’IHR de l’OMS) et les conventions internationales auxquels est soumise la profession médicale. C’est cet engagement éthique qui, avec sa compétence technique, fondent l’« autorité » du médecin. A leur lecture, n’importe quel individu sain d’esprit est capable de saisir l’évidence du comportement charlatanesque de nos autorités politiques.
Le serment d’Hippocrate
Beaucoup de révoltés contre l’abus de pouvoir des autorités politiques se sont référés, au cours de cette pandémie, au serment d’Hippocrate, cet engagement éthique auquel tout médecin jure solennellement fidélité au début de sa carrière. Toutefois, peu de gens en connaissent vraiment le contenu. En imaginant un instant que les hommes politiques déguisés en médecins aient été tenus aux mêmes engagements éthiques que ceux dont ils ont usurpé la place en les « neutralisant », on peut facilement mesurer le gouffre éthique qui les sépare des vrais médecins de famille.
Après avoir « promis et juré d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité », le médecin jure solennellement que « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et collectifs …».
La stratégie déployée n’avait pas pour « premier souci » la « santé dans ses éléments physiques et mentaux ». Son but n’était pas sanitaire mais politique (et inavouable). Sur le plan de la santé physique, nous savons aujourd’hui (sur base des statistiques officielles) que les vaccins Covid tuent et mutilent infiniment plus que tous ceux mis sur le marché depuis trente ans. Malgré cela, la radio et la TV continuent à faire la promotion de la vaccination chez les femmes enceintes[99]. Sur le plan de la santé mentale, il est aujourd’hui évident à tous les psychologues, pédagogues, psychiatres et enseignants que les mesures très contraignantes (masques, distanciation, confinements) qui ont été imposées ont générée d’énormes dégâts psychologiques et sociaux, autant chez les enfants que les adolescents, les étudiants et les personnes âgées alors qu’aucun argument scientifique solide ne venait soutenir cette mesure.
« je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions… »
Ce serment a été bafoué en particulier dans la question du libre choix de la vaccination. Les généralistes, défenseurs naturels de la santé de l’individu, ont été réduits au silence au profit d’une conception statistique et collectiviste de la santé[100] qui ouvre la voie à un totalitarisme sanitaire.
« J’informerai mes patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences »
La majorité des professionnels de santé n’étaient pas du tout conscients de la fréquence ou de la gravité des effets secondaires. Aucun vrai « consentement éclairé » ne pouvait donc être obtenu des candidats au vaccin.
« Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences »,
J’ai déjà détaillé dans la section I (Tromperie) l’ampleur de l’abus de confiance manifesté par des autorités politico-sanitaires à l’égard de la population. Quant à l’interdiction de forcer les consciences, elle a été complètement massacrée, en particulier pour toute une catégorie de citoyens auxquels on imposait des contraintes professionnelles ou financières « dissuasives ».
« Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission…. ».
Cet engagement n’a jamais fait partie des impératifs éthiques de nos autorités politiques et c’est son absence qui est responsable de leur collusion (cfr Section V).
« Primum non nocere ». Curieusement, ce principe déontologique (« d’abord, ne pas nuire »), largement admis par la communauté médicale, ne fait pas partie des engagements du serment d’Hippocrate. Il a été totalement ignoré par les autorités politico-sanitaires qui se sont réfugiées derrière un calcul biaisé, le « rapport bénéfices-risques », qui ne peut convaincre que des technocrates sans âme. Dans les traitements préventifs comme les vaccins, contrairement aux traitements curatifs, mettre en balance le nombre de vies « sauvées », toujours hypothétique[101], et le nombre de victimes bien réelles des effets secondaires du produit, est un calcul de technocrate totalement insensible à la dimension humaine du phénomène. Mourir ou être handicapé à vie à cause d’un vaccin correspond à une cause « iatrogène » qui contrevient au principe du primum non nocere. Pour le patient et pour son médecin traitant, il y a là une différence fondamentale et personne, surtout pas une autorité politique, n’a le droit de prendre, à la place du sujet, la décision de courir ou pas le risque lié au vaccin. Tous les textes légaux (conventions internationales et européennes et nos lois nationales) insistent sur ce droit fondamental et imprescriptible de l’individu au « libre choix ». Encore faudrait-il que le sujet en question ait reçu les informations sur ce risque.
Le Code de déontologie
Rédigé par le Conseil national de l’Ordre des médecins, la dernière édition du Code de déontologie français date de février 2021. Il figure dans le Code de Santé Publique et a donc force de loi.
Son premier article (R.4127-1) rappelle que « c’est l’Ordre des médecins qui est chargé de veiller au respect de ces dispositions ». Or, dans la crise sanitaire, l’Ordre s’est « aplati » devant l’autorité politique, acceptant sans broncher les nombreuses contraventions à la déontologie et à l’éthique liées à la stratégie mise en place. Cette « soumission à l’autorité » des Conseils de l’Ordre est un exemple caricatural de ce qu’a dénoncé Stanley Milgram[102].
Ici, comme dans l’examen du serment d’Hippocrate, il est intéressant d’imaginer ce qu’auraient été obligées de faire les autorités politiques si elles avaient dû adopter, en même temps que les habits du médecin, ses devoirs déontologiques.
Art R.4127-2 : « Le médecin est au service de l’individu et de la santé publique, exerce sa mission dans le respect de la vie humaine, de la personne et de sa dignité… ».
Sa fonction spécifique du médecin (et de son autorité) est de défendre la valeur de l’individu face aux exigences « collectivistes » qui sont toujours une tentation dans l’esprit des hommes politiques autoritaires. C’est bien cette valeur essentielle de nos démocratie qui a été ignorée du fait que nos autorités ordinales ont approuvé l’autorité politique qui empêchait aux médecins l’exercice légal de leur autorité médicale personnelle.
Art R.4127-3 : « Le médecin doit….respecter les principes de moralité, de probité et de dévouement indispensables à l’exercice de la médecine…. ».
La probité étant définie comme une honnêteté scrupuleuse, elle a été gravement bafouée par les autorités politiques (cfr I :Tromperie).
Art R.4127-4 : « Le secret professionnel… s’impose à tout médecin »
Il n’a pas du tout été respecté par les autorités politiques, au nom d’une urgence sanitaire …injustifiée puisque l’épidémie n’avait rien d’exceptionnel.
Art R.4127-5 : « Le médecin ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelques forme que ce soit ».
Tous les médecins reçoivent, sans en prendre conscience, une formation fortement « influencée » par l’industrie pharmaceutique mais ce lobby se charge aussi de « formater » nos responsables politiques et nos hauts fonctionnaires de la santé[103].
Art R.4127-8 : « …compte tenu des données acquises de la Science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance… ».
Cette liberté fondamentale du médecin a été bafouée, sans aucun argument scientifique valide, autant en matière de traitements précoces (interdits) que de vaccins (obligatoires).
Art R.4127-9 : « Tout médecin …informé qu’un malade ou un blessé est en péril, doit lui porter assistance ou s’assurer qu’il reçoit les soins nécessaires… ».
Dans la pandémie, le médecin généraliste ne pouvait ni lui porter assistance puisqu’il ui était interdit d’aller voir son patient à domicile, ni lui assurer les soins nécessaire puisque les traitements précoces étaient interdits. Le patient devait attendre que sa maladie s’aggrave pour être admissible à l’hôpital[104].
Art R.4127-15 : « …Le médecin traitant qui participe à une recherche biomédicale en tant qu’investigateur doit veiller à ce que la réalisation de l’étude n’altère ni la relation de confiance qui le lie au patient, ni…. »
Toutes les vaccinations de masse pour la Covid s’inscrivent dans ce cadre d’une recherche biomédicale (phase 3 d’études cliniques préalables à l’autorisation définitive de mise sur le marché). Ici, cette phase 3 a été, sans aucune justification valide, débarrassée de toutes les contraintes habituelles de pharmacovigilance. Les mensonges à propos de la sécurité et de l’efficacité de ces « thérapies géniques expérimentales »[105] ont gravement altéré sa relation de confiance avec ses patients puisqu’en insistant pour qu’ils se vaccinent, il est devenu, involontairement, la cause directe d’une éventuelle pathologie iatrogène. Comme il est psychologiquement intolérable pour un médecin que son traitement (déclaré sûr par les autorités sanitaires) ait pu nuire à la santé de son patient, il se réfugie naturellement [106] dans le déni. Des centaines de témoignages de victimes des effets secondaires des vaccins circulent sur internet. Tous se plaignent de ce même refus des médecins d’admettre le lien de causalité entre la vaccination et leurs plaintes.
Art R.4127-33 : « Le médecin doit toujours élaborer son diagnostic avec le plus grand soin… »
Poser un diagnostic ne peut se faire sans l’examen physique du malade, acte devenu irréalisable du fait de l’interdiction qui était faite au médecin de contacter physiquement ses patients suspects de Covid.
Art R.4127-35 : « Le médecin doit à la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu’il lui propose… »
La vaccination est un acte médical qui présente, comme tout médicament, des risques. Or cet acte a été largement délégué à des non-médecins ou à des diplômés en médecine qui n’avaient aucune expérience clinique. Les vaccinodromes étaient des « usines à vacciner » dignes des pires romans d’anticipation mais très en phase avec les délires transhumanistes chers aux milieux mondialistes du FEM.
Art R.4127-36 : « Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade….refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus ».
Ce respect du consentement a été systématiquement négligé dans la stratégie collectiviste proposée. Le respect du refus éventuel du patient a, lui, été massacré du fait des contraintes intenables imposées à ceux qui refusaient une vaccination dont l’inefficacité sur la transmission et la récidive est pourtant aujourd’hui parfaitement démontrée et admise.
Art R.4127-37-3 : « A la demande du patient,….il est recouru à une sédation profonde et continue…jusqu’au décès…, à l’issue d’une procédure collégiale… Le recours à une sédation profonde…doit…être décidé dans le cadre de la procédure collégiale prévue à l’art… Le recours …est motivé…les motifs de la décision sont inscrits dans le dossier du patient».
La décision, par les autorités politico-sanitaires de libéraliser la délivrance de Rivotril® pour les Covid en détresse respiratoire est légale en France si le pronostic vital de la personne est engagé à court terme (Loi Léonettei). Cette décision doit néanmoins être systématiquement entourée d’une procédure collégiale motivée et écrite dans le dossier médical du patient, ce qui n’a certainement pas été fait. De plus, les visites des familles dans les EHPADs étant à l’époque interdites, il est hautement vraisemblable que cette libéralisation s’est traduite par une forme d’euthanasie de masse. Un pic de mortalité dans les EHPADs et les hôpitaux a accompagné cette libéralisation, mais uniquement dans la région parisienne où avaient été organisés des Groupes d’Intervention Rapide (GIR), surnommés par certains « escadrons de la mort » pour appliquer cette mesure[107]. Il y a eu durant cette période (mars-mai 2020) 13.464 traitements supplémentaires par rapport à la moyenne attendue, ce qui « explique » un tiers des décès en EHPAD à cette période.
Art R.4127-39 : « Toute pratique de charlatanisme est interdite »
Sauf, semble t’il, si on est une autorité politique qui se juge au dessus des lois, des conventions internationales et de la Constitution.
Art R.4127-40 : « Le médecin doit s’interdire….de faire courir au patient un risque injustifié. »
C’est pourtant clairement le cas pour les femmes enceintes (fausses couches etc…), les enfants (absence de risque de la Covid) et les jeunes adultes (myocardites). Dans ces groupes le rapport bénéfice-risques est clairement négatif et la vaccination néanmoins fortement encouragée par le pouvoir politique.
Art R.4127-48 : « Le médecin ne peut pas abandonner ses malades en cas de danger public… sauf sur ordre formel donné par une autorité qualifiée… »
L’ordre donné aux médecins généralistes d’abandonner leurs patients en danger a été majoritairement suivi par « soumission à l’autorité ». Toutefois, les autorités politiques qui ont donné cet ordre étaient dénuées de la compétence nécessaire et donc de toute autorité qualifiée prévalant sur celle du médecin. Quant à l’ « autorité » des Conseils de l’Ordre elle ne peut prévaloir sur l’intime conviction individuelle de chaque médecin.
Le règlement sanitaire international (IHR) de l’OMS
Du fait qu’il s’adresse indifféremment à tous les pays, l’OMS défend, dans son International Health Regulation (IHR, Règlement Sanitaire Interntional) une approche particulièrement holistique et multidimensionnelle des crises sanitaires.
Dans ses principes, le texte insiste, comme tous ceux que nous venons de voir, sur la nécessité du
« respect total de la dignité humaine, des doits humains et du caractère fondamental de la liberté des personnes »… sans commentaire.
En cas de pandémie, le mot d’ordre prioritaire est de
« rassurer la population » et «d’éviter de créer des entraves inutiles au trafic et au commerce internationaux »… ce qui correspond à l’exact contraire ce qui a été fait.
Il est intéressant de noter que dans son allocution du 12 mars 2020, le Dr Kluge, responsable de la section Europe de l’OMS, a insisté sur la nécessité de
« trouver le juste équilibre entre la protection de la santé, la prévention des troubles économiques et sociaux et le respect des droits humains »
La stratégie adoptée a créé beaucoup plus de dégâts économiques (700 milliards de dette supplémentaire) sociaux et humains (psychologiques) que le virus lui-même.
« protéger les personnes le plus à risque », est ce que préconisaient de grands épidémiologistes comme Martin Kulldorff de Harvard et les spécialistes mondiaux en santé publique cosignataires de la Déclaration du Grand Barrington (900 médecins et spécialistes). Ils dénonçaient les confinements et les masques mais non seulement ils n’ont pas été écoutés mais ce consensus scientifique - exceptionnel par le nombre d’adhérents - n’a eu aucun écho dans la presse mainstream (manifestement …aux ordres).
« convier ceux qui ne se sentent pas bien à rester chez eux et contacter leur prestataire de soins », prestataire qui, chez nous, sont les médecins généralistes, ceux précisément à qui il était interdit de contacter leurs patients malades.
« appelle tous les pays …à un échange de leurs pratiques et données d’expérience pour …profiter des mesures dont l’efficacité a été avérée » puisqu’il n’existe aucune approche universelle à la prise en charge de la Covid ».
Quand un médecin révélait ou publiait des résultats positifs avec l’Azithromycine[108], l’Ivermectine[109] ou l’hydroxychloroquine[110] tout était fait pour étouffer sa voix, y compris par voie de convocation au Conseil de l’Ordre. La main invisible de Big Pharma est ici évidente[111]. La même philosophie aberrante était appliquée aux médecins qui, comme le Dr Ochs du Luxembourg signalaient la présence d’anomalies biologiques inquiétantes[112] (élévation des D-Dimères). Au lieu de brancher sur le sujet une équipe d’hématologues, on forçait ces lanceurs d’alerte au silence.
« Chaque pays devra arrêter ou ralentir la transmission de la Covid, tout en réduisant autant que possible les répercussions économiques, publiques et sociales »
Le Dr Kluge réitère donc son conseil d’accorder une place centrale aux impacts économiques possibles de la crise sanitaire. Dans notre pays, on a clairement tout fait, au contraire, pour aggraver le désordre économique, ce qui correspond assez bien à la logique du « Great Reset », la grande réinitialisation de Klaus Schwab qui veut remettre tous les compteurs de la planète à zéro, sans notre avis ni notre accord.
Il est intéressant de noter qu’aucune allusion n’est faite, dans cette allocution initiale, ni aux masques ni même aux vaccins, ce qui est parfaitement logique du point de vue médical, puisque l’OMS reconnaît, pour la grippe que nous connaissons bien, la très faible activité protectrice des masques et qu’il a toujours été déconseillé aux médecins de vacciner en période d’épidémie[113].
Le rapport de la commission sénatoriale de 2.010
La dernière source d’inspiration à laquelle nos autorités politiques avaient accès et dont ils auraient pu tirer des enseignements très utiles pour gérer cette pandémie est le rapport de la Commission sénatoriale organisée à l’issue de la « fausse pandémie » de grippe H1N1 en 2009. Il est difficile de croire que tous ces responsables politiques aient pu avoir oublié cette précédente pandémie virale pour laquelle l’OMS avait déclaré un état d’alerte de niveau 6[114], s’était engagée auprès des firmes de vaccins à hauteur de 18 milliards $ et prévu 2 milliards de contaminés dans le monde. Après seulement quelques semaines, la pandémie avait disparu. Toutes les vaccinations ont été arrêtées et les vaccins incinérés.
La première leçon qu’auraient dû en tirer les autorités politico-sanitaires est un fait bien connu de tous les épidémiologistes. Les épidémies ont une évolution naturelle imprévisible, et évoluent par vagues de moins en moins sévères, finissant toutes par disparaître sans qu’on ne puisse dire précisément pourquoi. Or, toute la stratégie a été élaborée sans tenir aucun compte de cette imprévisibilité de la dynamique des épidémies. Nos autorités ont agi comme si le virus allait inévitablement contaminer la totalité de la planète et faire des dégâts sanitaires majeurs. Cet alarmisme sans aucun fondement scientifique a paru bien suspect dès le début à de nombreux épidémiologistes et infectiologues réputés[115],…systématiquement black-listés et traités de « complotistes ».
En lisant les recommandations faites par les rédacteurs de ce rapport sénatorial de 2010, on s’aperçoit que nos autorités politiques ont fait exactement le contraire de ce qu’ils recommandaient. Ceci ne peut pas être le résultat d’une maladresse ou d’un malheureux hasard puisque la même erreur stratégique s’est reproduite à l’identique dans tous les pays occidentaux (qui n’avaient pas eu de commission sénatoriale ?). Ceci devrait logiquement porter les esprits les moins complotistes à envisager l’hypothèse que les deux pandémies ont été instrumentalisées et ont une même origine, un même « metteur en scène » mondial. Jugez-en vous-même en lisant les conseils que les membres de cette commission sénatoriale (2.010) donnent aux autorités politiques lorsqu’elles devront faire face, dans les années qui suivent, à une nouvelle alerte pandémique.
- Impliquer, dès le départ les médecins généralistes dans la stratégie sanitaire. En réalité, ils en ont été exclus comme acteurs et comme conseillers.
- Eviter une présentation anxiogène du risque à la population. En réalité, l’alarmisme a été le mot d’ordre des médias affidés aux autorités politiques. Il faisait manifestement partie d’un projet de manipulation psychologique de masse.
- Eviter le jeu délétère des experts alarmistes de plateau. En réalité, tous ceux qui avaient des messages rassurants à livrer, (Pr Perronne, Laurent Toubiana…) étaient interdits de plateau et publiquement discrédités tandis que le message du champion des alarmistes (cfr supra), Neil Ferguson d l’Imperial College de Londres était envoyé partout en Europe pour prêcher ses thèses.
- Eviter le rôle néfaste des tests. En réalité, la sur-utilisation des tests PCR a permis de multiplier par 40 le nombre de « cas » dans les statistiques. Plus de 90% étaient asymptomatiques. L’inventeur des tests PCR, Karry Mullis, a toujours dit que ses tests étaient beaucoup trop sensibles pour être utilisés à titre diagnostique[116]. Ils n’étaient que des outils de recherche. Des tests PCR positifs n’ont aucune signification clinique[117] parce qu’ils décèlent des « charges virales » tout à fait insuffisantes pour transmettre la maladie.
- Eviter le rôle dévastateur des modèles mathématiques[118]. Neil Ferguson, épidémiologiste modélisateur à l’Impérial College de Londres, a été choisi (par qui ??) pour présenter ses projections mathématiques inquiétantes dans toutes les capitales de l’Europe alors qu’il a un palmarès de « dernier de classe » qui devrait totalement le discréditer.
- Se méfier des experts de l’OMS. Ces acteurs sont en réalité, plus que tous les autres experts, suspects de conflits d’intérêt puisque l’OMS n’exige pas, dans ses murs, de déclaration des conflits d’intérêt ( !!) et qu’ils sont soumis à l’influence incessante des très nombreux lobbyistes professionnels de l’industrie pharmaceutique présents en grand nombre à Genève.
- Se méfier des « vaccination de masse ». Cette stratégie a été le fer de lance de la politique vaccinale prônée par Bill Gates et son très puissant GAVI. Elle a été suivie par tous les pays occidentaux. Comme il s’agissait ici de vaccins géniques expérimentaux, cette politique prônée par un ingénieur ignare en médecine mais doué d’un art consommé de vendre au monde entier ses produits (cfr Microsoft) est d’une irresponsabilité totale sur le plan médical.
Il est vraiment difficile, à la lecture de ces « conseils » de la Commission sénatoriale, de se convaincre que toutes les « erreurs » de nos dirigeants politiques ne sont que le résultat d’innocentes ou naïves maladresses.
Autres textes légaux en vigueur
La vaccination forcée, pour ne pas dire obligatoire, mesure phare de la stratégie sanitaire de nos autorités politiques dans la pandémie, contrevient non seulement au serment d’Hippocrate, au Code de déontologie de l’Ordre des médecins, à l’IHR de l’OMS et aux conseils de la Commission sénatoriale de 2010 mais elle est aussi incompatible avec plusieurs conventions internationales et européennes signées par la France, dont celles plus spécifiquement rédigée pour encadrer les expérimentations thérapeutiques sur l’homme, ce qui est bien le cas de toutes vaccinations Covid jusqu’en fin 2023, date de la fin des essais cliniques de phase 3. Toutes les conventions internationales, il est utile de le rappeler, prévalent juridiquement sur les lois nationales (principe de légalité).
Le Code de Nuremberg, (version 1966), stipule que « nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience scientifique » mais il précise que « le consentement volontaire du sujet humain (dans ces expérimentations) est absolument essentiel…La personne doit avoir la capacité légale de consentir et placée en situation de pouvoir poser un libre choix sans intervention de quelque élément de force, de contrainte, de supercherie, de duperie ou autre forme sournoise de contrainte ou de coercition. Elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisante de ce que cela implique de façon à ce qu’elle puisse prendre une décision éclairée. Ce dernier point exige qu’avant de prendre une décision positive, on fasse connaître au sujet de l’expérience la nature, …et tous les désagréments et risques qui pourront être raisonnablement envisagés et les conséquences sur sa santé…. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelle qui ne peut pas être déléguée impunément. »
Si j’ai bien compris le « principe de légalité », les conventions internationales ont préséance sur nos lois nationales. Cela signifie que personne, en France, n’était forcé d’accepter la vaccination puisqu’il s’agit d’une expérimentation. Le fait que les juges n’aient pas rapidement fait connaître aux citoyens ce droit souverain est aussi inexcusable à mes yeux que la « soumission à l’autorité » de nos Conseils de l’Ordre.
Le médecin et ministre de la santé, O. Véran, a fait publiquement une déclaration qui suggérait que le vaccin « n’était plus en phase expérimentale ». Comme c’est faux, cela fait de lui le principal responsable de l’hécatombe vaccinale puisque ses titres de ministre et de médecin l’investissaient de l’autorité suprême en matière de politique sanitaire.
La Déclaration de Helsinki (1996) stipule que « la participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Aucune personne capable de donner son consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé. »
La Convention d’Oviedo(1997) stipule que « une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectué qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et à ses risques… »
La Cour européenne des droits de l’homme précise dans l’arrêté Salvetti (2002) que « aucun traitement n’est obligatoire au sein de l’Union européenne…. En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée… ».
La cour européenne ayant préséance sur nos tribunaux nationaux, elle confirme les articles du Code de Nuremberg, c'est-à-dire que nul ne peut être forcé à un traitement, fût-il un vaccin.
Le Conseil de l’Europe en date du 28 janvier 2021, c'est-à-dire dès le tout début des campagnes de vaccination, « prie instamment les Etats membres de s’assurer…que la personne ne subit pas de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner (art 731)… que la personne ne soit pas victime de discrimination pour ne pas avoir été vaccinée…ou pour ne pas vouloir se faire vacciner (art732)». Manifestement, nos autorités politiques se sont « torché le c*** » avec cette directive européenne.
En France, soulignons encore que
Le Code Civil français stipule, dans son article 16-1 que « Chacun à le droit au respect de son corps. Le corps est inviolable ». La vaccination obtenue par la contrainte constitue donc un viol caractérisé.
La loi Kouchner (2002) rappelle que « …aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne… »
Ce « consentement libre et éclairé » est donc un impératif récurrent autant dans les textes légaux nationaux que dans les conventions internationales Nos autorités politiques ont donc agi en totale contravention avec tous les textes légaux qui visent précisément, dans un état de droit, à limiter leur tendance naturelle à abuser de leur pouvoir.
« Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés »
Jean Racine
IV : Crime de masse
L’accusation de crime de masse découle logiquement de celle de charlatanisme puisque c’est la stratégie « thérapeutique » douteuse imposée par nos politiciens-charlatans qui est directement ou indirectement responsable de milliers de décès.
Crime, meurtre ou homicide ?
Juridiquement parlant, le terme de crime de masse reste encore imprécis mais je choisis de l’utiliser parce mon accusation est difficile à ranger dans une catégorie classique de notre droit national ou international. Tous les responsables politiques des pays démocratiques méritent en effet la même accusation mais les responsables ultimes de ce crime de masse évoluent dans un espace mondial qui n’est pas encore juridiquement armé pour les inculper (cfr sections V et VI). Un vrai tribunal mondial reste probablement encore à inventer. Aujourd’hui, le Tribunal pénal international (TPI) a pour fonction de traduire en justice les individus responsables de génocides, de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et de crimes d’agression. Il n’est toutefois pas reconnu par la Russie, les USA, la Chine et l’Inde, c'est-à-dire les quatre plus grands pays du monde. La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) veille au respect de la Convention européenne des droits de l’homme mais elle n’est valide qu’en Europe. Finalement, la Cour internationale de justice (CIJ), bras judiciaire de l’ONU, s’occupe du règlement pacifique des conflits internationaux. C’est donc à la juridiction du TPI que mon accusation correspond le mieux mais, sans un soutien au niveau national, la plainte elle-même n’a aucune chance d’être entendue.
La notion de « crime de masse » n’est apparue en Europe que lors du procès de Nuremberg qui a jugé les crimes du régime Nazi. Il désigne généralement « des mises à mort d’une ampleur massive, ordonnées et organisées par des gouvernements ou des organisations semi-gouvernementales »[119]. Le terme est plus général que le génocide qui désigne un crime de masse « avec intention de détruire un groupe en tant que tel » (ONU 1948).
Le mot crime a bien, lui, une signification juridique précise mais qui n’est pas celle du langage courant. Il désigne seulement la catégorie la plus grave des « infractions » à la loi. Le viol, par exemple est un crime bien qu’il n’y ait pas d’homicide.
L’homicide, c'est-à-dire le fait de tuer un homme, peut être involontaire, auquel cas il est rangé dans les simples délits et relève du tribunal correctionnel. Si, par contre, il est volontaire, il relève de la Cour d’Assise et de son jury populaire. Ce jury devra avant tout juger si l’homicide en question a été réalisé avec ou sans préméditation. L’homicide volontaire avec préméditation correspond à un assassinat et celui sans préméditation à un « simple » crime.
Personnellement, je ne pense pas qu’il y ait eu, dans le chef de nos autorités nationales, une véritable intention de tuer. Il s’agirait donc plus ici d’un « homicide de masse involontaire » plus que d’un véritable « crime de masse » mais cette catégorie de crime n’est pas encore répertoriée par le Droit.
Par contre quand l’accusation portera, non plus sur nos élites nationales mais sur les « sponsors » mondiaux de cet homicide de masse[120], je suis beaucoup moins certain qu’ils pourront encore défendre le caractère involontaire de la manœuvre. Beaucoup de ces élites mondiales défendent en effet publiquement des idées eugénistes de réduction de la population mondiale qu’elles associent parfois explicitement à un projet de vaccination de masse[121].
La première question à laquelle il faut répondre pour donner corps à l’accusation est, pour nous en France : qui sont les victimes de ce « délit » d’une gravité et d’une ampleur jamais connue auparavant et quel est leur nombre ? Il y a plusieurs types de victimes, chacun lié à un type particulier de cause du décès.
Les victimes du déni de soins
Chronologiquement parlant, il y a d’abord eu les morts liés à l’interdiction faite aux médecins traitants de délivrer aux cas suspects de Covid des soins précoces à domicile. La seule absence du médecin de famille au chevet de ses patients malades les a privés du « premier médicament de la médecine générale » (M Balint). Mais il y a beaucoup plus grave. L’incroyable interdiction qui leur a été faite de prescrire autre chose que du paracétamol n’a absolument aucune justification médicale, scientifique ou même déontologique puisque le médecin est, légalement parlant, le seul juge des traitements à délivrer à ses patients dans chaque cas individuel. Cet ordre, contraire à tous les principes de la médecine et émanant d’autorités politiques, est en réalité criminel puisque nous savons aujourd’hui que si ces autorités avaient « laissé les médecins prescrire »[122] des médicaments surs et efficaces[123] comme l’Erythromycine[124], l’Ivermectine, l’hydroxychloroquine, la Vitamine D et Le Zinc, on aurait réduit le nombre de décès du Covid des deux tiers[125]. En France, nos autorités politiques sont donc responsables de plus de 100.000 décès par « négligence forcée » des soins précoces par le médecin généraliste. Cet abus de pouvoir manifeste a donc été très lourd de conséquences pour la santé de la population.
Logiquement, cet ordre aberrant aurait dû être immédiatement annulé par les Conseils de l’Ordre puisque leur fonction légale consiste à veiller au respect des principes éthiques et déontologiques des médecins et qu’en l’espèce, ces principes étaient manifestement violés. Ces autorités ordinales portent donc une très lourde responsabilité dans ce crime de masse parce qu’ils auraient pu l’empêcher. Ils auraient même dû le faire s’ils avaient simplement fait leur travail avec la « probité » et l’ « indépendance » qu’exige leur fonction[126], exigence parfaitement reconnue dans notre Etat de droit. Au lieu de cela, ils se sont « soumis à l’autorité » des politiques.
Conscient de l’incompétence de nos autorités politiques en matière de médecine et de santé publique, cette mesure n’est pas sortie de leur imagination. Elle a dû leur être suggérée par des conseillers ou des experts affidés à l’industrie pharmaceutique puisque c’est là le seul « bénéficiaire » de cette mesure (celui « à qui profite le crime ») et la seule raison logique (et cynique) de cet ordre. Il était en effet impératif pour ces entreprises de « rentabiliser leurs investissements »[127]. L’industrie pharmaceutique est en effet en panne de nouveautés pharmaceutiques depuis des années. Elle s’est engagée depuis 30 ans dans l’aventure des thérapies géniques avec de grands espoirs mais, jusqu’ici, sans véritable succès. Il était donc « vital » pour satisfaire leurs investisseurs[128] de convaincre toutes les autorités politico-sanitaires des pays d’adhérer à leur « religion vaccinale », c'est-à-dire à la croyance - dénuée de tout fondement scientifique - dans le « salut par le vaccin » dans la pandémie Covid. Or, pour mettre sur le marché en urgence un médicament qui exige d’habitude 10 ans d’essais cliniques, il faut légalement qu’il soit démontré qu’il n’existe aucune alternative thérapeutique. Or il en existait. Si on voulait mettre le vaccin sur le marché en urgence, il fallait les interdire. C’est là la seule explication cohérente à cette interdiction de prescrire.
- Ivermectine et hydroxychloroquine
Depuis les travaux de recherche menés à la suite de l’épidémie de SARS-Cov 1 (en Chine en 2002), de nombreux laboratoires se sont intéressés aux coronavirus (des budgets conséquents avaient été débloqués à cette occasion) et ils ont examiné à la loupe l’efficacité potentielle d’une foule de médicaments déjà connus et autorisés à la vente pour d’autres indications. La littérature spécialisée a ainsi démontré la grande efficacité sur les coronavirus de deux molécules anciennes utilisées à très grande échelle et dénuées d’effets secondaires notables, l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine.
L’Ivermectine est un antiparasitaire utilisé en Europe pour la gale et en Afrique depuis 30 ans pour une parasitose qui rend aveugle, la « cécité des rivières ». En France, au tout début de la pandémie, on a eu, un peu par hasard, la démonstration de l’efficacité de cette molécule[129], mais la bonne nouvelle a été étouffée dans la presse.
L’hydroxychloroquine (HCQ) est un médicament utilisé depuis 70 ans en Afrique et d’autres pays tropicaux pour prévenir et lutter contre le paludisme et, plus récemment, pour traiter des maladies rhumatismales (Polyarthrite, Lupus). De nombreuses publications scientifiques font état, depuis des années, de l’efficacité de cette molécule sur les coronavirus[130]. En France, le Professeur Didier Raoult, sommité mondiale en infectiologie, a prôné dès le début de la crise l’utilisation de l’HCQ associée à de l’Erythromycine et du Zinc. Ce « protocole Raoult » a été largement utilisé avec succès en Algérie et dans d’autres pays africains. En France, lors de la visite du Président Macron le 9 avril 2020 à l’IHU de Marseille, l’infectiologue faisait état de ses 1.061 patients traités avec son protocole avec 92% de guérison à 10 jours. Parallèlement, s’est déclenchée une campagne médiatique très violente de dénigrement du Pr. Raoult et de son traitement. Le but de cette évidente manipulation de masse était de « passionnaliser » le débat de façon à ce que la question devienne si sensible qu’il devenait impossible de l’examiner rationnellement, (ce qui est la règle d’or en Science). Les Etats et l’OMS ont mis en route alors plusieurs essais cliniques randomisées qui ont été systématiquement biaisés ou interrompus sans raison valable jusqu’à ce qu’apparaisse dans le Lancet un article « démontrant » l’inefficacité et même la toxicité de l’HCQ (alors que ce médicament est jugé particulièrement sûr depuis 70 ans). Quinze jours plus tard, l’article était rétracté par l’éditeur pour suspicion de fraude et il est est devenu, depuis, un modèle de scandale scientifique, le «Lancet gate » (cfr V),scandale dont la presse mainstream se garde bien de parler.
Il existe aujourd’hui des preuves que des acteurs clé de la pandémie au niveau mondial comme au niveau national étaient parfaitement au courant de cette efficacité des vieilles molécules. Cependant, soit ils ont gardé le silence[131], soit ils ont été forcés de se rétracter[132], soit encore, ils ont activement participé à la décrédibilisation publique de ces traitements via des accords avec les réseaux sociaux et le presse[133].
Ceci signifie que ces « autorités » médicale et sanitaires ont délibérément préféré collaborer ou se soumettre aux pressions de l’industrie pharmaceutique plutôt que de proposer aux autorités sanitaires nationales ces traitements qui avaient toutes les qualités requises pour endiguer l’épidémie. Ils pouvaient en effet être utilisés immédiatement et sans étude clinique préalable puisque leur innocuité est connue depuis des décennies et testée à une très large échelle en Afrique. De plus, ils sont particulièrement bon marché (8.53€ pour un traitement complet par l’Ivermectine et 3.4 € pour 30 comprimés d’hydroxychloroquine) à comparer au prix d’un nouvel antiviral comme le Remdesivir ® (1.340€/traitement).
-Vitamine D
Bien avant qu’on parle de Covid, de nombreuses publications avaient démontré l’efficacité de la Vit D sur les viroses en général et les coronavirus en particulier. Ces résultats ont été largement confirmés par des études faites sur le Sars-Cov2, mais aucune de ces études n’a eu d’écho dans la presse publique. Nos autorités politico-sanitaires ont donc délibérément laissé les malades et leurs médecins traitants ignorants de ce traitement simple, inoffensif, très peu onéreux et qui diminue de 50% la morbi-mortalité de la Covid, qu’il soit donné à titre préventif, en traitement précoce ou même lors de l’hospitalisation en réanimation.
Ces résultats, « spectaculaires » dans une maladie présentée comme une « catastrophe sanitaire sans précédent depuis un siècle » (Macron) et sans traitement médicamenteux efficace connu (Véran), n’ont fait l’objet d’aucune publicité, ni dans les journaux officiels (le médicament est en vente libre) ni dans la presse médicale gratuite envoyée aux médecins (largement sponsorisée par l’industrie pharmaceutique). Le silence sur cette vitamine constitue, de la part du ministre de la santé et des « experts de plateau », une omission plus que « coupable ». Elle est criminelle.
Victimes du « plan blanc » et de la peur de l’hôpital
Le second type de décès évitables au cours de la Covid est dû à une désertion de l’hôpital par des malades non-Covid, liée soit au « plan blanc » soit à la peur d’être hospitalisé.
Le plan blanc est une mesure sanitaire devenue légale par la loi du 9 août 2004. Elle est imposée aux hôpitaux pour endiguer les afflux massifs de malades ou de blessés lors de catastrophes sanitaires. Durant la crise de la Covid, le plan blanc a été déclenché en France, d’abord dans la région parisienne puis dans tout le pays. Il consiste à postposer toutes les interventions et traitements lourds non-urgents de façon à libérer le personnel pour qu’il puisse se focaliser sur l’urgence sanitaire.
Ce sont, ici aussi, les projections mathématiques alarmistes des épidémiologistes qui ont justifié cette décision. Comme on sait aujourd’hui que les lits Covid n’ont représenté que 2 % des hospitalisations et 5 % des lits de réanimation en 2020 (statistiques de l’ATIH), il est évident que beaucoup de ces services affectés par le plan blanc ont été en chômage technique par manque de patients. En réalité, actuellement ce plan est le plus souvent déclenché à cause du manque de personnel, état chronique dans nos hôpitaux suite à une politique de désinvestissement de l’Etat dans les hôpitaux publics. On peut toutefois se questionner sur l’opportunité de postposer des interventions chirurgicales ou des chimiothérapies alors que la Covid ne relève d’aucun de ces types de traitement et ne va pas affecter les équipes spécialisées dans ces soins.
La peur d’être hospitalisé liée à l’atmosphère angoissante créée par les médias explique la diminution considérable des hospitalisations et du recours aux services d’urgence pour deux pathologies courantes et responsables d’un grand nombre de décès, l’accident vasculaire cérébral (AVC) et l’accident coronarien (infarctus). Les patients préféraient rester chez eux que d’affronter ce que leur montrait quotidiennement la TV, c'est-à-dire des services surencombrés où, de plus, ils avaient un risque accru d’être contaminé par le virus « diabolique ».
La stratégie sanitaire autoritairement déployée témoigne, ici aussi, de la volonté du pouvoir politique de rester seul maître à bord en évitant tout partage des décisions avec les vrais responsables locaux et en continuant à entretenir, par la téléréalité des médias, une propagande de la peur.
Le nombre de décès dus à ces retards de prise en charge de pathologies qui guérissent quand elles sont dépistées précocement où à ces patients atteints de pathologies graves qui n’ont pas osé imposer leur présence dans des hôpitaux prétendument sursaturés est difficile à évaluer mais les statistiques démontrent une diminution tout à fait significative des entrées à l’hôpital ou aux urgences pour l’AVC et l’accident coronarien. Comme pour les cas de Covid, les décès dus à ces deux pathologies ont certainement été plus nombreux en restant à domicile que s’ils avaient été hospitalisés.
Victimes des vaccinations
La troisième cause du crime de masse est l’injection des vaccins. J’en ai déjà parlé ici dans la section I et dans mes livre précédent. On sait très bien aujourd’hui que les vaccins ont tué et détérioré la santé de beaucoup de gens en parfaite santé avant les injections. Ce n’est là aucunement un propos complotiste (délirant). Il suffit de consulter les centres officiels de pharmacovigilance[134] pour constater qu’il y a eu plus de décès et d’effets secondaires graves rapportés en deux ans de vaccination Covid qu’en trente ans d’utilisation de tous les autres vaccins, tous vaccins confondus.
Il faut ensuite se souvenir que le nombre de cas rapportés à la pharmacovigilance est entre 10 et 100 fois moindre que le nombre de cas réels. En 1976, on a arrêté une vaccination de masse aux USA (pour une grippe porcine) après signalement d’une trentaine de décès. Aujourd’hui, on dépasse, dans le même pays les 20.000 décès pour le vaccin Covid et personne ne réagit.
D’autres sources comme les statistiques des compagnies d’assurance, du service de santé de l’armée américaine, des embaumeurs américains ou de certains échographistes[135] effrayés par le nombre d’enfants mort-nés diagnostiqués depuis la vaccination confirment la réalité et l’ampleur du phénomène. De plus, les statistiques nationales de mortalité toutes causes confondues (les seules qui soient infalsifiables), démontrent, dans de nombreux pays, une surmortalité inexpliquée des jeunes adultes apparue précisément après qu’on a commencé les campagnes de vaccination de masse. La myocardite est un effet secondaire reconnu et fréquent chez les jeunes. Sa gravité est très variable, allant d’une légère élévation de la troponine (marqueur de lésion du myocarde) à la mort subite. Il est raisonnable de penser que les décès inexpliqués chez des jeunes et de nombreux athlètes[136] sont dus à des myocardites. A ces statistiques inquiétantes qui ne semblent pas ébranler la conviction de nos autorités politiques qu’il faut poursuivre les vaccinations, y compris chez les jeunes qui ont un risque extrêmement faible de mourir de la Covid, s’ajoute la démonstration statistique d’une sous-natalité « inexpliquée » importante (10 à 25%) dans de nombreux pays, systématiquement détectée plusieurs mois après le début des campagnes de vaccination.
Quoiqu’il en soit des chiffres, la cause de ces décès (et autres effets secondaires) est ici toujours « iatrogène ». Comme le risque de mourir de la Covid est quasi nul chez les enfants et très faible chez les jeunes de moins de 35 ans, il n’y a aucun argument médical permettant de justifier la propagande massive faite par les autorités politiques en faveur de la vaccination, d’autant plus qu’il est aujourd’hui démontré que le « vaccin » en question ne protège ni de la transmission ni de la re-contamination, ce qui signifie qu’ils ne « vaccinent » tout simplement pas, au sens commun du terme.
Victimes du Rivotril
De mars à mai 2020, la délivrance de Rivotril® a été libéralisée dans les EHPAD’s. Il s’agit d’un tranquillisant (une benzodiazépine comme le Valium) qui, ayant une importante activité dépressive sur le centre respiratoire du cerveau provoque, chez une personne en insuffisance ou en détresse respiratoire, une « carbonarcose », c'est-à-dire un endormissement (narcose) par le gaz cabonique (CO2) qui n’est plus éliminé du corps par la respiration et, à terme, le décès. La prescription du Rivotril était jusqu’alors réservée à certains spécialistes. Il était régulièrement employé dans le cadre très étroitement réglementé de la Loi Léonetti sur la fin de vie à titre de « sédation prolongée jusqu’au décès », c'est-à-dire d’euthanasie. Sa libéralisation a été facilitée, dans la région parisienne, par l’organisation de « groupes d’intervention rapide » qualifiés par certains d’ « escadrons de la mort ». L’interdiction faite à l’époque aux familles de visiter les résidents des EHPADs a certainement facilité l’application du protocole de fin de vie proposé aux médecins des ces établissements mais je doute que les mesures prescrites (décision collégiale et rapport écrit dans le dossier) aient été suivies.
Le nombre de décès attribuables à cette technique d’euthanasie est difficile à évaluer mais d’après les calculs statistiques de P. Chaillot, il y aurait eu une sur-prescription manifeste de cette drogue par rapport à la moyenne et 1.700 sujets en auraient « bénéficié » entre mars et mai 2020.
Victimes de la panique planifiée
De nombreuses personnes psychologiquement sensibles ont perçu les messages alarmistes des médias comme l’annonce d’une véritable apocalypse mondiale, ce qui a précipité, chez eux un état dépressif qui a parfois évolué jusqu’au suicide. Chez les vieillards isolés dans les EHPADs, les « syndromes de glissement » se sont multipliés, les amenant au décès beaucoup plus tôt que prévu.
Chez de nombreux jeunes, adolescents et jeunes adultes fragiles, on a observé cette même réaction dépressive et de découragement vis à vis de la vie qui, souvent les a menés au suicide. Toutes les professions concernées en témoignent de même que certaines études statistiques. Ces campagnes anxiogènes ont correspondu, chez ces individus à une torture morale qui, vue rétrospectivement, était tout à fait injustifiée et donc criminelle.
Des responsabilités pénales différentes
Parmi les cinq causes répertoriées de décès attribuables à la stratégie sanitaire par nos autorités politiques, toutes n’ont pas le même degré de gravité en termes de responsabilité pénale.
Les décès liés au déni de soins sont totalement inexcusables parce qu’écarter les fantassins (les médecins généralistes) de la première ligne des soins (au lit du malade) et leur interdire d’utiliser leurs armes (les médicaments qu’ils connaissent) alors qu’on vient de déclarer le pays en « état de guerre » est un contre-sens tellement criant qu’il faudrait supposer le QI de nos autorités politiques inférieur à 50 pour ne pas les croire pleinement responsables de ces décès.
Les décès dus au plan Blanc pourraient être mis sur le compte de la panique et d’erreurs stratégiques pardonnables mais uniquement dans la mesure où il serait démontré que les autorités n’étaient pas au courant du caractère factice et intentionnel de la campagne alarmiste diffusée (avec leur approbation tacite) dans tous les médias. Il est toutefois difficilement concevable que les plus hauts responsables politiques aient pu ignorer toute cette « mise en scène » au vu de leur obéissance aveugle, dans tous les autres aspects de cette stratégie « aberrante », à l’agenda mondial occulte qui a manifestement inspiré tous les autres gouvernements occidentaux. Comme ils ne sont pas des débiles mentaux, il fallait que, eux au moins, connaissent et comprennent la logique politique de la manœuvre pour convaincre leurs collaborateurs et la population de la prétendue logique sanitaire de leurs décisions.
Si les décès dus aux vaccinations pouvaient encore être, au tout début des campagnes, mises sur le compte de la falsification par l’industrie pharmaceutique des résultats des essais clinique préalables à la mise sur le marché (ce qui est aujourd’hui démontré), cela n’a plus été le cas par la suite. En effet, ce sont alors leurs propres statistiques nationales qui ont été falsifiées, leur déni systématique de la réalité des effets secondaires et des décès qui a été délibérément organisé et leur soutien secret aux manœuvres de censure qui ont empêché l’arrêt immédiat des campagnes de vaccination réclamé par de nombreux collectifs de médecins et de scientifiques. Dès avant la mise en route des vaccinations, de très nombreux lanceurs d’alerte parfaitement autorisés en ces matières[137] se sont exprimés clairement, malgré la censure, pour avertir la population de la folie de cette « vaccination » qui faisait fi de toutes les règles classiques de la médecine, de la pharmacovigilance et des essais cliniques.
Aujourd’hui, compte tenu de tout ce que nous connaissons sur la toxicité de ces vaccins, continuer à en faire la promotion est, sans plus aucun doute, une attitude criminelle. Si « Errare humanum est [se tromper est humain] perseverare diabolicum [persévérer est diabolique] ».
Quant aux décès dus au Rivotril® ils devraient faire l’objet d’une enquête pour déterminer la responsabilité exacte de nos autorités.
« Le fascisme devrait plutôt être appelé corporatisme parce qu’il est le fruit d’une fusion du pouvoir de l’Etat (le « public ») et des entreprises (le « privé »)»
Benito Mussolini.
V : Collusion
Les deux derniers griefs (Collusion et haute trahison) nécessitent, pour être bien compris, de passer du point de vue national à un point de vue mondial. Il a fallu la collaboration secrète - définition de la collusion - de nos plus hautes autorités politiques avec des puissances mondiales pour parvenir à faire passer leur narratif mensonger pour vrai et imposer à la population du pays une stratégie prétendument sanitaire particulièrement contraignante et liberticide.
Le délit de collusion et le crime de haute trahison (section suivante) sont intimement liés mais je les analyserai séparément en commençant par la collusion, grief plus facile à comprendre et plus familier que la haute trahison.
Collusion ou complot ?
Le Robert définit la collusion comme une « entente secrète au préjudice d’un tiers ». Cette définition est très proche de celle du complot, « projet concerté secrètement afin de nuire (à qqun, à une institution)». C’est le mot secret qui relie ces deux définitions. Or, le secret est la marque de fabrique de tous les pouvoirs abusifs, celui du parti communiste en Chine comme celui du Conseil de défense d’Emmanuel Macron. Celui qui agit pour le bien du peuple n’a rien à lui cacher, bien au contraire. Il aura plutôt tendance à le montrer ostensiblement à ses électeurs.
Dans l’esprit des gens, la collusion a une signification plus économique (fraude financière) et le complot un sens plus politique (coup d’état). De plus, la collusion, n’implique généralement que deux ou quelques personnes qui s’entendent pour frauder les droits légitimes d'un tiers (c’est un délit) alors que le complot s’entend plus comme l’entente de tout un groupe de personnes dans le but de prendre le pouvoir (c’est un crime, aux yeux du pouvoir en place). Initialement, j’avais choisi le mot « collusion » du fait qu’en accusant des personnes d’organiser un complot ou d’y participer, on devient automatiquement un « complotiste » (le complotiste est une « adhérent à une théorie du complot » dit le Robert). Comme ce terme avait pris, dans le contexte médiatique de la crise sanitaire, un sens exclusivement péjoratif[138], il serait contreproductif de l’utiliser ici. Il est d’ailleurs utilisé en ce sens depuis longtemps par les pouvoirs en place parce qu’il est un outil de psychologie de masse très efficace pour décrédibiliser les ennemis de son propre narratif[139]. C’est très certainement ce qui a motivé nos autorités politiques à l’utiliser dans la crise sanitaire. Le but était de décrédibiliser tous ceux qui pourraient, par contestation du narratif officiel, amener les gens à deviner des manœuvres secrètes et donc suspectes de nos gouvernants. Un enfant de cinq ans comprend ça : « celui qui dit (tu es un complotiste) c’est lui-même (qui complote) ». Un psychologue appellera cela, en termes plus savants, la « projection » sur les autres de la part sombre de soi-même, celle qu’on ne veut pas assumer. Aujourd’hui, j’ai opté pour la revendication assumée du titre de complotiste parce qu’elle est parfaitement adaptée à sa définition dans le Larousse : « personne qui récuse la version communément admise d'un événement et cherche à démontrer que celui-ci résulte d'un complot fomenté par une minorité active »
Collusion et corruption
La collusion entre deux parties suppose la corruption de l’une (le « corrompu ») par l’autre (le « corrupteur »). La corruption se définit comme « le fait, pour une personne investie d'une fonction déterminée (publique ou privée), de solliciter ou d'accepter un don ou un avantage quelconque en vue d'accomplir, ou de s'abstenir d'accomplir, un acte entrant dans le cadre de ses fonctions ». Dans l’accusation que je porte, nos autorités politiques nationales font office corrompus et les puissances mondiales privées de corrupteurs. La corruption est aujourd’hui, de notoriété publique, une pratique majeure de tous les lobbys et le FEM, catalyseur du projet mondialiste de la caste est, très officiellement, une simple entreprise de lobbying qui est parvenue à « influencer » (lisez « vassaliser ») les autorités politiques de tous nos pays démocratiques, en particulier par le biais de son école des cadres qui a formé tous ses Young Global Leaders à la vision mondialiste imaginée par la ploutocratie économico-financière de la planète (les « clients » dudit Lobby)..
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Des livres entiers, de nombreuses investigations journalistiques et de multiples enquêtes policières nous ont tellement habitués aux scandales de la corruption à grande échelle (hommes politiques, hauts fonctionnaires) que cette pratique semble faire partie du paysage normal de notre société alors qu’elle signe un dysfonctionnement grave de la démocratie. La chose est aujourd’hui à ce point banalisée dans les milieux des élites que plus personne ne semble se révolter devant le « pantouflage » assumé des hauts fonctionnaires et hommes politiques ou leur recyclage dans le système peu après leur condamnation pour corruption. On dit même que la nomination à un poste européen ou mondial (ONU, OMS, FMI, UE …) est une manière élégante pour un élu d’échapper à un scandale politique ou financier qui le menace dans son pays[140].
En France, le « pantouflage » de nos élites politiques était même, paraît-il, conseillé par les enseignants de l’ENA à leurs étudiants. Tout le monde connaît cette pratique mais aucun homme politique ne la dénonce publiquement parce que ces postes très bien payés constituent pour eux une forme d’« assurance retraite » (des pantoufles) très confortable dans un paysage professionnel où rien n’est acquis à vie.
Mon enquête sur la pandémie m’a fait découvrir toute l’ampleur de ce phénomène mais avant d’en arriver à oser évoquer l’hypothèse d’un « complot (collusion) mondial(e) », il m’a fallu réaliser qu’une foule d’administrations et de fonctionnaires de l’Etat avaient été corrompus, ce qui, dans mon esprit, semblait une idée impensable. La chose ne m’est devenue pensable que quand j’ai compris qu’à côté de la corruption grossière, celle du gros sac d’argent liquide versé à un responsable public, existaient beaucoup d’autres formes plus discrètes et plus subtiles de corruption[141]. C’est l’accumulation de toutes ces petites corruptions quotidiennes qui créent en fait le terrain propice à la banalisation du processus.
Dans l’affaire qui nous occupe ici, il est impossible de savoir si les acteurs politiques ont été directement rétribués financièrement (dans des paradis fiscaux bien entendu[142]) par leurs corrupteurs mais, quoiqu’il en soit, l’avantage principal offert par les puissances mondiales à nos hommes politiques n’est probablement pas tant d’ordre financier que politique et professionnel. Ce que les puissants de ce monde semblent leur avoir surtout offert c’est un formidable tremplin pour leur carrière politique[143]. C’est ce qui explique l’étonnante jeunesse de nos plus hautes autorités politiques alors qu’auparavant, on n’accédait à ses hautes fonctions qu’après avoir appris longuement le métier. Ce jeunisme ne peut s’explique que par le soutien de ces poulains encore psychologiquement très malléables, par la ploutocratie mondiale et le FEM qui « tirent les ficelles ».
Théoriquement, il n’y a pas là matière à une accusation de corruption en justice mais quand on connaît la morale dans le milieu d’affaire international, il est évident que cette opportunité offerte « gracieusement » aux candidats aux fonctions politiques exige implicitement de leur part un retour d’ascenseur[144]. Ce qui nous empêche le plus de voir cette corruption c’est que le corrupteur principal n’est pas une puissance économique précise mais un « influenceur » professionnel, le FEM, l’entreprise de lobbying qui sert ces puissants qui sont, dans l’ombre de l’anonymat, ses clients et ses bailleurs de fonds.
La source d’inspiration commune
Il suffit pour s’en convaincre de voir à quel point les stratégies sanitaires déployées dans les états ont été identiques, au détail près[145]. Cet unisson implique l’existence d’un « agenda » caché suivi fidèlement par tous les dirigeants politiques et dont la mise en œuvre nécessitait la collaboration des entreprises mondiales.
- Les GAFAM ont assuré la diffusion à l’unisson de la censure des voix dissidentes, de la désinformation sur la crise sanitaire et de la propagande pro-vax, ce qui exige des moyens considérables de contrôle de l’information par des algorithmes sophistiqués accessibles à ces seules entreprises gigantesques.
- Les entreprise financières supranationales (banques mondiale et européenne, FMI et grands fonds d’investissements) ont largement ouvert les robinets à un endettement aussi considérable[146] et largement injustifié[147] des Etats, permettant la réalisation du très coûteux agenda de la crise (700 milliards en France).
- Les agences de presse mondiales (AFP, AP, Reuters) se sont chargées de fournir aux journalistes mainstream des informations et un narratif univoques qu’ils ont répercutés dans les médias nationaux.
-Les grands cabinets de conseil en stratégie[148] se sont chargés d’assurer la cohérence, au niveau mondial, des stratégies déployées dans chaque état.
- Finalement, les think tanks « mondialistes » privés (FEM, Bilderberg, G20, Commission trilatérale, Rand Corporation, FAF[149], Chatham House[150] etc) ont joué le rôle d’inspirateurs de la philosophie mondialiste partagée par les élites mondiales notoirement déconnectées des aspirations du peuple.
Tous ces acteurs ont longtemps veillé à garder secrètes leurs réflexions et leurs délibérations sur la façon dont ils allaient influencer les élections (en soutenant tel ou tel candidat) ou dont ils envisageaient concrètement de façonner le monde futur. Ils savent très bien, en effet, qu’il est impératif de cacher au peuple leurs projets, incompatibles avec les idéaux démocratiques de nos états de droit.
Quand j’accuse nos dirigeants politiques de collusion, c’est parce que, par leur formation (secrète) dans certaines « écoles des cadres » et leur sponsoring par des gens puissants[151], le processus démocratique est perverti à la base. Ces écoles sont en effet financées par des élites mondialistes (« YGL » du FEM[152], « Young leaders » de la FAF[153] ou de la FCF[154]), et n’admettent les candidats en leur sein qu’après un interview qui permet le tri très sélectif des aspirants à cet enseignement en fonction de leur adhésion ou non à la philosophie mondialiste (FEM) ou européiste (Bilderberg[155]). Cette perversion à la base est confortée par leur fréquentation courtisane des « grands de ce monde ». Les élus politiques « rampent » devant les grands patrons des entreprises mondiales.
Les individus que nous pensons avoir élus en toute liberté pour défendre la souveraineté de notre pays, nos principes démocratiques et nos libertés individuelles sont en réalité devenus les vassaux des puissances supra-nationales. Ils espèrent, en suivant leur philosophie, s’assurer une « pole position » dans la course électorale et plus tard dans la gouvernance mondiale prévue par la caste (Macron rêve manifestement de devenir le président de l’Europe voire même du futur état mondial.
La « vision du monde » ainsi insidieusement instillée dans leur esprit malléable les a amenés à suivre, sans peut-être en prendre pleinement conscience, l’« agenda » de ces élites économiques, financières et médiatiques de la planète. Elles avaient déjà dans leurs mains les deux premières clés du pouvoir, l’argent et l’information mais il leur manquait encore la plus important, celle du pouvoir politique. Le « partenariat public-privé» (PPP) chanté par le FEM n’est en réalité qu’une façon déguisée, pour la ploutocratie mondiale, de faire des autorités politiques de nos états démocratiques leurs obligés et donc leurs vassaux.
C’est là, bien sûr, une inversion totale des valeurs démocratiques. Le sain équilibre des démocraties exige au contraire un conflit permanent entre les intérêts publics - qui défendent les droits des individus et une juste répartition des richesses- et les intérêts privés qui sont guidés par une finalité commerciale purement égoïste de croissance économique infinie menant à une concentration des richesses dans les mains de quelques « gagnants » au détriment de tous les autres.
Nos petites autorités politiques françaises sont bien sûr incapables de mettre elles-mêmes sur pied une stratégie politique mondiale. Ce projet « grandiose » n’a pu être imaginé et organisé que par ces puissants mais, pour qu’il aboutisse, ils devaient obtenir la collaboration et la soumission des responsables politiques des état-nations et cela devait être réalisé de façon secrète. Si le peuple (démos) apprenait l’existence d’un tel projet, il chasserait des lieux du pouvoir ceux qui le soutiennent par parce qu’il sait que la réalisation de ce projet « grandiose » le dépossèderait inévitablement de son pouvoir (kratos).
Très heureusement, certains acteurs publics de cette stratégie semblent aujourd’hui tellement fiers de leur travail et convaincus qu’ils détiennent la solution idéale pour organiser politiquement la mondialisation qu’ils ne peuvent plus s’empêcher de révéler publiquement les intentions profondes de la caste mondialiste. Tel est le cas, par exemple, de Klaus Schwab qui a déclaré publiquement devant un panel d’élites mondiales au FEM que « le futur n’est pas seulement en train d’arriver. Le futur est construit par nous, une communauté puissante, ici dans cette salle. Nous avons les moyens d’imposer l’état du monde ». Même discours chez de Bill Gates qui, le 7 décembre 2021, avouait publiquement qu’ils avouent publiquement ce projet caché depuis des décennies. Bill Gates a publiquement déclaré que « la pandémie avait été un test massif de gouvernance mondiale ». Contrairement à la plupart des ploutocrates qui préfèrent rester dans l’ombre, ces acteurs publics se montrent très généreux en communication. Mais qui peut encore, après de telles déclarations par un des représentants les plus puissants de cette caste, accuser certains de « complotisme » paranoïaque ? Le complot est bien réel puisqu’il est avoué par ses organisateurs.
Le FEM, catalyseur des intérêts mondialistes
Le FEM a toutes les qualités requises pour jouer le rôle de catalyseur d’une « convergence d’intérêt » des élites économico-financières et politiques de la planète. Le problème est que cette convergence d’intérêts des élites va à l’encontre de l’indispensable et sain « conflit d’intérêts » qui assure, dans une démocratie saine, la vie des relations entre privé et public. Elle crée cette « fusion du pouvoir de l’Etat et des entreprises » (Benito Mussolini) qui fonde le principe même du fascisme.
C’est très certainement l’adhésion de la plupart des élites politiques, économiques, financières et médiatiques du monde, rassemblées lors du grand « cocktail »[156] annuel de Davos, qui donne à ses organisateurs l’illusion d’avoir l’adhésion du monde entier. En réalité, ils n’ont que l’adhésion des élites, c'est-à-dire du tout petit sommet de la pyramide de la ploutocratie mondiale. Nos prétendues démocraties restent encore, particulièrement en France, des systèmes très aristocratiques (jupitériens), c'est-à-dire pyramidaux dans leur fonctionnement. En fait, un monde de privilégiés a conçu tout le programme d’un Nouvel Ordre Mondial « hors-sol », c'est-à-dire sans aucunement se soucier de ce qu’en pense la base, le peuple. Or, sans ce « feed-back » naturel, un système dynamique (comme l’est une société) est voué à se désorganiser.
Lorsque ce peuple prendra conscience du « dol » organisé par ses élites, il mettra en route de façon probablement très violente ce mécanisme naturel de feed-back (de la base vers le sommet de la pyramide). Les élites sont très conscientes de ce risque de soulèvement populaire, ce qui explique leur obsession d’installer, dès le début de la crise sanitaire[157], des moyens très efficaces de contrôle des individus[158], ces irréductibles réfractaires à l’ « Ordre Mondial » qu’elles ont imaginé.
C’est cette collaboration cachée de nos autorités politiques nationales au projet des élites privées économico-médiatico-financières de la planète qui justifie l’accusation de collusion. Nos dirigeants se sont présentés à leurs élus comme s’ils tenaient fermement en main le gouvernail d’un pays démocratique souverain et qu’ils allaient gérer la crise sanitaire en « en bon père de famille », soucieux de faire respecter la souveraineté de la « mère patrie » et la santé de ses « enfants ». Or, la stratégie qu’ils ont mise en œuvre leur a été dictée par une source supranationale qui a très peu le sens des valeurs familiales et aucune légitimité démocratique ou politique.
Que tous les pays se soient appuyés sur la même logique « aberrante », c'est-à-dire irrationnelle sur le plan médical et scientifique[159], ne peut pas être le fruit du hasard ni le résultat d’une obéissance servile aux ordres de l’OMS, la seule institution mondiale qui a autorité sur tous les Etats en la matière. Cette institutions ne peut pas être à l’origine de la plupart des mesures sanitaires puisqu’elles sont contraires aux principes de sa « bible, l’IHR (cfr section III). De nombreux conseils donnés timidement par le directeur de cet organisme en cours de pandémie ont d’ailleurs été totalement ignorés par les autorités politico-sanitaires nationales et les médias mainstream.
L’enjeu de la gouvernance mondiale
L’accusation de collusion est intimement liée à la question de la « gouvernance mondiale », sujet politique crucial en ce début du XXIème siècle. Le peuple n’est pas très conscient de l’importance de cette question ni du fait qu’elle motive une guerre secrète entre les puissants de ce monde[160]. En réalité, depuis des décennies ils réfléchissent à la façon d’organiser l’avenir de la planète, c'est-à-dire de lui imposer une « gouvernance » qui les arrange, eux, les puissants actuels. Ils veulent ainsi s’assurer de la pérennisation, dans cette aventure de la mondialisation, des privilèges exorbitants dont ils ont bénéficié jusqu’ici et qui expliquent leur exceptionnelle réussite financière. La crise sanitaire a d’ailleurs provoqué un transfert massif d’argent des classes défavorisées vers ces « puissants » de ce monde dont la fortune personnelle est une injure à la Déclaration des droits de l’Homme et à la devise nationale de la France, « Liberté, Egalité, Fraternité ».
De par le statut international de leurs entreprises, ils ont longtemps joui d’une forme d’immunité fiscale via l’utilisation massive des paradis fiscaux, des techniques d’ingénierie fiscale et d’une quasi totale déresponsabilisation sociale du fait que l’espace mondial est encore dénué de toute politique sociale, c'est-à-dire des mécanismes d’équilibration de la répartition des richesses entre tous les habitants de la planète. C’est ce « découplage cybernétique » (absence de mécanisme de rétroaction) par déresponsabilisation sociale et financière des élites économique mondiales qui a créé, au cours des dernières décennies, un énorme fossé entre le sommet de la pyramide sociale et sa base.
La croissance de ce fossé, devenue quasiment exponentielle avec la Covid[161], n’est que la conséquence inéluctable de ce « découplage cybernétique ». Il n’existe pas encore, en effet, d’entité politique mondiale capable d’imposer aux ploutocrates mondiaux, les habitants du « no-man’s land international », les lois de la démocratie. La planète est donc dirigée actuellement de façon « sauvage » (sans véritable organisation) par cette oligarchie d’individus devenus plus puissants que les états qui les abritent. Elle a trouvé dans le FEM une occasion rêvée de traiter ses affaires directement avec les chefs d’état, sans passer par les encombrants intermédiaires de la démocratie et de ses débats parlementaires[162].
Depuis des années, les grands chefs d’Etat et d’organisations politiques mondiales parlent entre eux et avec les incontournables Bill Gates et Klaus Schwab, d’un « Nouvel Ordre Mondial (NOM)» (terme qu’on a entendu dans la bouche de dizaines de chefs d’états différents) mais comme le petit peuple n’est pas convié à leurs réflexions, il n’a pas perçu que, derrière la crise sanitaire mondiale, se cachait une manœuvre d’acquisition du pouvoir mondial et un combat des Titans. Ce n’est pourtant que dans ce contexte qu’on peut comprendre toutes les crises actuelles[163] sanitaires comme économiques, climatiques et militaires.
Le niveau national de la collusion
Comme je l’ai dit au début, je préfère à ce stade focaliser mes accusations sur nos responsables politiques nationaux bien que je sois conscient qu’ils ne sont, dans cette guerre des Titans, que des marionnettes. Ils sont effectivement, dans l’état actuel de la justice dans le monde, les seuls coupables directement condamnables.
C’est donc bien à eux qu’il faut s’attaquer en premier parce que ce n’est que si chaque pays traduit individuellement devant ses propres autorités judiciaires ces « seconds couteaux » et les condamne que, privés de leurs soutiens politiques, les vrais responsables du complot mondial pourront être l’objet d’une action judiciaire concertée. Toute l’histoire nous démontre que la destitution d’un pouvoir abusif ne peut prendre naissance que dans le « petit » peuple. C’est de là que doit partir le feed-back salvateur d’une saine mondialisation.
Si nous n’avons pas clairement en tête cet actuel découplage cybernétique des forces antagonistes entre intérêts public et privé et entre sommet et base de la pyramide sociale, normalement en jeu dans une démocratie, on ne peut comprendre ni la crise sanitaire ni les autres crises mondiales actuelles.
Au niveau national, nos autorités ont « corrompu » avec l’argent public une foule de professions qui risquaient de l’empêcher de finaliser son projet pseudo-sanitaire. Il a ainsi « acheté » le silence de nomreux acteurs en transformant, pour eux, cette « crise » en une occasion inespérée de s’enrichir sans effort. J’en ai été le témoin dans le secteur médical. Aucune raison ne justifiait le remboursement au médecin d’une vaccination à 80 € ou d’une consultation qualifiée « Covid » au double du tarif habituel (50 au lieu de 25€) ou des consultations par téléphone à 20€ qui permettaient à certains gourmands de faire en une matinée le chiffre d’affaire d’une journée. Il est très facile, dans une telle situation de doubler ses rentrées en consillant au patient de donner de ses nouvelles dans 24 ou 48h. Le client se sent bien suivi (et le médecin bien rémunéré). De même pour les pharmaciens qui ont vu leur chiffre d’affaire exploser avec la crise. Un ami m’a suggéré de faire le tour des pharmacies du coin vers le milieu 2022 et, comme il me l’avait dit, partout on voyait d’importants travaux de rénovation de la façade ou du magasin, une façon commode de mettre sur des frais généraux le supplément des rentrées. Je ne connais pas les détails de « incitants financiers » et des « aides exceptionnelles » accordées par la sécurité sociale aux EHPADs et aux hôpitaux mais il est certain qu’ils étaient fortement poussés à sur-déclarer les cas et les décès Covid.
Le milieu culturel, fortement touché par les confinements, a certainement, lui aussi, été muselé par d’importantes subventions versées aux responsables dans ce secteur. Les artistes ayant une forte propension à se révolter contre le pouvoir sont restés étrangement cois dans la question des confinements, des masques et de la vaccination.
Les médias ont, paraît-il, reçu une aide exceptionnelle de 3 milliards d’euros, ce qui explique leur incroyable soumission à la narration officielle et leur total oubli de leur fonction contestataire de « quatrième pouvoir », primordiale dans une démocratie.
Le niveau mondial de la collusion
Pour donner corps et crédibilité à une accusation de collusion mondiale, il est impératif, de désigner nommément les accusés et d’expliciter la finalité de leur hypothétique complot. La chose est évidemment très difficile étant donné le caractère par définition secret de toute collusion ou complot et l’extrême complexité et imperméabilité des réseaux internationaux, qu’ils soient officiels ou occultes. Ce sera donc aux enquêteurs de la justice, nationale et internationale, d’établir un jour les responsabilités de chacun.
A ce stade de mon enquête personnelle - qui, dans ses grandes lignes, rejoint les conclusions de beaucoup d’autres « lanceurs d’alerte »[164]-, je ne peux que désigner assez grossièrement les coupables mais je pense qu’il est urgent de le faire publiquement étant donnée la lenteur proverbiale du processus judiciaire. Si nous gardons le silence, les élites mondialistes auront largement le temps, avant même que les enquêtes judiciaires préalables ne soient terminées, de parachever leur travail de contrôle de la politique mondiale[165]. Dans la forme de société prévue par les élites mondiales, il n’est pas difficile de deviner[166] que nos systèmes juridiques actuels sont voués à disparaître de même que l’indépendance entre la justice et le pouvoir politique, ce qui semble déjà être assez largement le cas.
Les grands acteurs de la collusion
La collusion dénoncée ici se passe entre des puissances publiques et privées. En France, la « puissance publique» la plus responsable est certainement le Conseil de défense sanitaire[167]. C’est en effet ce groupuscule qui, au nom de l’état d’urgence et de l’état de guerre, s’est arrogé les pleins pouvoirs en matière de stratégie sanitaire. Ses sept membres portent de ce fait l’entière responsabilité de leurs décisions même si ces décisions se sont appuyées sur une foule de conseils subalternes qui diluent un peu leur responsabilité.
Dans le camp des « puissances privées », les entreprises les plus directement impliqués sont, de l’avis de beaucoup de résistants bien plus autorisés que moi, Klaus Schwab et ses « stratèges » du FEM, Bill Gates et les responsables de sa « Fondation » (BMGF), Big Pharma, Big Media (Big Tech) et Big Finance.
- Le FEM, le lobby qui « formate » nos élites nationales
Le patron du Forum Economique Mondial, Klaus Schwab, a eu l’idée géniale de ne pas se contenter, comme tout bon lobbyiste, d’influencer les décideurs politiques. Il a imaginé en plus les former lui-même, avant qu’ils n’aient acquis une réelle maturité politique (< 35 ans), c'est-à-dire de les « formater » à la philosophie des clients de son entreprise. Par l’école des cadres qu’il a organisée (les YGL), il a ainsi instillé dans l’esprit de ceux qui sont aujourd’hui devenus nos chefs d’Etat, un agenda économique mondialiste très précis, taillé sur mesure pour avoir l’aval de ses clients, les financeurs du Forum, la caste des ploutocrates mondiaux. Si le candidat aux hautes responsabilités politiques démontre, lors de ses « examens d’admission » à cette école qu’il jouera bien la carte mondialiste et européiste, il va être pressenti comme un candidat idéal pour la mise en place de l’Etat mondial dont rêve la caste et se voir, de ce fait, soutenu dans son ascension politique par de puissants sponsors[168]. Klaus Schwab appelle ses élèves les futurs « guides éclairés » du nouvel ordre mondial. Le candidat adoubé est ainsi flatté dans son orgueil et assuré d’avoir une place de choix dans la « cour des grands » de ce futur « Nouvel Ordre Mondial ».
Tout cela reste en fait parfaitement légal mais, d’un point de vue éthique et démocratique, cette collusion de nos autorités politiques avec une philosophie mondialiste inavouée et donc aucunement approuvée par le peuple constitue une « haute trahison » (l’accusation que j’examine dans la section suivante) parce qu’elle va modifier profondément les équilibres futurs de notre société. L’enseignement dispensé au cours de cette formation (séminaires sur trois ans) reste, pour cette raison, secret et la participation des candidats (très prisée par eux) n’est jamais mentionnée dans leur curriculum vitae. Toutes ces « cachotteries » ne font que confirmer les soupçons de collusion.
Le FEM a donc réalisé la forme la plus aboutie (la plus perverse) du lobbysme. Son « école des cadres » privée attire les candidats aux plus hautes fonctions politiques et administratives comme le miel attire les mouches. L’influenceur des politiques publiques devient ici le corrupteur[169] du système parce qu’il pervertit tellement tôt l’esprit des influencés qu’il les détourne de la fonction première qui leur sera donnée lors de leur élection : défendre les principes démocratiques et les droits individuels qui y sont liés.
Il ne serait pas bon, pour l’image de marque du FEM, que l’opinion publique apprenne cela. C’est pourtant bien la réalité puisqu’à ce jour, il a déjà « formaté » plus de 1.300 « Young Global Leaders » (YGL) et que Klaus Schwab se vante ouvertement que ses « guides éclairés » infiltrent aujourd’hui un grand nombre de cabinets présidentiels ou ministériels dans le monde, ses meilleurs élèves étant Macron en France, Trudeau au Canada et le président de l’Argentine. De plus, le renouvellement de ces élites est assuré par la formation de 10.000 « Young Global Shapers » cinq dix ans plus jeunes que les YGL.
Comme cette formation donne l’occasion de rencontrer les « grands de ce monde » et des futurs condisciples d’autres pays, ceux qui n’en ont pas profité (les non-mondialistes) souffrent d’un important handicap de départ dans la course aux investitures politiques. Cette école rétrécit donc fortement, comme le faisait l’ENA à sa façon, la diversité d’opinion des candidats aux élections. Le système électoral est donc « pipé » à la base et cette formation sélective génère une forme d’endogamie très propice à l’émergence d’une « caste » d’élites et d’une « pensée unique » qui, en politique, est très peu représentative de la diversité des opinions dans la population générale et annihile le feed-back qu’est censé générer cette diversité.
L’école des YGL du FEM a, en France, un concurrent plus modeste mais particulièrement efficace dans l’art de placer ses pions au sommet de l’élite politique de deux pays (France et USA), la French American Foundation (FAF) fondée en 1981 pour lutter contre le French bashing et l’arrivée de la gauche au pouvoir en France. Le nom de son Président reste secret (encore et toujours) et l’accent semble plus porté vers la création de relations de camaraderie entre les « Young Leaders » des deux pays que sur un formatage politique précis comme à Davos. Les candidats sont proposés par des anciens et choisis par une commission de sélections en fonction de leurs compétences de leaders et leurs orientations politiques atlantistes. Il paraît que les candidats à cette formation se pressent au portillon tant la fondation a une réputation de puissant accélérateur de l’ascenseur politique. Comme pour les YGL, le mot d’ordre aux candidats semble être de ne pas parler publiquement de leur formation ce qui se comprend quand on connaît la « rentabilité » de cette formation en termes de promotion politique. Elle est telle qu’on serait tenté de penser que le comité n’a pas tant le génie de deviner, avant tout le monde, les futures étoiles politiques de la nation que de disposer d’outils très efficaces pour placer là où ils le veulent leurs pions, comme dans un tiercé pipé. Chaque année la FAF ne recrute que 10 candidats français et 10 américains (entre 30 et 40 ans), qui se rencontrent pendant 5 jours deux années de suite alternativement en France et aux USA. La liste des réussites de leurs « paris » sur les candidats en 30 ans est vraiment impressionnante[170].
Je ne peux pas fermer cette section sur le FEM et la collusion sans évoquer un détail biographique passé curieusement inaperçu dans la presse et probablement délibérément effacé d’internet. Juste avant d’être nommée présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen était membre du Conseil d’administration du FEM, ce qui, avec ses multiples participations au très secret Bilderberg fait d’elle une candidate hautement « sous influence » et parfaitement formatée et vassalisée par le lobby mondialiste de Davos.
- L’OMS, « vassal » de Bill Gates
La « Bill et Melinda Gates Foundation » (BMGF) est un organisme caritatif dirigée par Bill Gates mais il est couplé, sur un mode très lucratif, à son « Trust » privé[171]. En quittant Microsoft en 2006, il a décidé de consacrer sa fortune (et celle se son ami, Warren Buffet) à la Santé mondiale et à la faim dans le monde en investissant massivement dans l’OMS dont il est devenu le premier contributeur financier et, de ce fait, son éminence grise. Ce « dévouement » à la santé mondiale et à la faim dans le monde[172] lui a permis en quelques années de plus que doubler sa fortune personnelle déjà colossale. C’est le principe du philanthropo-capitalisme.
L’OMS est une des rares institutions mondiales dont les décisions sont légalement contraignantes pour les 194 pays qui en sont membre. Bill Gates a clairement pris conscience du pouvoir qu’avait cette institution publique de devenir l’outil d’une gouvernance mondiale. C’est pour cette raison, je pense, que l’homme le plus riche de la planète a décidé, pour redorer son blason[173], de se transformer en l’homme le plus « généreux » de la planète, ce qui a fait de lui l’homme le plus courtisé du monde.
En bon homme d’affaires, ce qu’il donne de la main droite (par sa Fondation), il le récupère avec d’importants dividendes de la main gauche (par son Trust). N’importe quel médecin qui pratiquerait une telle collusion entre ses intérêts financiers et sa fonction « médicale » se verrait définitivement radié de l’Ordre mais le « Docteur Gates », médecin autoproclamé de la santé mondiale n’est qu’un « super-charlatan ». Il vend aux dirigeants politiques de la population mondiale des vaccinations de masse qu’il présente comme une « panacée universelle », la recette miracle de tous les charlatans. Il dispose pour ce faire, d’une oreille particulièrement attentive de nombreux dirigeants politiques qui lui sont affidées du fait de sa grande « générosité ».
Celui qui se prend aujourd’hui pour le médecin de l’humanité n’a jamais fait d’études de médecine et s’est arrangé pour nommer directeur de l’OMS le « Docteur » Tedros Ghebreyesus, un homme politique dépourvu, lui aussi de formation médicale[174] , une première dans l’histoire de l’OMS ! Certaines de ses campagnes de vaccination dans des pays pauvres ont tourné au fiasco complet[175], créant des dégâts sanitaires majeurs étouffés à coups de millions versés aux autorités locales.
En dehors de l’OMS et de nombreuses ONG dont il est le premier donateur, il arrose avec les dollars de sa fondation des universités, des centres de recherche et des médias publics, ce qui lui permet, en toute légalité, d’influencer, comme un lobbyiste très puissant, la politique de tous les pays qui bénéficient de sa générosité dans le sens qui lui convient. C’est cette stratégie tout à fait malsaine qui explique que Bill Gates qui n’a aucune fonction politique officielle soit invité à s’exprimer au G20, à l’ONU, à l’OMS, au FEM, au WGS et dans la plupart des réunions de niveau mondial. Le conflit d’intérêt entre les deux facettes du personnage est énorme mais personne ne semble avoir la carrure nécessaire pour le remettre à sa place. Au contraire, comme son comparse Klaus Schwab[176], il est reçu comme un roi dans tous les pays où il se rend. Pas étonnant, avec une telle foule de courtisans qu’il se prenne pour le sauveur du monde et le médecin de la planète. Pas étonnant non plus que la plupart des dirigeants politiques de la planète aient adhéré à sa religion du « salut par le vaccin ».
En bon charlatan et pompier-pyromane, il organise, depuis la pandémie de la Covid, des conférences et des interviews visant à prévenir la population mondiale de l’imminence d’une « prochaine pandémie » menaçante pour l’humanité[177], comme il le faisait déjà bien avant la Covid[178]. On flaire là bien plus une campagne de promotion d’homme d’affaire rusé et, dit-on, « impitoyable », une qualité particulièrement incompatible avec son déguisement médical ou philanthropique. Anthony Fauci, le médecin de la Maison Blanche est son comparse en matière d’investissements dans l’industrie de la vaccination. Il joue, comme lui, les grands devins[179].
L’OMS est l’exemple paradigmatique de la « vassalisation » d’un organisme public par une puissance privée. L’intérêt public (défendu par l’OMS) est ici mis au service d’un intérêt privé (le Trust de Bill Gates). Pour atteindre son but, il a appliqué à l’OMS la même stratégie que celle qui lui a si bien réussi avec Microsoft : éliminer ceux qui ne sont pas alignés sur sa politique[180] et prendre seul les commandes de l’ « entreprise ». Mais la santé, fut-elle mondiale, est une valeur humaine aucunement assimilable à la valeur commerciale d’un logiciel informatique. Laisser Bill Gates aux commandes de l’OMS c’est comme laisser un éléphant gérer un magasin de porcelaines … ou des ministres gérer une pandémie.
Tout son travail secret dans cette institution, a consisté, depuis 20 ans, à introduire subrepticement des modifications de ses textes fondateurs (l’IHR) de façon à mondialiser sa religion vaccinale[181] et à donner à cette institution un pouvoir politique, et plus seulement sanitaire sur l’entièreté de la planète. Les dernières décisions prises à la réunion du G20 à Bali en novembre 2022, à laquelle lui et Klaus Schwab ont participé activement, démontrent la volonté de ces deux hommes puissants de faire de l’OMS l’outil central d’une prise de pouvoir politique du monde par la ploutocratie. Le bruit avait couru un moment que le battage médiatique mené par les « résistants » avait fait échouer (temporairement ?) son projet mais il n’en est rien, l’agenda des amendements de ce texte fondamental est parfaitement établi[182]. Je viens toutefois d’apprendre que ce projet a sérieusement du plomb dans l’aile… à suivre.
L’idée - « complotiste » par excellence- d’un projet de prise de pouvoir mondial par un individu privé hyper-riche fait intimement partie de l’imaginaire humain. Or, beaucoup de romans et de films d’anticipation tournant autour de ce thème décrivent précisément l’instauration d’un tel régime par le biais d’une « dictature sanitaire[183] ». Jacques Attali, le grand « visionnaire » et conseiller de nombreux présidents français, évoquait déjà en 1976 ce risque d’installation d’un totalitarisme sanitaire par biais de la vaccination[184]. C’est en effet le rêve de tous les pouvoirs totalitaires de s’emparer du pouvoir « sacré » que les individus ont sur eux-mêmes (leur autonomie) et sur leur propre corps (son inviolabilité), en ayant autorité sur leur santé et leur vie[185]. C’est cette indépendance des individus qui contrarie au plus haut point les rêves mégalo-maniques de tous les psychopathes candidats au pouvoir absolu. Et c’est ce libre arbitre[186] que la philosophie transhumaniste du FEM vise à éradiquer pour lui substituer un contrôle du comportement du troupeau humain par une intelligence artificielle mondiale[187].
La menace, dénoncée depuis le début de la crise sanitaire par tous les prétendus « complotistes », est donc bien réelle. Toutes les infractions graves aux libertés individuelles et aux droits humains imposées depuis alors étaient des « ballons d’essai », des tests de notre docilité qui trouvent leur raison d’être ultime dans ce type de projet et la plus brillante réussite dans la vaccination forcée de la population mondiale. C’est une forme déguisé de « viol » du corps de tous les citoyens de la planète. Nous devrions théoriquement être prémunis contre ce genre de crime par les conventions internationales qui ont été signées après la seconde guerre mondiale très précisément pour que ne se reproduisent jamais plus les horreurs du nazisme et de ses « expérimentations médicales » non consenties. Il faut croire que « bon sang ne peut mentir » : le père de Klaus Schwab était un dignitaire nazi et les parents de Bill Gates deux eugénistes convaincus.
- Big Pharma, le grand corrupteur de la médecine
Bien des institutions publiques se sont vues « vassalisées » par des puissances privées mais beaucoup de gens n’ont découvert qu’à l’occasion de la pandémie à quel point toutes nos institutions publiques en relation avec la santé vivent sous l’influence corruptrice - et sont devenus les vassales - des géants pharmaceutiques. Personnellement, ce n’était pas une découverte. En cinquante ans de carrière, j’ai eu l’occasion d’assister, aux premières loges, à la mainmise de plus en plus prégnante de l’industrie pharmaceutique sur tous les secteurs de la médecine et de la santé. La recherche (fondamentale et clinique), l’enseignement universitaire et post-universitaire, les publications scientifiques et même la formation des autorités politiques et administratives[188]. Toutes les pièces du système de la santé sont ainsi perverties dans leur fonction première (améliorer la santé de la population) et pilotées par des impératifs mercantiles (satisfaire les investisseurs).
La médecine, devenue un des secteurs les plus rentables de l’économie, est soumise comme les autres secteurs « marchands », aux lois du profit et de la concurrence. Ceci n’aurait jamais dû être le cas vu l’enjeu humain et pas commercial des produits des industries de la santé[189]. Les médecins sont aujourd’hui devenus des outils au service de l’industrie de la santé, des « dealers de drogues » disent certains. Des livres entiers, des documentaires filmés et des enquêtes de journalistes d’investigation ont largement démontré le caractère mafieux des lobbys à la solde de la puissante industrie pharmaceutique Le récent livre de Xavier Bazin[190], par exemple, explique en détail le comportement injustifiable, durant la pandémie, des autorités politiques vis-à-vis des médicaments prescrits, conseillés ou interdits. Seule une collusion avec l’industrie pharmaceutique peut expliquer leur comportement.
Depuis plusieurs années, la multiplication des scandales sanitaires démontre que les techniques utilisées par ces firmes sont identiques à celles du tabac, de l’amiante et d’autres polluants chimiques: corruption, multiplication des « études complémentaires », procédures judiciaires dilatoires, falsification de documents, menaces etc…La vie des gens n’a manifestement, à leurs yeux, aucun poids face à leur souci prioritaire qui est de satisfaire leurs investisseurs. Les derniers scandales[191] montrent que nous n’avons pas tiré les leçons des précédents (Softenon®, Distilbène® etc…). Les amendes imposées à ces firmes atteignent des chiffres astronomiques[192] mais ne semblent pas perturber le monstre. Elles sont simplement intégrées à leurs « business plans » et répercutées sur le prix de nouveaux médicaments, toujours plus chers. La pandémie a démontre, plus que jamais, à quel point le « partenariat » public-privé est un concept vicieux. Le Président Macron l’a utilisé pour le Remdesivir®,Ursula von der Leyen pour les vaccins Covid ou le Paxlovid®. Ce court-circuitage des mécanismes de contrôle des médicaments constitue, pour Big Pharma, une opportunité inespérée. Il a ainsi installé une pompe aspirante directement branchée sur les fonds de la sécurité sociale.
L’industrie pharmaceutique privée finance aujourd’hui - et en toute légalité mais en contradiction avec les règles élémentaires en matière de conflits d’intérêts- toute une série d’institutions publiques dont le rôle est précisément de contrôler les médicaments qu’elle produit, ce qui équivaut à confier ses enfants à un pédophile notoire. De plus, tous les « experts » ayant une influence sur les administrations publiques de la santé font l’objet de tellement de « soins » de la part de cette industrie que seuls ceux qui acceptent de collaborer[193] avec elle progressent dans leur carrière. La corruption dans le domaine médical est considérée par tous les spécialistes de la chose et même très explicitement par l’Europe[194] et l’ONU[195] comme un fléau d’une ampleur inégalée dans les autres domaines.
Cette corruption généralisée du monde médical témoigne d’une collusion, à tous les niveaux du système, entre les autorités médico-sanitaires publiques et l’industrie pharmaceutique. Dans cette véritable toile d’araignée faite de collusion et de corruption, la responsabilité de nos autorités politiques dans la gestion catastrophique de la Covid se dilue quelque peu au milieu d’une foule d’autres.
De plus, ces experts s’appuient sur des articles de revues scientifiques que leurs propres éditeurs ont, à de multiples reprises, déclaré publiquement non fiables[196] à cause précisément du poids énorme de l’industrie pharmaceutique sur la production et la publication de cette littérature spécialisée. Cela signifie tout simplement que la « vérité scientifique » à laquelle les autorités politiques et les médecins experts font sans arrêt fait référence, n’existe plus en médecine[197].
En 2.018, peu après son élection, le Président Macron a reçu une première fois à dîner à l’Elysée le « Dolder Club »[198] qui réunit une fois par an les PDG des vingt-cinq plus grosses industries pharmaceutiques du monde. Parmi eux se trouvent très certainement des gens qui l’ont aidé à financer sa campagne électorale de 2017. Le 2 août 2021, en pleine crise sanitaires, il les a reçu une nouvelle fois à dîner à l’Elysée mais cette fois, aucun communiqué de l’AFP ni aucun journal n’a signalé l’événement alors qu’Albert Bourla, le PDG de Pfizer dont tout le monde parlait alors, en était devenu le président. Tout se passe donc comme si ces rencontres entre les élites politiques françaises et le Gotha de l’industrie pharmaceutique privée devaient rester secrètes, ce qui ne peut qu’amplifier, dans le public, le soupçon de collusion.
L’exemple, à mon sens le plus criant de cette collusion entre le Président Macron (représentant de la puissance publique) et l’industrie pharmaceutique (puissance privée) se trouve dans son intervention impromptue, dans la première réunion du Conseil scientifique, accompagné du patron de la firme Gilead. Ce dernier a déposé sur la table du Conseil un tas de boites de Remdesivir®, un antiviral non-encore approuvé à l’époque. Posant la main sur elles, le Président Macron a déclaré : « voilà le traitement de la Covid ». Transposée au système judiciaire, cette initiative coûterait illico sa place à n’importe quel juge[199]. C’est l’évidence de cette collusion décomplexée du chef de l’Etat qui a décidé le Pr. D. Raoult de ne plus participer au Conseil scientifique. Il a été remplacé par Yazdan Ayazdanpanah, un fervent défenseur du Remdesivir® mais aussi le membre du Conseil scientifique le plus chargé en matière de conflits d’intérêt[200]. La naïveté du Président ne peut se comprendre que si on connaît la banalité du « pantouflage » en politique.
Sans que nous n’en ayons aucune preuve formelle, il semble évident à tous ceux qui connaissent un tant soit peu les pratiques des firmes pharmaceutiques que son lobbysme a joué un rôle déterminant dans l’interdiction des traitements précoces (cfr section IV) et l’imposition de la vaccination de masse[201].
Je ne peux pas passer sous silence la question de la collusion d’intérêts de la Présidente de la Commission européenne avec la firme Pfizer par le biais de son mari, le Dr Heiko von der Leyen, cardiologue. Ce dernier a été engagé comme conseiller scientifique de la firme Orgenesis aux USA en fin 2.019, juste après la nomination de son épouse à l’Europe, puis promu directeur scientifique de cette même firme en décembre 2020. Or, cette firme est impliquée dans la fabrication de vaccins à ARNm contre le Covid 19 (avec Pfizer ?) et aurait touché d’importantes aides de l’Europe.
- Big Media, le discret et indispensable collaborateur
Un autre collaborateur mondial, discret mais indispensable à la collusion avec nos autorités politiques, est représenté par le monde des médias. Il inclut tous les acteurs et producteurs de l’information digitale (les GAFAM) et de la presse (écrite et radio-télévisée) aujourd’hui nourrie d’informations principalement par des agences de presse mondiales (AFP, AP, Reuters) dont les patrons sont tous des membres actifs du FEM. L’information, « seconde clé du pouvoir » est donc aujourd’hui aux mains d’une oligarchie au cœur de la ploutocratie de Davos.
Cette concentration du pouvoir explique l’étrange unisson des médias mainstream. Une pensée unique, une « doxa » comme l’appelle L. Muchielli, a remplacé la traditionnelle diversité d’opinions des rédactions de presse nationales. La souveraineté nationale qui était le garant de cette diversité des opinions ayant disparu, le débat contradictoire, vital pour une démocratie a, lui aussi, disparu. La désinformation centralisée devient ainsi, aux mains des mondialistes, un outil discret (« soft power ») de destruction massive de nos démocraties « défaillantes ».
C’est cette même collusion avec les maîtres de l’information mondiale qui explique l’efficacité de la censure exercée sur toutes les voix non-alignées sur la Doxa du Covid dans tous les pays.
Cette collusion paraît, à première vue, inexistante parce qu’il ne semble y avoir aucun contrat signé ouvertement. La collaboration, d’ordre « idéologique » (pour l’avènement du Nouvel Ordre Mondial) était déjà secrètement acquise avant la pandémie. Les autorités politiques nationales ont ainsi pu se dédouaner de toute responsabilité active mais cette attitude révèle un non interventionnisme de nos élus qui équivaut à leur approbation silencieuse puisqu’il s’agit d’une pratique totalement contraire aux principes démocratiques.
- Big Finance
L’ascension spectaculaire d’Emmanuel Macron qui n’avait, en commençant sa campagne électorale, aucun parti pour le soutenir, tient très certainement à tous les appuis financiers et politiques qu’il a acquis grâce à sa formation d’YGL puis à son passage par la banque Rothschild puis, durant sa campagne électorale, à ses soupers organisés dans les lieux phares de la haute finance mondiale pour récolter des fonds. Dès qu’il a été nommé Président, il a reçu la visite de Larry Fink et, depuis lors, l’avion du patron du plus puissant fonds d’investissement mondial (Black Rock)[202] et, lui aussi, ancien YGL s’est déjà posé six fois à Paris, sans jamais aucun communiqué d’annonce par l’AFP. Aucun de ses prédécesseurs à l’Elysée n’avait eu cet honneur, ce qui porte à penser que ces visites secrètes cachent, elles aussi, sa collusion avec la haute finance internationale.
Quoiqu’il en soit, les élites financières de la mondialisation devaient avoir donné leur feu vert à la stratégie sanitaire imposées étant donné l’importance de la dette parfaitement prévisible qui était liée à ce plan.
Les banquiers vivent de la dette des états. Plus elle augmente, plus ils s’enrichissent.
« Jamais, dans une monarchie, l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au dessus du prince. En revanche, dans une République, il peut aisément le mettre au dessus des lois »
Jean-Jacques Rousseau
VI : Haute Trahison
Ce terme de « haute trahison » est à prendre ici dans son sens politique ou militaire, c'est-à-dire, écrit Wikipedia, de « crime qui consiste en une extrême déloyauté à l'égard de son pays, ... ou de ses institutions… terme souvent associé avec celui d'intelligence avec l'ennemi… L’infraction politique concerne les détenteurs d'une autorité politique dans l'exercice de leurs fonctions ».
Ce dont j’accuse nos autorités politiques, c’est bien d’avoir été, durant toute la crise sanitaire, déloyaux envers ceux qui les ont élus, le peuple, et envers l’institution qui leur confie l’autorité politique, la démocratie. Dans ce système, les autorités politiques ont pour fonction première de défendre les principes de la démocratie (l’état de droit) et de faire respecter les droits qu’elle donne aux individus et les valeurs humaines sur lesquelles l’ensemble de la population s’est accordé. En France, par exemple, le peuple a consacré unanimement les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité.
La dérive totalitaire
L’autorité des hommes politiques, dans une démocratie, n’a donc de légitimité que si elle est au service de ces valeurs que le peuple a jugées essentielles. C’est pour cette raison qu’il les a inscrites dans le marbre de ses textes législatifs fondamentaux, c'est-à-dire, par ordre de préséance, la Constitution, les Conventions internationales et les lois nationales (principe de légalité).Tout écart, de la part du pouvoir en place, par rapport à ces contraintes constitue un abus qui lui ôte automatiquement sa légitimité. Le pouvoir actuellement en place est donc clairement illégitime. Ces lois sont là pour nous protéger des dérives autoritaires, totalitaires ou autocratiques du pouvoir élu. Dans la crise sanitaire, ces dérives ont été nombreuses et manifestes (cfr section II). Des signes comme la généralisation d’une censure non démocratiquement contrôlée, la vaccination des citoyens obtenue par la contrainte ou l’organisation de la stratégie sanitaire par une poignée d’hommes politiques (apparemment pilotés par des militaires) décidant, dans le secret d’un « Conseil de défense », de l’avenir du pays en pleine crise sanitaire, sont caractéristiques des comportements des régimes totalitaires. La seule différence avec eux est qu’étant encore officiellement en démocratie, ces autorités politiques sont forcées d’imposer leurs injonctions par la voie d’un « soft power » hypocrite maist qui est en réalité très violent. Le meilleur exemple est leur gestion criminelle de la question des « soignants suspendus ». Ces personnes ont pris une décision d’ordre éthique dont la légitimité est reconnue par une foule de textes législatifs (cfr section II). Ils ont néanmoins été « sanctionnés » par les autorités politiques au moyen de la sanction la plus lourde qu’un employé irréprochable sur le plan professionnel puisse subir, la suppression de ses moyens financiers de subsistance ( y compris l’accès interdit au chomage !).
Toute cette violence ne s’explique que par le fait qu’en réalité, nos élus ne détiennent plus la souveraineté de la nation en matière de santé publique. Ils l’ont « vendue » à des puissances mondiales non élues démocratiquement parce qu’ils avaient probablement une dette secrète à leur égard (cette caste leur avait grandement facilité l’accession au sommet de la pyramide politique) et le prix à payer a été d’imposer à leur peuple l’agenda « sanitaire » de cette caste, sous le prétexte fallacieux d’une urgence de santé publique et d’un état de guerre. C’est bien là un comportement caractéristique de la « haute trahison » (autre point commun avec l’affaire Dreyfus).
Une accusation inédite
La difficulté qu’il y a à justifier cette accusation tient au fait qu’elle est d’un genre tout à fait inédit dans l’Histoire. D’habitude, le ou les traitres trahissent le pouvoir en place en vendant des renseignements sensibles à une nation ennemie (ce qui était reproché au capitaine Dreyfus). Ici par contre, ce sont les autorités élues en place qui, elles-mêmes, vendent la souveraineté de leur pays à une puissance ennemie. Toutefois, cet ennemi (la « caste » mondiale) avec qui les accusés (nos autorités politiques) seraient en intelligence n’a pas encore, aujourd’hui, d’identité politique ou géographique bien définie. Il correspond plus à une « nébuleuse » aux limites mal définies, constituée de puissances économiques et financières mondiales privées. La seule chose qui les réunit est qu’ils partageant un projet commun, mettre la main sur la gouvernance de la politique mondiale. Ce projet est assez séduisant pour les unir mais pas suffisant pour en faire une véritable organisation ou institution. Les individus et les entreprises qui la composent ont pu trouver, grâce au FEM qui les réunit annuellement et à la philosophie économique séduisante du « partenariat public-privé » de Klaus Schwab, les convergences d’intérêts qui ont resserré leurs liens et en ont fait une entité relativement cohérente que j’appelle la « caste mondialiste ».
La mondialisation, déjà en cours depuis quelques décennies, représente, pour la majorité de ces entreprises privées, une menace potentielle parce que personne ne peut prévoir vers quel type d’organisation politique va évoluer ce nouvel espace non encore colonisé par la politique. Ces « maîtres du monde » ont en fait très peur du peuple. Ils savent très bien ce qu’il pense de l’incroyable inégalité de la répartition des richesses et du vol qu’ils ont commis des ressources communes de la planète. Dans ce contexte, le discours économique de Klaus Schwab les rassure. Le capitalisme, leur suggère-t-il, survivra mais au prix d’un certain relooking écologique et pseudo-humanitaire camouflé sous le nom de passage du capitalisme classique des actionnaires (shareholders capitalism) à un capitalisme nouveau, celui des « parties prenantes » (stakeholders capitalism) fondé sur le « partenariat public-privé (PPP)» qui n’est qu’un autre nom du système fasciste.
Depuis maintenant un demi-siècle le fondateur du FEM, propose à ses clients (les ploutocrates mondiaux) son projet économique qui séduit parce qu’il est intellectuellement très élaboré. Il donne sens, pour eux, à ce futur inquiétant. Ce projet, Klaus Schwab en a hérité de ses mentors américains (Kissinger, Kahn, Galbraith) qui, avec le soutien de la CIA et du Council for Foreign Relations (CRF) voyaient en lui une tête de pont de l’impérialisme américain en Europe[203]. Le discours mondialiste imaginé par ces élites américaines correspond à une « vision du monde » qui rassure les ploutocrates de la planète parce qu’elle reste ancrée dans le principe économique fondamental de l’impérialisme américain, le capitalisme néolibéral. Dans le « Nouvel Ordre Mondial » qui leur est proposé, ils ne risquent pas de perdre leur statut de privilégiés puisqu’il est prévu qu’ils organisent entre eux (PPP) la gouvernance politique de ce nouvel espace encore à politiser qu’est le marché mondial. Dans cette perspective, la structure du monde futur restera pyramidale et eux resteront à son sommet.
L’autre difficulté à justifier mon accusation tient à ce que l’institution menacée par leur trahison, la démocratie, est celle qui leur a donné la légitimité dans l’exercice de leurs fonctions. Or ces fonctions sont soumises à un « pouvoir » supérieur à celui des élus et du Président, celui des textes législatifs qui limitent la « puissance publique », la Constitution, les Conventions internationales et nos lois nationales. Leur déloyauté est donc particulièrement grave puisqu’elle livre à un ennemi très puissant mais aux intentions secrètes très certainement peu démocratiques la souveraineté du peuple. Sous la férule de cet « ennemi », la priorité va être donnée, sans plus aucune entrave, aux intérêts économiques - le « profit » des entreprises privées - sur les valeurs humaines et les droits fondamentaux des citoyens.
Le grief qui explique les cinq autres
Cette accusation de haute trahison englobe et couronne en quelque sorte les cinq autres griefs du fait qu’elle permet de comprendre clairement leur finalité respective. C’est en effet pour permettre la mise en route du projet politique mondialiste de l’ « ennemi » qu’a été délibérément organisée la tromperie (section I) de la population, et la panique induite par une gigantesque campagne de « publicité » à propos de la fausse « catastrophe sanitaire » annoncée. Tous les spécialistes de la psychologie des masses connaissent bien cette tactique du « charlatan-sauveur » ou du « pompier-pyromane ».
C’est pour faire respecter par la population les mesures sanitaire contraignantes (et injustifiées) que nos autorités ont crée un climat de panique et utilisé, sans aucun état d’âme apparent, l’abus de pouvoir (section II) dans de nombreux domaines.
C’est pour faire accepter un vaccin d’un genre totalement inconnu jusqu’alors et encore en phase expérimentale (essais cliniques de phase 3) qu’elles ont pratiqué le charlatanisme (section III) en enfilant les habits rassurants du médecin de famille pour faire accepter à la population des injection dont il n’est pas déraisonnable de penser qu’elles correspondent à une tentative de « pucage » « sous la peau » des individus, la « première étape » explicitement déclarée par Klaus Schwab et son coférencier vedette, Yuval Noah Harari, du projet de numérisation de toutes les activités humaines.
C’est parce que les impératifs de leur projet politique « grandiose » leurs semblaient prévaloir sur la santé et la vie des citoyens qu’ils ont laissé se poursuivre un crime de masse (Section IV) qu’ils assimilaient très probablement aux inévitables « dégâts collatéraux » de toutes les « guerres » et qu’ils ont fermé les yeux sur les statistiques inquiétantes de morbi-mortalité objectivant les dégâts sanitaires de leur politique (Staline et ses semblables ont tous le même cynisme vis-à-vis de l’humain).
C’est finalement pour bénéficier, sans l’avouer explicitement, de tous les puissants outils financiers, stratégiques et médiatiques dont disposent les puissants de la caste mondialiste qu’ils ont pratiqué à grande échelle la collusion (section V) avec elle.
Coupables ou victimes ?
En terminant cet acte d’accusation, jeme souviens avoir découvert sur internet en 2023 deux informations qui rappellent bien à propos que le comportement de nos plus « hautes » autorités politiques, quel qu’inacceptable qu’il soit, a néanmoins été fortement influencé, si pas déterminé, par de puissants acteurs extérieurs, ce qui dilue quelque peu leur responsabilité.
La première information concerne une réunion filmée[204] sur le thème des effets secondaires des vaccins organisée, fait assez exceptionnel, dans les murs du Parlement européen à Strasbourg. La seconde concerne la réunion du « Sommet de la Gouvernance Mondiale » (World Government Summit) tenu à Dubai du 13 au 15 février dernier.
Cette intrusion de l’Europe et du Monde à ce moment précis de mon travail me rappelle à quel point mon acte d’accusation peut sembler dérisoire. Aux yeux des gens très puissants qui siègent dans ces hauts lieux de la politique ou de la finance européenne et mondiale, ma démarche doit ressembler à celle d’un enfant naïf qui prétendrait éteindre l’incendie de sa maison familiale avec le verre d’eau qu’il tient en main.
Effectivement, en imaginant qu’un jour un tribunal français parfaitement indépendant du pouvoir politique - ce qui n’est plus le cas actuellement - accorde du crédit à mes accusations, comprenne leur pertinence, entame un procès et condamne les accusés, il y a de fortes chances qu’après un petit nettoyage du sommet de la pyramide politique française, un nouveau gouvernement émergerait qui, rapidement, démontrerait, comme le précédent, une totale soumission à l’autorité occulte des puissances économico-financière européennes et mondiales. Telle une hydre à mille têtes, quand on lui en coupe une, elle en fait repousser tout de suite une autre. Le « monstre » de la machine économique mondiale fonctionne comme un organisme vivant qui régénérerait spontanément l’organe coupé et le remplacerait par un nouveau qui remplirait exactement la même fonction que le premier. Tout se passe comme si, dans un tel système, « la fonction créait l’organe ».
Cela peut sembler décourageant sauf si on prend conscience qu’une fonction est toujours « fonction de » la finalité globale du système qui l’utilise. Nos autorités politiques nationales ne sont en fait que des outils que les puissances économiques mondiales ont mis en place pour pouvoir contrôler, par le « sommet » (de la pyramide politique) les Etats-nations mais à qui elles demandent en retour de servir leurs propres intérêts « égoïstes », c'est-à-dire leur finalité propre qui est économique et capitaliste : maximiser les profits et minimiser les charges, (c'est-à-dire les responsabilités sociales et fiscales vis-à-vis de la communauté mondiale).
Si nous voulons changer cet état de chose, nous n’avons pas d’autre choix que de changer la finalité du système planétaire, ce qui est théoriquement à notre portée puisque c’est nous qui créons et organisons la société dans laquelle nous vivons. Les « impératifs économiques » qui guident aujourd’hui les politiques nationales confrontée à la puissance de la mondialisation « sauvage » en cours sont des créations humaines imaginées par cette caste dénuée de toute responsabilité démocratique. La seule finalité globale qui l’anime aujourd’hui est la « machine » économique impitoyable du marché ouvert, pilotée par les idéaux capitalistes et néolibéraux des actuels « maîtres du monde », les « desperados » de la caste mondialiste. Tant que ces idéaux égoïstes ne seront pas limités par des contraintes imposées par une communauté mondiale (le peuple) soudée par un idéal commun « supérieur », l’injustice sociale et les guerres continueront.
Cette caste mondialiste n’est pas une communauté, elle n’est qu’un « panier de crabes » qui se mènent entre eux une guerre impitoyable qui génère et motive - les géopoliticiens le savent très bien - toutes les guerres dans le monde.
La culpabilité systémique
Ces deux informations rappellent donc que la gestion de la Covid n’a été ni imaginée ni conçue par nos autorités politiques et qu’elle n’aurait jamais pu nous être imposée sans le soutien logistique extrêmement efficace des puissances européennes et mondiales, privées et publiques. Vu sous cet angle, les accusés ne sont manifestement pas les coupables ultimes de leurs méfaits. Ils ne sont que de simples rouages ayant rempli une certaine fonction dans un « système » mondial qui n’a pas d’idéal commun. Il n’est animé que par les idéaux « égoïstes » (et antagonistes) des commerçants et des banquiers qui y règnent en maîtres. Ils ont trouvé, dans le projet d’une prise du pouvoir politique d’une nouvelle gouvernance mondiale, un idéal commun, une convergence d’intérêts qui leur a fait oublier un temps leurs luttes commerciales impitoyables menées au détriment du peuple.
L’organisation de ce nouvel espace reste donc encore très primitive sur le plan humain. Les entreprises privées s’y nourrissent de l’exploitation des masses populaires vivant dans la pauvreté à l’autre bout du monde et se libèrent au maximum de toute responsabilités sociale par la délocalisation et l’exonération de la plupart de leurs charges fiscales (contribution au bien -être commun), par le recours aux paradis fiscaux. Pourtant, dans leur propre milieu de privilégiés, les patrons de ces entreprises sont considérés comme des exemples de réussite professionnelle[205] et donc des idéaux de réussite humaine. Ils y sont traités comme des dieux et leurs avis sont écoutés comme des oracles. Mais cette caste mondiale est faite de crabes ou de desperados qui ne vénèrent qu’un seul « Dieu », l’argent et la richesse matérielle. Ils sont la réplique moderne de ceux que, dans la tradition biblique dans laquelle j’ai été élevé, on les appelait les adorateurs du « veau d’Or ».
Une hypothèse « complotiste » très raisonnable
Considérer, aujourd’hui encore, comme une hypothèse « délirante » (complotiste) l’idée qu’une « caste mondiale » très puissante tente de prendre le pouvoir dans ce nouvel espace relèverait de l’aveuglement délibéré puisque cette caste ne cache même plus ses intentions. Elle organise annuellement depuis 2013, au nez et à la barbe de toutes les démocraties et de leurs peuples, un « Sommet de la gouvernance mondiale (WGS) » dont le peuple apprend avec surprise et effroi l’existence, comme des enfants à qui on apprendrait brusquement, sans aucune explication ni préparation, qu’ils ne sont plus sous l’autorité de leurs parents mais d’un couple d’étrangers qu’ils ne connaissent pas. Le but affiché de ce Sommet est en effet tout à ait officiellement de « former les futurs gouvernements » de cet espace mondial (« shaping future goverments » disent les textes), c'est-à-dire d’imposer à tous les peuples des nouveaux leaders désignés par cette caste plus ou moins secrète sans leur demander leur avis.
Si ce mouvement actuel de mondialisation organisé par les élites se poursuit, la planète entière va se trouver confrontée à un clivage profond entre deux camps qui, en langage très simple, pourraient être appelés le camp des « riches » ou des élites (non-élues) et celui des « pauvres ». Ce type de conflit est probablement aussi vieux que nos premières civilisations mais c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’il est question d’une gouvernance planétaire et pyramidale, c'est-à-dire d’un système politique qui n’aurait plus de concurrent. D’un côté, nous aurions alors une caste numériquement très faible mais économiquement très (toute) puissante regroupant toutes les élites affidées au projet mondialiste et de l’autre, la masse numériquement écrasante du peuple qui vit déjà très mal l’injustice de la répartition des richesses et des ressources de la planète et qui aurait beaucoup de raisons de s’inquiète si elle comprenait que la « caste » en question ambitionne de s’emparer aussi de la légitimité du pouvoir politique sur la planète. Aujourd’hui, à ce que j’en comprends, elle semble vouloir le faire en créant, avec la complicité des organismes politiques supranationaux déjà existants (l’UE, l’ONU, l’OMS) et des élites politiques nationales acquises à leur cause (les traitres), des contraintes telles sur l’économie des gouvernements nationaux (par exemple par le biais de la dette) qu’ils vont être forcés de renoncer à leur souveraineté et consécutivement, aux principes démocratiques. Du point de vue du peuple, cela correspond à la disparition des droits des individus puisqu’ils sont uniquement garantis par ces principes. Ce projet correspond à la réalisation, au niveau mondial, du rêve fasciste, la « fusion des pouvoirs politique et économique ».
Il n’y a que deux conceptions de la marche humaine. L’une est chrétienne et humanitaire. Elle déclare que l’individu est sacré. L’autre exige que l’individu soit subordonné à la communauté, laquelle peut user de lui comme d’un cobaye qui sert une expérience.
Arthur Koestler (le Zéro et l’Infini)
VII : Pour une thérapeutique spirituelle de la planète
Le monde vit aujourd’hui une période charnière de son évolution. Il se situe sur ce que les spécialistes des systèmes dynamiques appellent un « point de bifurcation », c'est-à-dire un point au-delà duquel l’avenir est indéterminé mais évoluera, inévitablement et irréversiblement, soit vers l’une, soit vers l’autre des deux branches divergentes qui naissent de lui. Or la communauté humaine possède, du fait de la créativité innée de chacun de ses membres, la capacité d’orienter ce choix, crucial pour notre avenir commun.
Soit donc nous laissons collectivement les choses aller dans le sens programmé depuis des décennies par la caste mondialiste (le sommet de la pyramide sociale) et, dans ce cas, nous devrons tous nous plier, dans un délai assez bref, au « Nouvel Ordre Mondial » qu’elle a prévu. Soit le peuple (la base de la pyramide) se réveille, prend conscience collectivement du piège dans lequel ces élites sont occupées à l’entraîner et il se met lui-même à élaborer une toute nouvelle façon d’organiser le « vivre ensemble » et donner forme à un nouvel « Organisme » (et pas « Ordre ») Mondial dont le fonctionnement pourrait très utilement s’inspirer des principes de l’auto-organisation biologique, une idée que je compte développer dans un prochain ouvrage. Sans un organisme, toutes les cellules ont leur autonomie et se soumettent naturellement, non pas à une ou ces cellules-chefs mais à une puissance mystérieuse que la Science avoue clairement ne pas parvenir à définir, la « Vie ».
La question de l’organisation biologique, qui est la question centrale des sciences de la vi, a été analysée de façon exhaustive durant la seconde moitié du XXème siècle par la « biologie moléculaire ». Or, tous les chercheurs de cette nouvelle discipline qui rêvait de devenir la biologie fondamentale, avouent depuis le début du XXIème siècle, leur incapacité à définir cette vie dans le langage de la Science. Ceci signe la fin du triomphalisme de la Science et de la techno-science qui ont dominé tout le XXème siècle et nous ont tous fait croire que le monde et l’homme étaient dépourvus de « profondeur » (psychique, spirituelle ou métaphysique). Or, cette incomplétude de la Science de Galilée est fondamentale puisqu’elle était déjà l’objet de la critique de Descartes, trente ans plus jeune de Galilée. Elle est la cause de cette incapacité avouée des biologistes moléculaires à « définir la vie » et des neurophysiologistes à résoudre la question de l’« articulation corps-esprit » (le « mind-body problem »), c'est-à-dire que cette Science que le XXème siècle a sacralisée est aveugle à la moitié de la Réalité puisqu’elle s’avoue incapable de résoudre les deux grands mystères des sciences de la vie.
La « Science » à laquelle se sont systématiquement référées nos autorités politiques et sanitaires pour justifier les mesures prises durant la crise sanitaire ne peut en réalité nous offrir qu’une vision tronquée de l’homme et de l’Univers parce qu’elle est, par a priori épistémologique (son « paradigme mécaniciste »), aveugle à ce que Descartes appelait la « res cogitans » ou l’âme. Ce concept, vieux comme le monde a été banni du vocabulaire de la Science mais il était depuis des siècles, défini comme le « principe qui anime la matière vivante » (anima). Au siècle des « Lumières » qui a découvert la puissance de la raison, il a été redéfini comme le principe qui anime notre raison (animus).
Tous les philosophes ont, à la suite de Descartes, nommé cette cécité sélective de la vision du monde proposée par Galilée, le « réductionnisme » de la Science.Le triomphalisme de ce mode de connaissance, dû à ses exploits technologiques, a été tel qu’il nous a fait peu à peu oublier collectivement cette « dimension » non objectivable et non mesurable de la Nature qui, dans l’esprit même de Descartes, faisait intrinsèquement partie (comme le concept de Dieu) du domaine des « valeurs spirituelles », prérogatives alors incontestées des autorités religieuses de l’époque, l’« ennemi » héréditaire des scientifiques purs et durs.
La disparition au cours du XXème siècle de l’autorité religieuse (spirituelle) n’ayant été remplacée par aucune autre et la Science étant, par construction, aveugle à cette dimension essentielle de notre humanité, notre civilisation techno-scientifique s’est trouvée dépourvue de tout repère métaphysique, ce qui explique le « désenchantement du monde » dénoncé par le sociologue Max Weber et l’idée que « le XXIème siècle sera spirituel ou il ne sera pas » prophétisée par André Malraux.
C’est donc à l’élaboration d’un « nouveau paradigme » non-réductionniste que notre société en voie de mondialisation est conviée. En le construisant sur base de l’incomplétude de la Science, on pourrait imaginer l’émergence d’une spiritualité nouvelle comblant ce vide laissé par la Science. Une spiritualité aussi mondialement valide que cette Science que toutes les universités de la planète enseignent aujourd’hui pourrait ainsi émerger, rendant à l’homme sa dignité et à l’Univers sa profondeur métaphysique.
C’est déjà à cette spiritualité universelle que faisait référence la « Déclaration universelle des droits de l’Homme » signée à Paris le 10 décembre 1948 et rédigée pour que ne se répètent plus jamais les horreurs de la seconde guerre mondiale. Il peut être utile, aujourd’hui que la possibilité d’une troisième guerre mondiale se fait de plus en plus crédible, de rappeler l’engagement solennel des 58 états membres alors signataires et aujourd’hui cosigné par les 193 états membres de l’ONU. Le site de la diplomatie française rappelle l’attachement de notre pays à ces valeurs spirituelles universelles. (https://www.diplomatie.gouv.fr).
« Les droits de l’Homme sont définis comme les droits inaliénables de tous les êtres humains, quels que soient leur nationalité, lieu de résidence, sexe, origine ethnique ou nationale, couleur, religion, langue ou toute autre condition et recouvrent de nombreuses thématiques. La protection des droits de l’Homme, tels que consacrés dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme, se situe au centre des travaux de l’Organisation des Nations unies qui rappelle que ces droits sont universels, indissociables, interdépendants et intimement liés (Conférence mondiale des Nations unies). Ces droits font partie des valeurs fondatrices de la République française comme cela a été proclamé dans le préambule de notre Constitution. Leur respect est au cœur de l’exercice de la démocratie en France et de notre engagement au sein de l’Union européenne et des organisations internationales ».
Ce sont précisément ces « droits inaliénables » qui ont été ouvertement bafouées par nos responsables politiques durant la pandémie, ce « test grandeur nature d’une gouvernance mondiale (Bill Gates)» ici imaginée par une « caste mondialiste » de nantis au détriment du peuple.
Une grille de lecture organiciste de la société
Avant Galilée, toutes les cosmologies, les « visions du monde » élaborées par les hommes étaient fondées sur un « paradigme organiciste » implicite. Il semblait alors inconcevable d’assimiler l’Univers, les organismes vivants et l’homme à une machine (l’idée sous-jacente au « paradigme mécaniciste » de Galilée). Descartes lui-même ne mettait aucunement en doute la réalité du concept de Dieu ou d’une « profondeur » spirituelle de la Réalité puisqu’il distinguait une réalité objective et mesurable dont s’occupe la Science, la res extensa, et une réalité « non étendue » qu’il assimilait au concept philosophique et religieux de l’« âme », la res cogitans.
Nous ne pourrons pas construire une société humaine aussi harmonieuse que la Nature qui nous entoure sans donner, dans notre vision du monde, une place centrale au processus (scientifiquement indéfinissable) de la vie. Seule une approche délibérément non-réductionniste de la Nature nous permettra de sortir de l’ornière matérialiste dans laquelle notre civilisation techno-scientifique nous a embourbés.
Seule cette nouvelle « vision du monde » pourrait nous permettre de comprendre comment opérer l’indispensable transition entre notre état actuel de cohabitation entre Etats souverains en concurrence économique et celui d’une entité politique mondiale unique capable de gérer sur un mode consensuel et non-violent tous ces conflits locaux que nous réglons aujourd’hui de façon particulièrement primitive et inhumaine par des guerres.
Notre propre organisme est en effet un modèle de cohabitation harmonieuse des milliards de cellules qui le composent. Chacune individuellement est pourtant animée, comme chacun de nous, d’une finalité « égoïste », survivre et se reproduire. Toutefois, contrairement aux cellules et aux organismes non-humains, l’homme est, en plus, animé d’une soif d’infini ou de transcendance qui fonde ce « sens du Sacré » qui, selon l’anthropologue et historien des religions Mircea Eliade, constitue la caractéristique spécifique de la race humaine. C’est cette dimension de « profondeur » qu’un certain scientisme et son rejeton, le transhumanisme, tentent de nier au nom d’une « Science biologique » qu’ils assimilent erronément aux mécanismes de l’intelligence artificielle de nos ordinateurs. En effet, la science la plus fondamentale de la matière, la physique quantique, a complètement invalidé le principe du déterminisme, fondement logique du paradigme mécaniciste de la science galiléenne. Cette « Science » galiléenne est en réalité aveugle à la « profondeur » spirituelle de l’homme et à la dimension métaphysique de l’Univers.
La Science vit donc, comme notre société, une profonde crise d’identité. Nous avons collectivement perdu la vision cohérente et unifiante de l’Uni-vers qui nous entoure. Notre modernité ne nous offre plus, comme avant, un paradigme universellement applicable. La crise sociale actuelle (révélée par la prétendue crise « sanitaire » ) et la crise scientifique sont en réalité intimement liées. Elles sont génératrice d’une angoisse diffuse parce nos points de repère traditionnels (religieux et scientifiques) se sont effondrés et que nous ne savons plus à quelle « autorité » ultime nous raccrocher. C’est parce que ce terrain psychologique a été fragilisé dans notre société qu’a pu se développer le « terrorisme sanitaire » mis en place par nos autorités politiques.
L’organisme planétaire
Collectivement, nous ne sommes toujours pas arrivés, 75 ans après la signature de la Convention des Droits de l’Homme, à imposer la légitimité et l’autorité humaniste de ces textes aux 193 Etats-nations de la planète. Or, seule une organisation de la politique mondiale pilotée par une telle finalité spirituelle (éthique, morale) est susceptible de créer l’enthousiasme du peuple indispensable à l’émergence d’une « auto-organisation » planétaire. Seules les valeurs « spirituelles » défendues dans ces Conventions sont susceptibles de récolter l’agrément de tous les habitants de la terre parce qu’elles correspondent aux valeurs que chaque individu considère, en son for intérieur et dans sa propre famille, comme essentielles et sacrées. Tant que la marche du monde restera entre les mains d’économistes et de commerçants animés par une finalité exclusivement matérialiste, les peuples continueront à se faire la guerre, les riches à s’enrichir et le peuple a s’appauvrir.
Toutes les guerres, les spécialistes de la géopolitique le savent très bien, ont une cause économique et des prétextes hypocritement humanitaires. Tous les Etats qui entrent en guerre (les USA et l’Otan aujourd’hui en sont les principaux pourvoyeur) sont obligés de raconter un énorme mensonge à leur population pour faire accepter par le peuple quelque chose dont il a naturellement horreur. Ce n’est donc que si, collectivement, nous décidons de donner, en politique, la priorité absolue aux « valeurs humaines universelles » que la guerre nous apparaîtra comme la solution la plus primitive et la plus autodestructrice qui soit de régler nos conflits et que la paix dans le monde sera possible.
Pour parvenir à cela, il est impératif que le nouveau pouvoir politique, piloté par des idéaux humanistes, soit totalement indépendant, dans ses décisions, des pouvoirs économiques (naturellement pilotés par les valeurs matérialistes) et qu’il ait pleine autorité sur eux. La dérive actuelle ne peut mener qu’au retour du fascisme, le système politique qui donné naissance à la seconde guerre mondiale.
Ce que nous vivons aujourd’hui au niveau planétaire réclame une totale inversion de l’échelle de nos valeurs. Nos autorités politiques sont en effet au service des puissances économiques au lieu que ces puissances ne soient, comme nos élus politiques, au service de l’idéal humaniste qu’approuve tout citoyen sensé. La « haute trahison » du Président Macron - qui est identique à celle de la plupart des dirigeants de nos démocraties actuelles - est le « vice » d’organisation qui, aujourd’hui, engendre le délitement de nos démocraties et notre lente évolution vers une forme de totalitarisme liberticide et mortifère pour les individus et le peuple.
Dans nos Etats de droit, nous devrions en principe agir dans cet esprit démocratique puisque nous plaçons les textes de « doctrine » (l’esprit des lois), nos Constitutions et nos Conventions internationales (qui gravent dans le marbre nos valeurs essentielles) au dessus de nos lois. Mais nous n’appliquons pas ces « beaux principes ». Nous acceptons que nos élus soient vassalisés par des puissances économiques qui, par principe, subordonnent les valeurs spirituelles (éthiques) partagées par tous les individus de la planète à leurs valeurs économiques et financières exclusivement au service d’une petite caste.
Je pense que ce n’est qu’en reconnaissant le caractère mystérieux (non-réductible à un « mécanisme ») et spirituel (par opposition à matériel) de la Vie que nous oserons abandonner le paradigme mécaniciste de la Science qui guide, aujourd’hui encore, la « vision du monde » de nos élites et qui nous a tous collectivement envoyés « dans le mur » d’une absurde pandémie imaginaire.
[1] Le complotiste se définit dans le Robert comme un « adhérent à une théorie du complot » et dans le Larousse comme « quelqu'un qui récuse la version communément admise d'un événement et cherche à démontrer que celui-ci résulte d'un complot fomenté par une minorité active ». Si le complot est réel, - ce qui est bien le cas ici - le qualificatif de « complotiste » est un honneur puisqu’il assimile le complotiste à un lanceur d’alerte (complotisme « rationnel »). Ce n’est que si le complot est une interprétation délirante, que ce terme constitue une injure parce qu’elle assimile le complotiste à un paranoïaque (complotisme « psychiatrique »). Déjà en 2009, au cours de fausse pandémie de H1N1, l’injure de complotiste avait été brandie par les autorités politiques pour discréditer ceux qui n’adhéraient pas à leur « alarmisme » mais il s’Est avéré qu’ils avaient raison puisque la pandémie avait disparu spontanément avant la vaccination de masse !
[2] La médecine scientifique est une médecine basée exclusivement sur des preuves objectives, (Evidence Based Médecine). Elle est donc aveugle à des réalités humaines essentielles comme le sujet et le psychisme.
[3] Le Forum Economique Mondial (FEM), le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, le Council on Foreign Relations (CFR), la Rand Corporation, le G20, le récent GESDA (Geneva Science and Diplomacy Anticipator) etc...
[4] Ce questionnement est décrit en détail dans mon livre-enquête « La Pandémie du Mensonge et de la Peur. Un médecin en quête de vérité » (LPMP) Ed Augustin de Livois, Paris, juin 2022.
[5] Revue Quaderni n° 93, printemps 2017 : « Dans le domaine de la santé, l’autorité médicale est incarnée par le médecin qui est, par son statut professionnel et la légitimité sociale dont il bénéficie, le plus à même d’établir un diagnostic et assurer le suivi médical d’un patient … Le médecin bénéficie en ce sens d’une sorte de ‘domination légale rationnelle’»
[6] Depuis les années 80, je mène, en dehors du cadre académique, une recherche sur la question du « réductionnisme scientifique », sujet trop vaste pour mériter le soutien de l’institution académique.
[7] Cinq ans de médecine hospitalo-universitaire, sept ans de médecine générale, vingt ans de médecine interne (en Belgique) et quinze ans de cardiologie (en France).
[8] L’OMS définit la santé comme un état de bien-être physique, psychologique et social. La médecine « scientifique » n’aborde que la santé physique, celle du corps-objet de la physiologie.
[9] C’est le mot qui m’est venu spontanément à la bouche à la fin du discours du Président Macron le 16 mars 2020. Sa justification est longuement analysée et argumentée dans mon livre précédent (LPMP).
[10] Il suffit de consulter la liste des candidats aux plus hautes fonction politiques adoubés par le Forum Economique Mondial (les Young Global leaders), le Bilderberg ou la fondation américano-française (les global leaders) en raison de leur adhésion à la vision mondialiste de ces think-tanks privés pour comprendre que le processus démocratique est pipé à la base. Seuls les candidats sponsorisés par ces élites ont une chance de devenir nos « élus ».
[11] L’agenda « 21 » (pour le XXIème siècle) de l’ONU et l’agenda 2030 du FEM de Davos en sont deux exemples.
[12] La démonstration de la réalité de cette censure a commencé à se faire aux USA par le biais des auditions sénatoriales d’anciens censeurs de Twitter : https://www.youtube.com/watch?v=gy7mtoyrlX. Elle s’Est sensiblement accélérée depuis la nomination par le Président Trump d’une équipe de « complotistes » à la tête des départements de la santé (CDC, NHI, FDA etc). Le nombre de mesures prises par le président pour mettre fin à cette censure démontre que les chefs d’état sont parfaitement conscients de sa réalité et de sa puissance. https://www.facebook.com/story.php?story_fbid=10235378352978736&id=1208892845&mibextid=WC7FNe&rdid=xwTLwHZeuWlzipyK
[13] Dans mon cas, l’événement déclenchant fut la survenue, après la seconde injection du « vaccin » en avril 2021, d’effets indésirables très handicapants et l’observation, dans mon seul entourage familial, de nombreux effets secondaires graves, incompatibles avec les déclarations d’innocuité des vaccins rapportées dans les essais cliniques publiés dans la grande littérature scientifique.
[14] Les ententes secrètes entre les autorités politiques et les maîtres mondialisés de l’information commencent à être révélées au public, particulièrement aux USA grâce, entre autres, à la procédure du « Freedom Of Information Act (FOIA) ». https://www.youtube.com/watch?v=JLnpvOv0PVQ.
[15] Ces sites protégés contre la censure ont proliféré depuis la pandémie, preuve évidente de l’importance de cette censure. En dehors de Crowdbunker, je connais Vimeo, Odyssée, Rumble, Substack, Protonmail etc…
[16] Preuve de cette sélectivité « Covid » de la censure : depuis que Elon musk a racheté Twitter, il a fermé 44.000 compte pédo-pornographiques et rouvert une foule de comptes fermés pour cause de « complotisme ».
[17] Les partenaires au sein de la TNI sont: Assiciated Press, Agence France Presse, BBC, CBC/Radio-Canada, l’UER (Union européenne de radiodiffusion), Facebook, Financial Times, First Draft, Google/YouTube, The Hindu, Microsoft, Reuters, Reuters Institute for the Study of Journalism, Twitter et The Washington Post. (Wikipédia)
[18] Il semble bien que l’entreprise Mac Kinsey, spécialisée en stratégie ait été la cheville ouvrière de la synchronisation mondiale de cette censure. Hormis ses factures, « la Firme » a l’habitude de laisser très peu de traces écrites de ses interventions. Elle est un modèle d’acteur de l’ombre dont la présence au cours de la pandémie est devenue tentaculaire.
[19] Le sujet mérite à lui seul un livre entier. Il est déjà écrit (Un Nouveau Paradigme pour la Science et pour l’Homme) mais pas encore publié. (Cfr www.lheterodoxe.com.)
[20] Le terme est de Yuval Noah Harari, auteur de plusieurs best-sellers et le porte-parole de la philosophie transhumaniste du FEM et de la caste mondialiste.
[21] Titre d’un autre livre auto-édité qui résume mes recherches sur la nature de la Vie : « Le Paradigme organiciste : Esquisse d’une Biologie Non-Réductionniste » (www.lheterodoxe.com)
[22] Souvenons-nous de ces gens qui, aux touts débuts du cinématographe, quittaient la salle affolés, persuadés que le train qui semblait foncer vers eux allait tous les écraser. Souvenons-nous aussi de cette émission de radio de 1938 dans laquelle le jeune Orson Welles lisait avec un tel talent une adaptation de « La guerre des mondes » qu’il a généré une panique générale aux USA, le public croyant que des aliens les envahissaient. Plus proche de nous, souvenons-nous que la grande majorité des allemands a été hypnotisée par la propagande antisémite de Goebbels et Hitler qui les persuadait que le Juifs étaient vecteurs de maladies et des êtres malfaisants qu’il fallait absolument éliminer. L’hypnose de masse est un fait bien connu des spécialistes.
[23] Le préfixe « télé » signifie « loin de ». La téléréalité est une réalité qui se déroule loin de nous et dont la vérité est donc directement invérifiable.
[24] Les émissions de André Berkoff sur Sud-Radio, celles de Xavier Azalbert sur France-Soir , le site de Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé suisse (www.anthropo-logiques.ch) et, dans le registre purement médical et scientifique, les conférences hebdomadaires du « Conseil Scientifique Indépendant » (www.crowdbunker@csi) qui donne la parole à des experts de haut niveau qui démontrent clairement et systématiquement le caractère mensonger des propos prétendument scientifiques présentés par nos autorités politiques et scientifiques sur les médias mainstream. Celui qui veut rattraper ses années de retard sur la vérité aurait tout intérêt à visiter ces quatre sites.
[25] Le Pr Perronne affirme que l’Etat français a versé aux médias, depuis le début de la crise, près de 3 milliards d’euros à titre d’aide exceptionnelle. La fondation de Gates (FBMG) a aussi, de son côté, largement arrosé de millions tous les médias mainstream du monde occidental. Cette générosité était probablement le prix payé pour leur collaboration inconditionnelle au projet « sanitaire » des autorités politiques et de la caste mondialiste.
[26] « Covid 19 : politisation, ‘corruption’ et suppression de la science » Kamran Abrassi, British Medical Journal, 13 nov 2020 ; « Censure de l’Hétérodoxie Covid 19 : tactiques et contre-tactiques » Minerva (revue de sociologie) 1 Nov 2022.
[27] Dénoncés par exemple par Richard Horton, directeur du Lancet, Marcia Angell, ex-directrice du NEJM, Peter Doshi, rédacteur au British Medical Journal, John Ioannidis, épidémiologiste à Stanford …
[28] Cfr la video d’un banquier suisse récemment converti au complotisme: https://t.me/c/1506356049/11698
[29] www.youtube.com/watch?v=8Fn9gyr3Gkc
[30] Voir le remarquable travail de Ariane Bilheran et Vincent Pavan « Le débat Interdit. Langage Covid et Totalitarisme » (Ed Guy Tredaniel 2022) ou le livre de Mattias Desmet, psychologue de l’université de Gand, spécialistes de la formation et de la désinformation de masse : « Psychology of Totalitarianism ».
[31] La tromperie médiatique délibérée est une vieille coutume en temps de guerre. Elle a été flagrante en France durant la guerre 14-18 et la guerre d’Algérie et dans l’Allemagne nazie depuis les années 30 jusqu’à la fin de la guerre. Or, ici, le Président de la République, nous avait prévenus que nous étions en « état de guerre ». C’est probablement cet état qui justifiait, à ses yeux, la censure.
[32] Il parait que durant la guerre 39-45 70% des médecins adhéraient au narratif raciste deHitler.
[33] Du simple fait que je suis retraité, je suis difficilement condamnable par les conseils de l’Ordre et du fait que je me suis isolé socialement du milieu médical, je ne subis aucune pression psychologique me poussant à me conformer à la philosophie majoritaire de la profession.
[34] Il est étonnant, par exemple, de constater qu’exactement les mêmes arguments « culpabilisants » ont été utilisés dans tous les pays occidentaux pour « convaincre » la population de se faire vacciner, comme si un même mode d’emploi leur avait été fourni. Ce genre d’arguments moraux était jusqu’ici réservée aux autorités religieuses mais comme les religions ont perdu une bonne partie de leur autorité naturelle auprès des foules, le pouvoir politique s’est emparé de cette clé psychologique, fondamentale dans un projet de manipulation de masse.
[35] Voir le film de Fabien Moine : Suspendus, des soignants entre deux mondes (Remarquable d’humanité !) https://exuvie.fr/livre/suspendus_des_soignants_entre_deux_mondes/
[36] L’organisation pyramidale est caractéristique, non seulement des pouvoirs autoritaires mais aussi de nos systèmes capitalistes dits démocratiques. Le sommet d’une pyramide sociale est sa « tête », caput en latin, racine du mot capitalisme.
[37] Allusion à l’expérience de S. Milgram visant à expliquer l’obéissance des gardiens dans les camps de la mort.
[38] « J’en ai marre de tous ces médecins qui sont sur les plateaux depuis deux ans et qui nous racontent connerie sur connerie… »
[39] https://youtu.be/NodE30XE7Oc
[40] L’intervieweur fait remarquer - à juste titre - qu’il n’y a aucun sens à déclarer obligatoire une « vaccination » qui ne protège ni de la transmission du virus ni de la récidive de la maladie.
[42] C’est l’idée de la « plandémie », une pandémie planifiée dont la « fausse pandémie » H1N1 en 2009 n’était qu’une répétition générale. Cette thèse est défendue de façon très convaincante dans des articles et plusieurs films ou vidéos. https://crowdbunker.com/v/en6ygZS121; https://www.stopworldcontrol.com/proof
[43] Depuis l’avènement d’internet, la presse écrite ne survit que grâce à des subventions de l’Etat. Depuis le début de la crise, l’Etat français a alloué aux médias des « aides exceptionnels » qui ont fait de tout ce secteur le vassal du pouvoir politique..
[44] Voir la vidéo de Corine Lalo,: https://www.youtube.com/watch?v=JqMufTvdFc0
[45] Toute la presse nationale française est aux mains de neuf milliardaires, tous membres du FEM.
[46] Voir le livre (Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels. Ed de l’Artilleur) ou la vidéo du statisticien Pierre Chaillot au cours du colloque sur la corruption dans la crise Covid (sept 2022). https://www.kairospresse.be/colloque-interdisciplinaire-corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020/?utm_source=substack&utm_medium=email
[47] Témoin cette réponse de Agnès Buzin, ministre de la Santé à la sortie de son audition par la commission sénatoriale pour la fausse pandémie de H1 N1 en 2010, à la question : « Y a-t-il quelque chose que vous regrettez dans votre gestion de la crise ? ». Réponse : « Oui, il y a quelque chose que je regrette. On n’a pas assez verrouillé internet ». Ce qui signifie que déjà alors, l’Etat avait « verrouillé » internet, c'est-à-dire instauré la censure mais que, cette fois, il éviterait de renouveler son erreur stratégique.
[48] Les preuves commencent à s’accumuler, surtout aux USA via le procédure FOIA (Freedom Of Information Act), d’une véritable « collusion » entre les autorités politiques (l’administration Biden), les autorités sanitaires (OMS, CDC, FDA, NIH) et les géants de la presse (AFP,AP, Reuters) et de l’information numérique (internet et les GAFAM).
[49] J’ai été personnellement très choqué de constater que, durant les élections présidentielles et législatives de 2022, presqu’aucun des candidats n’a osé soulever la question, pourtant cruciale dans une démocratie, de la censure exercée très sélectivement sur les discours dissidents par rapport à la doctrine sanitaire du gouvernement. La peur de perdre un électorat qui risquerait de les traiter de complotistes semble les avoir paralysés. C’est tout simplement de la lâcheté politique, le reniement des principes au nom d’un réalisme électoraliste.
[50] Film Le Plan: https://crowdbunker.com/v/en6ygZS121
https://www.stopworldcontrol.com/proof
odysee.com/@laileastick:4/2021-026-PLANDEMIC-Judy-Mikovits:b
[51] Ces manipulations des textes législatifs rappellent la modification de la définition du mot pandémie dans l’IHR de l’OMS peu avant la fausse pandémie de 2009.
[52] Au moment où je termine la rédaction de ce livre sort de presse un livre qui, au départ exclusif de documents statistiques officiels (donc incontestables) démontre la manipulation des chiffres à laquelle nos statistiques nationale et mondiales ont été soumis par nos autorités politiques pour les faire concorder avec leur « doctrine sanitaire ». Pierre Chaillot : « Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels ». Ed L’Artilleur, mars 2022).
[54] Cela rappelle les repris de justice sortis de prison par Hitler pour réaliser, sans l’impliquer personnellement, son nettoyage ethnique. Les chiens lâchés tiennent, comme les caïds dans une ville mafieuse, le haut du pavé.
[55] Réseau subventionné par l’Etat, il récolte les données des cas de pathologie infectieuse et contagieuse recensés par 1.300 médecins généralistes et pédiatres privés à travers la France. L’échantillon, extrapolé à toute la population française permet de calculer l’incidence des épidémies en nombre de malades par semaine pour 100.000 habitants..
[56] Il trouve une incidence de la Covid lors de la première vague, de 160 cas/sem/100.000 habitants, lors de la seconde de 90 et lors de la troisième de 50. Toutes sont inférieures aux chiffres de plusieurs épidémies grippales récentes.
[57]« Covid 19, une autre vision de l’épidémie », Paris, 2022. www.editionsdutoucan.fr
[58] Cfr son interview sur la vidéo n° 78 du CSI (www.crowdbunker@csi)
[59] Voir l’analyse de ces statistiques par le statisticien indépendant Pierre Chaillot dans le n°34 du CSI (www.crowdbunker@csi)
[60] Joseph Goebbels, ministre de l’éduction du peuple et de la propagande de Hitler de 1933à 1945 disait qu’« un mensonge répété 1.000 fois devient une vérité »
[61] Test que son inventeur lui-même déclarait capable de « détecter n’importe quoi chez n’importe qui » si on multipliait des cycles d’amplification du signal génétique (ce qui a été fait dans les laboratoires).
[62] https://www.bfmtv.com/sante/je-suis-devenu-un-pro-vaccination-a-100-000-non-vaccine
[63] https://www.youtube.com/watch?v=HH_JWgJXxLM
[64] On a vu sur internet des séquences vidéo montrant, les uns après les autres, nos hommes politiques martelant tous la même injonction « vaccinez, vaccinez, vaccinez » comme s’ils étaient payés à la commission. Plus amusant, la même scène se retrouve, jouée cette fois par Nicolas Sarkozy lors de la fausse pandémie de 2009 : « vaccinez, vaccinez, matin et soir, jour et nuit, vaccinez, vaccinez, vaccinez». Manifestement, un même metteur en scène est derrière ces deux « fausses pandémies ».
[65] Le vaccin contre la grippe, un vaccin que nous connaissons depuis des années, atteint péniblement une efficacité de 55-60%, parfois même 15%, et sa fabrication représente chaque année un « pari » sur l’émergence, l’année suivante, de tel ou tel mutant, celui contre lequel le vaccin serait efficace.
[66] Cfr le livre très documenté et sourcé de S Montanari, A.M.Gatti et S Rader : « Vaccins, oui ou non ? », Ed Talma ISBN 979-10-96132-47-8
[67] Voir à ce sujet la vidéo très didactique du Dr Stéphane Gayet, infectiologue expérimenté : https://twitter.com/Dr_Steph_GAYET/status/1623626827565522946?t=brfjQUy0CrY9RIwJ_gxlJw&s=19
[68] Pour justifier la vaccination obligatoire des soignants et le pass vaccinal, le Président Macron n’a pas hésité à affirmer que « les vaccins divisent par 12 le pouvoir de transmission du virus et diminue de 95% les formes graves », les deux affirmations étant complètement fausses.
[69] Lire à ce propos le livre très documenté de Pierre Chaillot : « Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels » Ed de l’Artilleur (01-2023)
[70] L’office national des statistiques du Royaume Uni montre par exemple en mai 2022 que sur 100 décès Covid, 5 %sont non-vaccinés, 2% sont vaccinés une dose, 10% vaccinés deux doses et 85% vaccinés trois doses.
[71] Par le phénomène appelé autrefois le mythridtisation en référence à ce guerrier de l’Antiquité qui prenait des doses croissantes de poison pour s’immuniser contre ses effets.
[72] https://odysee.com/@ReligiareOriginel:d/T%C3%89MOIGNAGES_EFFETS_IND%C3%89SIRABLES_2021-2022:9
[73] L’association « où est mon cycle ? » a déjà récolté plus de 7.000 témoignages de troubles menstruels apparus après la vaccination alors que nos autorités soutiennent que cet effet secondaire et rare et négligeable.
[74] Par exemple « La face cachée des vaccins » de Raphaël Berland
[75] Une étude de Lausanne montre qu’entre 1966 et 2004, les ligues sportives comptabilisaient une moyenne de 28 décès (mort subite sur le terrain) par an. Entre janvier 2021 et avril 2022, on en compte 673, soit 518 par an, c'est-à-dire 18.5 fois plus.
[76] Le VAERS aux USA recensait, entre 2010 et 2020 une moyenne de 100 rapports de myocardites post-vaccinales par an. Sur la seule année 2021, elle en comptabilise 13.000 pour les vaccins Covid, soit 130 fois plus.
[77] Une étude suisse a testé 1.000 soignants trois jours après leur vaccination. On note une élévation (asymptomatique) de la troponine, marqueur spécifique de nécrose myocardique, chez 2.8% des sujets.
[78] En Europe, 1.856 décès excédentaire par rapport à la moyenne habituelle après la semaine 22 de 2021 (début des vaccinations d’enfants) contre un chiffre de 234 avant cette date, c'est-à-dire un facteur multiplicatif de 8.
[79] Les statistiques de l’OCDE (celles du CDC étant inaccessibles) démontrent que, depuis l’instauration des vaccins (déc 2020), on a enregistré aux USA +/-500.000 décès de sujets de 0 à 40 ans, ce qui correspond à une surmortalité de 118.000 sujets.
Euromomo comptabilise en Europe un doublement de la mortalité entre 0 et 14 ans en 2022 et une surmortalité importante entre 15 et 44 ans
[80] Sous-natalité de 13% en Allemagne, de 7.7% au Royaume Uni, de 15,6% en Suisse, de 23% à Taiwan, de 20% en Hongrie…
[81] Il y a eu, en deux ans de vaccinations anti-Covid, plus de décès et d’effets secondaires graves que durant les 30 années qui précèdent pour tous les vaccins réunis.
[82] Sur le site military.com, le Dr Theresa Long rapporte qu’en moyenne, de 2016 à 2019, on recensait 226 « événements médicaux remarquables » par an chez les pilotes de chasse. Ce chiffre est passé à 2.194 en 2020, 2.861 en 2021 et 4.059 en 2022, soit 20 fois plus. Dans mon livre LPMP, j’évoque la divulgation par trois médecins militaires de l’augmentation considérable, dans les statistiques des services de santé de l’armée américaine, de toute une série de pathologies. Ces médecins ont été tenus par leurs autorités à ne plus communiquer dans les médias.
[83] Par exemple : Lincoln National, 5ème assureur aux USA note une augmentation de 163% des décès de clients (entre18 et 64 ans !) entre 2020 et 2021.
[84] Les Assurances allemandes KUB signalent une multiplication par 10 des morts subites en 2021 et 2022 par rapport à 2020 (pic de la pandémie)
[85] Alors que nous avons tout à apprendre sur cette nouvelle pathologie.
[86] https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/270286-quest-ce-que-letat-de-droit
[87] Dans l’affaire Dreyfus, il a fallu 12 ans avant que la confiance du peuple dans les autorités politiques (et religieuses) ne s’effondre. Soixante ans après l’assassinat de JF Kennedy et malgré l’abondance des preuves à charge, l’Etat américain n’a toujours pas reconnu la participation de la CIA et continue à garder « secret défense » les documents qui pourraient l’inculper.
[88] La commission européenne a installé dès avant le début de la pandémie (plandémie ?) un service de « surveillance de la désinformation », ce danger étant décrit comme un risque majeur pour la réussite de la stratégie sanitaire. A la suite de l’exigence d’une enquête interne par certains parlementaires, on apprend ainsi que, par exemple, Twitter a suspendu 1.500 comptes entre mars 2020 et juillet 2021, éliminé 43.000 tweets et contesté 11.7 millions de comptes au prétexte de désinformations concernant la Covid. Facebook et Instagram avaient effacé en mai 2021 76.000 publications jugées « incompatibles avec la politique du réseau social». Le volume de cette censure dénuée de tout contrôle démocratique évoque clairement le travail d’un véritable « Ministère de la Vérité » orwellien à la compétence mondiale.
[89] Il est intéressant d’étudier, à ce propos, la stratégie commerciale déployée par les fabricants des vaccins contre l’hépatite B pour comprendre combien le marketing et la corruption des autorités sanitaires d’un pays font partie intégrante de la stratégie commerciale de l’industrie pharmaceutique. L’hépatite B ne menace réellement qu’une toute petite partie de la population mais à force de manipulations des lobbyistes, l’Etat a finalement rendu cette vaccination obligatoire pour tous. (Cfr la lettre de Xavier Bazin du 09/11/2022) Et il en va de même du vaccin contre l’HPV censé prévenir du cancer du col de l’utérus qu’on propose aujourd’hui même aux jeunes garçons sous des prétextes scientifiquement plus que contestables.
[90] Cfr « La famille Rockfeller a fondé la médecine moderne et tué les remèdes naturels » https://www.kafunel.com/la-famille-rockefeller-a-fonde-la-medecine-moderne-et-tue-les-remedes-naturels.
[91] « Le pire ennemi de l’homme, a déclaré Anthony Fauci, est la Nature ».
[92] La définition de l’immunité dans la « bible » de l’OMS (IHR) a été modifiée très récemment de façon à suggérer cette équivalence ou même supériorité de l’immunité vaccinale sur l’immunité naturelle.
[93] On peut se demander pourquoi le conseil scientifique de « Santé Publique France » (27 membres compétents et habitués à travailler ensemble) n’a pas été convié à participer alors que sa fonction officielle est de « veiller à la qualité et à la cohérence de notre politique scientifique ». https://www.santepubliquefrance.fr/a-propos/notre-organisation/conseil-scientifique. Le pouvoir lui a préféré une « Tour de Babel » impuissante.
[94] Citation du Pr JF Delfraissy du 03/08/2022 : « on aurait pu prendre des décisions avec les citoyens. Nous avons demandé de créer un comité, ça ne s’est pas fait. On aurait pu, par exemple, interroger les parents sur la réouverture des écoles…mais le politique n’a pas souhaité le faire »
[95] Coût du médicament : 2.340 € par traitement. Le médicament n’avait pas encore obtenu alors l’AMM (obtenue en France en juillet 2020). L’OMS a déconseillé son utilisation dès le 20 novembre 2020 à cause de son efficacité faible et de sa toxicité rénale.
[96] Il a en effet un palmarès des épidémies qu’il a modélisées tellement systématique alarmiste (surévaluation de 20 à 1.000 fois) qu’il aurait dû perdre toute crédibilité. Cette « incompétence utile » s’explique quand on sait que l’Imperial College est largement sponsorisé par Bill Gates, un des plus grands défenseurs de la « religion vaccinale ».
[97] La majorité des généralistes a l’habitude de traiter les pneumonies virales (dites « atypiques ») par l’Azithromycine ou la Vibramycine, deux antibiotiques interdits - pour des raisons médicalement incompréhensibles -dans la Covid. Seule, la prescription, par téléphone, du Paracétamol était autorisée.
[98] « Le médecin traitant, aimait à répéter Michaël Balint, est le premier médicament dont ont besoin nos malades ». Il était un généraliste anglais célèbre pour son organisation de groupes de parole de médecins (les « groupes Balint »).
[99] Malgré l’accumulation de preuves statistiques de l’effet abortif du vaccin et de la réduction « inexpliquée » de la natalité dans la plupart des pays quelques mois après la mise en route des campagnes de vaccination.
[100] Citation de B. Bourguignon, éphémère ministre de la santé : « la liberté de ces 10% (des non-vaccinés) s’arrête là où celle des 90% (des vaccinés) commence . »
Citation de G. Attal, porte-parole du gouvernement : « dans l’après-Covid…on veut poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales ». Textes en phase avec Justin Trudeau, premier ministre du Canada, qui affirmait à un journaliste qu’il « se moquait des droits individuels dès lors que la majorité des citoyens l’approuvaient ».
[101] Hypothétique parce que résultant de projections mathématiques très sujettes à caution comme on l’a bien vu dans les calculs de Neil Ferguson du nombre de décès prévus dans plusieurs épidémies.(maladie de la vache folle :prévision en 2002 de 150.000 morts au RU avant 2080 ; en réalité : 1777 décès à ce jour/ grippe aviaire de 2005 : prévision de 15 Millions de décès dans le monde ; en réalité : 282 entre 2003 et 209./ Grippe H1N1 : prévision de + de 65.000 décès au RU ; en réalité 457 décès.
[102] Ce psychologue voulait expliquer comment le pouvoir nazis était parvenu à obtenir la collaboration d’autant de gens « normaux » dans le génocide juif. L’expérience a démontré que 60% des testés se « soumettaient » à l’autorité d’un faux Professeur » (en blouse blanche) alors que les ordres mettaient en danger la vie du testé.
[103] En France, le Dr Guy Vallancien, directeur du CHAM (Convention on Health Analysis and Management) très proche du FEM, a écrit deux livres très révélateurs de la pensée médicale transhumaniste de ce milieu « Homo artificialis, plaidoyer pour un humanisme numérique » et « Une médecine sans médecins ». Ce CHAM, totalement sponsorisé par l’industrie pharmaceutique, invite une fois par an à Chamonix tous les grands responsables de la santé publique en France à une réflexion sur l’avenir des systèmes de santé, réflexion totalement en phase avec la philosophie mondialiste et transhumaniste du FEM et de son Président, Klaus Schwab.
[104] Au Luxembourg, les autorités de santé ont été jusqu’à préciser aux médecins traitants qu’ils ne pouvaient adresser leur patient à l’hôpital que s’il était essoufflé en parlant ou en montant trois marches….
[105] Dans les textes de l’OMS et des agences nationales du médicament, les « thérapies géniques » figuraient, avant la pandémie, dans une catégorie de médicaments soumis à des critères d’acceptation beaucoup plus sévères que les médicaments et les (vrais) vaccins habituels. C’est par une habile manipulation de la définition du vaccin à l’OMS que la thérapie génique à ARNm des « vaccins » Covid a pu échapper à ces mesures. Ces thérapies nouvelles jouent en effet sur les processus biomoléculaire les plus profonds de la vie cellulaire. Vu la complexité énorme de l’organisation biochimique de nos cellules, introduire de force (par une enveloppe microlipidique) une information génétique étrangère fait de l’expérimentateur un apprenti-sorcier puisqu’il lui est impossible de prévoir l’effet de son « piratage » de notre propre système génétique
[106] Le déni est un moyen de défense psychologique très primitif qui se met en route automatiquement et inconsciemment quand la réalité menace gravement l’image de soi. Le médecin a généralement consacré sa vie à améliorer la santé de ses patients. Constater qu’un traitement préventif qu’il a prescrit à un patient en bonne santé pourrait être responsable d’une détérioration de sa santé est psychologiquement intolérable.
[107] Cfr l’analyse de P Chaillot : https://www.youtube.com/watch?v=E2I6Q9wyWf0
[108] Cas rapportés dans le Quotidien du Médecin
[109] Au début de la pandémie, deux publications ont fait état d’une impressionnante immunité à la Covid dans deux EPHADS dont tous les résidents et employés avaient été traités préventivement par cette molécule. Les auteurs ont été instamment priés de ne pas diffuser ces informations « non validées par la Science ».
[110] Rapport sur les réseaux sociaux de 300 cas traités avec succès dans le Nord-Ouest de la France par deux généralistes et nombreux autres exemples. Outre le cas bien connu du Pr D Raoult à Marseille, citons, en Belgique, le Dr Bouillon, le Dr Collignon et le Dr Résimont, tous ayant dû, malgré leurs excellents résultats en découdre avec les Conseils de l’Ordre.
[111] Le Pr JF Delfraissy, président du Conseil scientifique, avouait peu après sa démission que « Le pouvoir sur les vaccins a été pris par les industriels et en particulier les deux grandes firmes. Ce n’est pas l’OMS qui décide… »
[112] Je n’ai pas en tête de cas en France mais au Canada, le Dr Hoffe et au Luxembourg le Dr Ochs ont trouvé un nombre très important (50 et 30 % des vaccinés) d’élévation des D Dimères, un marqueur de thrombose intravasculaire.
[113] Au lieu de protéger, le vaccin peut aggraver les effets du virus sauvage sur le vacciné (par des anticorps « facilitants » ). Le vaccin contre la dengue, a ainsi tué des milliers d’enfants aux Philippines.
[114] En 1999, la définition de la pandémie dans l’IHR précisait encore que « la pandémie sera déclarée quand il aura été montré qu’un nouveau sous-type de virus a causé des flambées sérieuses… avec des types de maladies indiquant qu’une grave morbidité et mortalité sont probables… ». Quelques mois avant la pandémie, cette définition a été modifiée et le critère de sévérité de la maladie (morbidité et mortalité) a disparu…curieuse coincidence.
[115] En France, Le Pr Raoult, le Pr Perronne, Laurent Toubiana l’épidémilogiste de l’Inserm, etc.
[116] « Si vous le faites bien [le test PCR], vous pouvez trouver n’importe quoi chez n’importe qui. Il ya très peu de microbes [et virus] que vous n’avez pas rencontré une fois dans votre vie » K. Mullis (décédé le 07-08-2019).
[117] Christian Drosten, virologue à Berlin et premier créateur d’un test PCR pour la Covid reconnaissait parfaitement, devant caméra, l’absence de signification clinique du test PCR…avant qu’il devienne le « Monsieur PCR » de la pandémie sur les plateaux des chaînes TV allemandes. Il est subitement de venu le grand promoteur de son test « dépourvu de signification clinique » qui s’est vendu à des millions d’exemplaires…
[118] Neil Ferguson avait prédit, en 2009, 65.000décès au Royaume Uni et il y en a eu …457. Il avait prédit 100.000 décès de la Covid en Suède et il y en a eu 3.000. Pour la grippe aviaire de 2005, il avait prédit 150 millions de morts et il y en a eu 282 !!!
[119] https://www.sciencespo.fr/mass-violence-war-massacre-resistance/fr/document/crimes-de-masse.html
[120] Comme le fait très courageusement Me Rainer Fuellmich, avocat américano-germanique travaillant avec une centaine de juristes nationaux et internationaux, en suivant d’abord la voie d’un « grand Jury » (spécifique au droit anglo-saxon) avant d’espérer être admis à défendre sa cause devant un tribunal aux compétences internationales.
[121] Par exemple une conférence TED de Bill Gates où il parle du succès de ses campagnes de vaccination en termes d’une réduction de 10 à 15% de la population mondiale.
[122] « Laissez Les Médecins Prescrire (LLMP) » est le nom d’un groupe de plusieurs milliers de médecins français qui se sont rebellés contre cet ordre criminel. Ils ont été muselés par la censure dans la presse et sur les réseaux sociaux, ce qui a empêché leur mouvement de contaminer tous les généralistes.
[123] Il existe des centaines d’articles scientifiques démontrant cette efficacité.
[124] J’ai souvenir de la publication au tout début de la pandémie dans « Le Quotidien du Médecin » d’une guérison à domicile, dans un délai spectaculairement rapide, d’une pneumonie Covid par l’Erythromycine, antibiotique classiquement utilisé dans les « pneumonies primaires atypiques » qu’on pense d’origine virale.
[125] C’est le chiffre que propose Jaïr Bolsonaro dans un courageux mea culpa dans lequel il n’avait aucun intérêt à gonfler les chiffres de ses « victimes ».(interview à Fox News, 04/07/2022). Ce chiffre est cohérent et même plutôt une sous-évaluation si on lit les études montrant l’efficacité des traitements précoces « interdits ».
[126] Les Conseils de l’Ordre ont un pouvoir très officiellement judiciaire et l’indépendance de ce pouvoir vis-à-vis du pouvoir politique est inscrite dans la Constitution.
[127] Comme l’expliquait en toute naïveté Janine Small, déléguée par la firme Pfizer lors de son audition au parlement européen, « il fallait rentabiliser nos 2 milliards d’investissements ».
[128] Bill Gates qui a investi beaucoup d’argent dans l’industrie du vaccin avoue dans une interview que « c’est là le meilleur investissement de ma vie, avec un rapport de vingt pour un ».
[129] Dans une EHPAD de Seine et Marne, s’est déclenchée une épidémie de gale qui a justifié le traitement de tous les résidents et de tout le personnel par l’Ivermectine. Quand la vague du Covid est arrivée, toutes les EHPADs du département ont été fortement touchées, sauf celle traitée par Ivermectine. Un médecin d’une autre EHPAD de la région parisienne ayant entendu cela a traité tous ses résidents à titre préventif par la même molécule et cela a diminué considérablement l’impact de la Covid dans son établissement. Ils ont tous deux publié leurs résultats mais la presse n’en a étonnamment pas fait l’écho.
[130] Une fiction télévisée américaine racontant une histoire de pandémie due à un coronavirus se termine d’ailleurs par la découverte de ce médicament salvateur.
[131] Le Pr Marc Van Ranst , virologue à l’université de Leuven en Belgique a découvert en 2004 l’activité de la chloroquine sur les coronavirus, ce qui n’a pas empêché le comité scientifique (dont il fait partie) qui conseille les autorités politiques belges de boycotter cette molécule. Le 25 mai 2020, le site de son laboratoire ajoute un commentaire à son article de 2004 signalant que des études hors de son université auraient démontré l’inefficacité de cette molécule sur le Sars-Cov 2. La probité de cet auteur est toutefois douteuse quand on sait qu’il a été convié, peu avant la pandémie, à faire une conférence devant un parterre de responsables pharmaceutiques dans la très select et très privée « Chatham House » de Londres pour leur expliquer son expérience dans la grippe H1N1 et des façons de « manipuler » la presse pour que, dès le tout début d’une pandémie, elle adhère à la version du gouvernement.
(https://odysee.com/@teyu38:0/seminaire-mensonge-pandemie:3).
[132] Le Dr Andrew Hill, par exemple, avait publié en janvier 2021 une étude montrant une réduction du risque de mortalité de 75% par l’Ivermectine dans sa méta-analyse de 18 études randomisées mais les conclusions (qu’il a vraisemblablement été forcé d’écrire par les commanditaires de son étude, Unitaid de l’OMS et que seules lisent la majorité des lecteurs) contredisaient le message principal de ’étude elle-même, c'est-à-dire l’efficacité spectaculaire de l’Ivermectine.
[133] Par exemple en faisant passer l’Ivermectine pour un médicament exclusivement à un usage vétérinaire (« pour les chevaux ») ou en faisant grand bruit autour d’un décès dû à l’ingestion de chloroquine, une molécule servant à désinfecter les aquariums.
[134] En France, l’ANSM comptabilisait le 15/12/2022 190.000 effets secondaires dont 25% graves (pas de rubrique décès !!) aux USA, le VAERS, comptabilise 29.981 décès (13.894 aux USA) et 1.370.000 effets secondaires suite au vaccin Covid (contre 900.000 en 30 ans, tous vaccins confondus ; en Europe Eudravigilance note 50.010 décès et 41.000 effets secondaires et 5.2 millions d’effets secondaires (chez 2.2 millions de sujets) au 14/01/23 (à multiplier par un facteur entre 10 et 100)
[135] Le Dr A. Thorp, un échographiste ayant 43 ans d’expérience et réalisant plus de 9.000 échographie de grossesses par an, note que la fréquence des enfants morts-né est passée, dans son service, d’une moyenne de 6 /1.000 examens à 29/1.000 depuis le début des vaccinations.
[136] Alors que les fédérations sportives en Europe comptabilisaient en moyenne 29 cas par an, elles en comptabilisent, depuis début 2021, plus de 1500.
[137] Je pense par exemple à Robert Malone(l’inventeur des micro-capsules lipidiques qui protègent de la dégradation l’ARNm des vaccins), au Pr Christian Perronne (grand vaccinateur de la France et de l’Europe, attitré depuis 20 ans auprès de l’OMS), à Peter Mac Cullough (qui a mené aux USA une véritable croisade anti-vax Covid en raison de l’inacceptable risque qu’on courait en injectant une substance génique expérimentale neuf mois au lieu de dix ans après sa fabrication), à Michael Yeadon (ancien directeur scientifique de Pfizer) .
[138] En réalité, il existe deux types de complotistes. Le complotiste rationnel est un « lanceur d’alerte » parfaitement sain d’esprit qui divulgue publiquement un complot réel tandis que le complotiste psychiatrique clame un complot imaginaire. Il est un malade mental souffrant de « paranoïa » (délire d’interprétation).
[139] La CIA a largement fait usage de cette arme pour couvrir des mensonges d’Etat dont l’assassinat (toujours présumé) du Président JF Kennedy par la CIA.
[140] On dit cela par exemple, en Europe, de Ursula von der Leyen et de Didier Reynders et , à l’OMS, de son directeur, Tedros Ghebreyesus.
[141] J’ai bien connu personnellement ce phénomène de la corruption subtile en médecine. L’industrie pharmaceutique est le grand corrupteur de la profession. Bien que les médecins ne soient pas considérés comme des fonctionnaires, ils ont le pouvoir de prescrire librement des médicaments payés par une assurance publique sans qu’il n’existe de moyen efficace de les responsabiliser individuellement (feed-back social) des dépenses engendrées par leurs prescriptions. Tous les prescripteurs sont la cible des manœuvres corruptrices des firmes pharmaceutiques et (presque) tous profitent, à une degré très variable selon leur moralité, de leur générosité. Il est aujourd’hui devenu tout à fait normal (admis par les Conseils de l’Ordre) de faire « sponsoriser » les réunions entre médecins et les congrès par un laboratoire. Or, ce sont là des moyens très efficaces d’influencer subtilement les prescripteurs, c'est-à-dire de les pervertir discrètement.
[142] On devine que le Président Macron y a recours puisque l’agent gagné par la revente d’un département de Nestlé à Pfizer n’apparaît pas dans la déclaration de son état de fortune (exigé des hommes politiques).
[143] Il est bien connu dans le milieu des candidats aux plus hautes fonctions politiques que des organismes comme le Bilderberg, le FEM, la FCF ou la FAF constituent des formidables tremplins à leurs ambitions.
[144] La société de conseil Mac Kinsey a ainsi « généreusement » offert ses services « pro bono » au candidat Macron pour sa campagne présidentielle en 2017. Depuis son élection, les recours aux services de cette firme par les ministères ont explosé. C’est donc le contribuable qui paie ainsi la campagne électorale du Président.
[145] Par exemple cette obligation de ne faire usage à domicile que du seul paracetamol ou cette culpabilisation malsaine des non-vaccinés et des enfants vis-à-vis de leurs grands parents, génératrice d’un grave clivage social et donc en contradiction avec les conseils de l’IHR en cas de catastrophe sanitaire.
[146] En France, augmentation de la dette nationale 560 milliards d’euros entre fin 2019 et fin 2022, soit, en trois ans, 20.000 € de dette supplémentaire sur la tête de chaque français actif.
[147] Injustifié au vu des statistiques qui démontrent que la morbi-mortalité de la Covid n’a pas dépassé celle d’une grippe saisonnière banale. Il n’y a jamais eu de « catastrophe sanitaire » selon les experts non affidés au « système » ( P. Chaillot en France, J.Ioannidis de Stanford aux USA ,Denis Rancourt au Canada :cfr supra).
[148] Les “Big Three” ( MBB) : Mac Kinsey, Bain et Boston Consulting Group.
[149] FAF : French American Foundation dont le nom de l’instigateur et sponsor reste secret.
[150] Grosse bâtisse des environs de Londres qui se définit comme un Think Tank des affaires internationales. La « règle du Chatham House » stipule que « lorsqu'une réunion, en tout ou en partie, est tenue selon cette règle, ses participants sont libres d'utiliser les informations qui leur sont données, mais ne peuvent divulguer ni l'identité ni l'affiliation des orateurs ni celles de tout autre participant à la réunion ».Le secret est donc, ici aussi, le mot d’ordre.
[151] On peut penser au patron de la puissante banque Rothschild dans laquelle le Président Macron a travaillé qui est unes membres éminents du « groupe Bilderberg » particulièrement doué pour « détecter » (promouvoir) les candidats qui serviront le mieux leurs intérêts.
[152] Liste des YGL : E Macron, G Attal, M.Schiappa, Larry Page, Justin Trudeau, A. Decroo, Jack Ma, Marc Zuckerberg etc…
[153] On compte parmi les YL du FAF : E. Macron, F. Pellerin, N. Vallaud-Belkacem, V. Pecresse, JM Colombani (Le monde), Chr. Ockrent, A. Minc, M. Pigasse, A. Juppe, F. Hollande etc…
[154] Liste de la France China Foundtion : N. Dupont-aignan, F. Hollande, A Juppé, N. Kosciusko-Morizet, A. E Macron, Lauvergeon (Areva), F Léotad, A. Minc, A. Montebourg, P. Moscovici, V. Pecresse, F. Pellerin, M. Touraine, N. Vallaud-Belkacem, J. Toubon, C.Villani, etc…
[155] Liste des élus du Bilderberg (en France) : G. Pompidou, D. Strauss-Kahn, M. Valls, V. Pecresse, F. Fillon, F. Pellerin, E. Macron, F. Baroin, A Juppé, L Fabius, E Philippe, JM Blanquer, B Cazenzuve, B Lemaire etc…
[156] Le milliardaire Georges Soros décrit le Forum comme un « gigantesque cocktail mondial » et c’est bien la finalité de tous les cocktails de favoriser la rencontre de gens du même milieu pour faire des « affaires ».
[157] L’installation de la 5G a été sensiblement accélérée durant la Covid, les installateurs bénéficiant d’une dérogation aux mesures de confinement. Cet outil technologique est effectivement une activité professionnelle « essentielle » … pour nos gouvernants. Elle leur permet d’asseoir leur contrôle sur la population.
[158] Par exemple via l’identité numérique (projet ID 202) si chère à toutes les organisations supranationales (ONU, Europe, FEM) ou la monnaie numérique (CBDC : Central Bank Digital Currency) qui donne potentiellement au pouvoir politique un puissant levier de contrôle des moyens de subsistance des individus.
[159] Cette idée est largement détaillée dans mon livre précédent LPMP.
[160] Xi Jin Ping en Chine, Poutine en Russie et l’administration Biden aux USA défendent chacun une forme d’impérialisme qui, pour survivre à la mondialisation, doit soit s’étendre et écraser les autres dans une guerre mondiale, soit fortifier son opposition aux autres en augmentant son arsenal militaire, ce qui va à l’encontre de l’esprit même d’une mondialisation. Actuellement, ils semblent mettre en sourdine leurs conflits parce qu’ils ont tous un intérêt commun qui est de détruire les démocraties incompatible avec leurs projets impérialistes.
[161] Le nombre de milliardaires a fortement augmenté et la part des richesses mondiales aux mains d’une minorité de ploutocrates a encore augmenté durant la pandémie.
[162] L’exemple de Ursula von der Leyen qui a traité directement avec Albert Bourla un contrat à 40 milliards d’euros, sans que personne n’ait accès ni aux SMS de sa négociation ni aux contrats eux-mêmes signe le niveau de collusion et d’opacité qui gangrène nos hautes sphères politiques.
[163] Klaus Schwab, dans son discours introductif du 16 janvier 2023 au FEM déclarait solennellement devant 30 chefs d’état, 56 ministres des finances, 19 gouverneurs de banques mondiales et 39 chefs d’organisations mondiales (ONU, FMI, OMC…), que l’année 2023 était « l’année de la polycrise ».
[164] Je pense en particulier à JD Michel, anthropologue de la Santé à Genève (www.anthropo-logiques.ch), au mathématicien Vincent Pavan et à la normalienne et psychologue Ariane Bilheran, auteurs de: « Le Débat Interdit : Langage, Covid et Totalitarisme » (Ed. Guy Tredaniel), à Laurent Mucchielli, auteur de « La Doxa du Covid, Peur, santé, corruption et Démocratie »(Ed Eolienne), à l’énarque Eric Verhaeghe éditeur du site Le Courrier des stratèges, à Laurent Toubiana, auteur de « Covid 19, une autre vision de la pandémie. Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas » (Ed L’Artilleur), à l’avocat américain Robert Kennedy Jr (site <Children Heath Defense>) auteur de « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma. Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », à l’avocat germano-américain Reiner Fuellmich qui, devant le refus de toutes les juridictions classiques a décidé d’organiser, assisté de centaines d’avocats internationaux et nationaux, un « Grand Jury Corona » public fondé sur le droit naturel.
[165] Je songe, par exemple, aux manœuvres actuelles de modifications de l’IHR et du « traité pandémie » à l’OMS décidées au G20 de Bali en novembre 2022 qui risquent de supprimer à tous les états membres une partie importante de leur souveraineté. (https://childrenshealthdefense.org/defender/who-proposals-sovereignty-totalitarian-state).
[166] K Schwab ne cache pas son admiration pour le mode d’organisation politique de la Chine et sa surveillance de la population par des moyens technologiques très sophistiqués.
[167] Soit le Président Macron et ses six principaux ministres.
[168] L’exemple d’Emmanuel Macron est paradigmatique de l’efficacité de ce sponsoring des candidats aux élections par les « puissants » de ce monde.
[169] Il paraît que plus de 25.000 lobbyistes travaillent à Bruxelles autour des quartiers de l’Europe soit sept fois plus de lobbyistes que de parlementaires….
[170] En France, la FAF a formé de nombreux hommes politiques : Alain Juppé, François Hollande, François Léotard, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, Emmanuel Macron, Najad Valaud-Belkacem, Marisol Touraine, Fleur Pellerin, Bruno Leroux, Jacques Toubon, Valérie Pecresse, Nathalie Kosciusco-Morizet, Eric Raoult, Laurent Wauquiez, Pierre Mariani, Emmanuel Mignon etc… des hauts responsables médiatiques et industriels : Jean-Marie Clombani , Louis Dreyfus et Erik Izraelewicz (le Monde), Laurent Joffrin (Libération), Matthieu Croissandeau (l’Obs), Denis Olivennes, Emmanuel Chain, Annick Cojean, Chritine Ockrent (Europe 1), Matthieu Pigasse (banque), les patrons d’Axa, d’Areva, de Wendel, de Michel et Augustin, de Bla-Bla car. Un des dirigeants du comité directeur du Bilderberg, Henri de Castries, est un ancien YL. Aux USA, la FAF a formé, entre autres, Hilary et Bill Clinton,
[171] Cfr le livre du journaliste d’investigation, Lionel Astruc : « L’art de la fausse Générosité : La Fondation Bill et Melinda Gates» actes Sud (Ed. Actes Sud)
[172] Il opère avec la question de la faim dans le monde de la même façon qu’avec la santé mondiale : en offrant sa générosité (via sa fondation) pour l’amélioration de l’alimentation des pays pauvres tout en engrangeant (via son Trust) des bénéfices substantiels dans l’industrie des OGM dont il fait une promotion massive au sein de ses ONG.
[172] J’ai été étonné de découvrir que, sur le site internet du FEM, la photo de Bill Gates côtoie celle de K. Schwab.
[173] Blason fortement terni par la publicité médiatique faite, par ses nombreux procès aux USA et en Europe, autour des méthodes très peu éthiques auxquelles il a eu recours pour devenir cet homme le plus riche de la planète.
[174] Le titre de « Docteur » de Tedros Ghebreyesus est lié à son « doctorat en santé communautaire »
obtenu au Royaume Uni après une formation en biologie en Ethiopie.
[175] La vaccination anti-polio aux Indes a provoqué des paralysies flasques chez des centaines de milliers d’enfants entre 2000 et 2017 ; le vaccin contre la méningite en Afrique a provoqué 10 % de paralysies , celui contre le HPV, aussi en Afrique, a provoqué le décès de 70jeunes filles sur les 23.000 vaccinées ; le vaccin expérimental contre la malarias a donné 20% d’effets secondaires graves et 150 décès de nourrissons ; Un vaccin prétendument antitétanique mais en réalité abortif a a causé d’énormes dégâts au Kenya
[176] J’ai été étonné de découvrir que, sur le site internet du FEM, la photo de Bill Gates côtoie celle de K. Schwab.
[177] Titre du livre : « La Prochaine Pandémie. Nous ne sommes pas prêts ». Voir à ce propos l’article : www.charliehebdo.fr/2020/05/economie/bill-gates%E2%80%AF-faux-robin-des-bois-mais-vrai-requin/
[178] En 1975, il tenait une conférence TED dans laquelle il avertissait déjà son public (sa future clientèle) que « aujourd’hui le plus grand risque de catastrophe mondiale ne ressemble pas à ceci (photo d’une explosion nucléaire) mais à ceci (photo d’un virus influenza). Si quelque chose devait tuer plus de 10 millions de personnes dans quelques décennies, il y a plus de chances que ce soit à cause d’un virus très infectieux plutôt qu’à cause d’une guerre ». Il est vrai qu’il a plus investi dans les vaccins que dans les armes.
[179] Fauci déclarait déjà en 2017 (deux ans avant la pandémie !) que « il ne fait aucun doute qu’il y aura un défi pour la prochaine administration en matière de maladies infectieuses…mais il y aura aussi une épidémie surprise », phrase qui évoque le papa qui annonce une « surprise » à ses enfants. Elle les surprendra peut-être mais lui, manifestement pas puisqu’il est au parfum (vous avez dit plandémie ? vous êtes des complotistes !).
[180] L’exemple type est celui de Astrid Stuckelberger, brillante professeure de santé publique à l’université de Genève, employée à l’ONU et à l’OMS et en passe de devenir cheffe d’un service dans cette institution. Elle a brusquement perdu son poste à l’Université et à l’OMS très vraisemblablement parce que sa conception « holistique » et transculturelle de la santé publique n’était pas en phase avec la « religion médicale » de BG.
[181] Des définitions essentielles comme celles de l’immunité, du vaccin, des épidemies et des pandémies ont déjà été modifiées discrètement ces dernières années, ce qui a permis d’appeler une « pandémie » une épidémie « par plus meurtrière que les épidémies grippales » (J.Ioannidis) et d’appeler « vaccin » une thérapie génique encore expérimentale.
[182] https://jamesroguski.substack.com/p/50-really-bad-amendments
[183] Par exemple la BD « SOS Bonheur » de Van Hamme et Griffo en 2016.
[184] https://www.facebook.com/evamarge/videos/346988670541246/
[185] Yuval Noah Harari, le conférencier fétiche de Klaus Schwab ne cache pas les intentions des transhumanistes du FEM : « La Covid est essentielle parce ce que c’est ce qui convainc les gens d’accepter, de légitimer la surveillance biométrique totale. Si nous voulons arrêter cette épidémie, nous ne devons pas seulement surveiller les gens, nous devons surveiller ce qui se passe sous leur peau »
[186] Yval Noah Harari, conférencier choyé par Klaus Schwab explique sans complexes à son auditoire que « le libre arbitre, c’est fini. L’homme n’est qu’un animal piratable (par les biotechnologies de l’information) »
[187] L’idéal du monde futur selon Klaus Schwab est de parvenir à « fusionner les mondes physique, biologique et numérique …par de implants cérébraux reliés à l’intelligence artificielle d’un ‘cloud’ mondial ».
[188] Par exemple par le congrès annuel du CHAM à Chamonix sponsorisé par l’industrie pharmaceutique
[189] Tout l’argent gagné par l’industrie pharmaceutique est de l’argent public (celui des assurances santé). Si un organisme mondial avait organisé, de façon non marchande la recherche et la création de médicaments à la place de Big Pharma, des économies considérables auraient pu être réalisées parce que l’esprit et la finalité réelle de la médecine n’auraient pas été pervertis comme ils le sont aujourd’hui.
[190] « Big Pharma Démasqué ! De la Chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé » Ed Guy Trédaniel, 2021.
[191] le Vioxx® a fait entre 25 et 40.000 morts aux USA, l’Oxycontin® est responsable d’un demi million de décès par overdose, le Mediator® qi en a fait en France entre 1.500 et 2.100 décès et dix fois plus de « cardiaques », la multiplication des vaccins infantiles est très probablement l’explication de l’explosion des cas d’autisme infantile aux USA. La fréquence de cette maladie est passée de 1 cas/1.000 naissances en 1983 (10 doses de vaccin) à 1 cas pour 150 naissances en 2008 (36 doses de vaccin) et 1 cas pour 88 naissances en 2013 (46 doses de vaccin).
[192] Par exemple, les amendes cumulées par la firme Pfizer est de 5 milliards de dollars rien qu’aux USA et plus du double dans le monde.
[193] L’exemple du soutien manifeste de l’antiviral Remdesivir de Gilead au début de la crise (retiré ensuite du marché en raison de son inefficacité et des sa toxicité) par deux experts faisant partie du Conseil scientifique comme Karine Lacombe et Yazdan Yazdanpanah n’est qu’un exemple parmi des milliers d’autres.
[194] En date du 03/02/2014, la Commission européenne signalait que « dans le secteur de la santé, la vulnérabilité à la corruption est généralisée…les commissions occultes et la corruption dans les marchés publics et le secteur pharmaceutique restent préoccupants. »
[195] Le 24/10/2017, on peut lire que « le rapporteur de l’ONU, D.P. a appelé les Etats à fournir une gouvernance hardie pour contrer la corruption et son impact sévère sur le droit à la santé, incluant plus de protection des lanceurs d’alerte et un encouragement du public à dénoncer la corruption ».
[196] Par exemple Richard Horton, directeur du Lancet, Marcia Angell, ex-directrice du NEJM, Peter Doshi, rédacteur en chef du BMJ, John Ioannidis, professeur d’épidémiologie à Stanford qui publiait déjà en 2005 un article dans « Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux ? »
[197] L’exemple du débat contradictoire à propos de l’origine du virus Sars-Cov 2 est particulièrement démonstratif de cette corruption à grande échelle de la « vérité scientifique ». Les articles défendant la thèse (indéfendable) d’une origine naturelle ont trouvé une place de choix dans les revues de réputation mondiale au point de parvenir à faire croire au grand public que cette thèse était devenue un « consensus » dans la communauté scientifique. Aujourd’hui, trois ans plus tard plus personne ne croit encore à cette thèse. Même le Congrès américain et le directeur de l’OMS (en privé) reconnaissent que la thèse du « lab leak » est la plus probable. De plus, des documents obtenus par voie judiciaire (FOIA) démontrent que des gens aussi puissants aux USA que Anthony Fauci, ont manipulé les réseaux sociaux et la presse pour décrédibiliser dans le grand public la thèse de l’origine naturelle.
[198] Il est décrit par l’AFP comme « un forum privé dont les échanges restent secrets ».
[199] Heureusement, ce médicament hors de prix (1.340€ le traitement) a été interdit très rapidement après son « autorisation sous condition » en raison sa faible efficacité et de sa toxicité rénale et hépatique.
[200] Officiellement, selon Euro for docs : 135.000 € d’avantages entre 2012 et 2019.
[201] Le lendemain de la dissolution du Conseil scientifique, son Président, JF Delfraissy confiait publiquement que « le pouvoir sur les vaccins a été pris par les industriels »
[202] Estimé à 9.000 milliards de dollars.
[203] Lire à ce sujet l’article très documenté de Johnny Vedmore : https://reseauinternational.net/dr-klaus-schwab-ou-comment-le-cfr-ma-appris-a-ne-pas-minquieter-et-a-aimer-la-bombe
[204] La réunion à Strasbourg réunissait quatre personnalités françaises très engagées dans la dénonciation du « scandale de la Covid » : Virginie Joron, députée européenne (RN), deux chercheurs universitaires de haut niveau (Vincent Pavan, mathématicien et Emmanuelle, informaticienne), membres actifs du Conseil Scientifique Indépendant, qui enquêtent depuis deux ans sur ce sujet, et le journaliste et patron de France Soir, Xavier Azalbert. https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-chercheurs-vincent-pavan-et-emmanuelle-darles-entendus-au-parlement-europeen.
[205] Les deux exemples qui me viennent à l’esprit sont Albert Bourla, directeur d’une firme pharmaceutique multicondamnée (pour tromperie, charlatanisme, corruption etc) et que notre présidente de la commission européenne décore solennellement du prix de l’Atlantic Council et Bill gates qui, sans aucune légitimité démocratique ni aucune autorité médicale a mené tambour battant une croisade « provax » fondée sur une religion vaccinale dénuée de fondement scientifique.
Lettre ouverte à mes consœurs et confrères généralistes (mars 2025).
Chère Consœur, cher Confrère,
Depuis cinq ans, vous avez été soumis, de gré ou de force, à des injonctions sanitaires et médicales imposées par des autorités politiques. Ces ordres étaient dénués de toute validation scientifique puisqu’ils n’étaient pas fondés sur un « débat contradictoire », seul véritable garant de l’autorité de la Science.
Quand allez-vous organiser entre vous cet indispensable débat, que les dites « autorités » refusent obstinément ? C’est en effet son absence qui a généré le clivage idéologique (« complotistes » versus « loyalistes ») qui divise votre communauté autrefois homogène. Seul un débat rationnel sur le sujet pourra rétablir la vérité et la paix. Nos « autorités » n’ayant aucun intérêt à ce que la vérité soit faite, qui peut s’en charger sinon vous ?
« L’obéissance aveugle en l’autorité est le plus grand ennemi de la vérité » Albert Einstein
Je suis un interniste/cardiologue âgé de 76 ans, retraité et très attaché à la médecine générale que j’ai pratiquée avec bonheur pendant sept ans. J’ai été très heureux d’abandonner, en 2018, un système médical qui me semblait avoir perdu son âme. Lorsque la crise sanitaire est arrivée, je m’en suis totalement désintéressé, jugeant sa gestion complètement « folle » parce qu’en contradiction flagrante avec tous nos principes éthiques et le plus élémentaire bon sens clinique.
J’ai été brutalement réveillé de ce désintérêt lorsque, forcé de voyager, j’ai dû me faire vacciner. J’étais pourtant très méfiant vis-à-vis de cette nouvelle technologie dont une amie proche, biologiste dans un grand labo, me parlait depuis 30 ans. Toutefois, au début de la crise, un seul médicament à base d’ARNm avait reçu une AMM (pour le mélanome malin métastatique) et la plupart des oncologues ne l’utilisent plus tant ses effets secondaires sont importants.
Avant de me faire injecter, j’ai donc été lire les comptes rendus des essais cliniques dans les revues qu’un interniste considère comme les plus scientifiquement fiables (NEJM, Lancet, BMJ) et, devant leurs conclusions très rassurantes en matière de sécurité et d’efficacité, j’ai accepté l’injection.
Bien mal m’en a pris puisque dans les trois jours qui ont suivi ma seconde dose, j’ai brusquement « vieilli de dix ans », ce qui a mis une fin apparemment définitive à mes importantes activités physiques. Découvrant alors dans ma famille de nombreux autres effets secondaires, aussi ou même plus graves, et observant une gestion de la crise pilotée par des autorités politiques et manifestement inspirées des méthodes incitatives du marketing commercial, j’ai eu le sentiment très fort que « On » nous mentait.
Toutefois, ce « on » désignait manifestement des acteurs non identifiés de niveau mondial (vu l’inexplicable unisson des stratégies nationales) et qui ne pouvaient pas correspondre à l’OMS (la seule autorité sanitaire légitime au niveau mondial) puisque les mesures imposées étaient en contradiction flagrantes avec les « plans pandémie » de cette institution. Les organisateurs de cette stratégie « sanitaire » ne pouvaient être que des acteurs de l’ombre extrêmement puissants, agissant à un niveau supranational mais clairement dépourvus de toute légitimité médicale ou démocratique..
J’ai alors décidé d’entreprendre une enquête fouillée sur internet qui m’a occupé à plein temps durant 6 mois. Aucun médecin en activité n’aurait eu le loisir de réaliser cette recherche parce qu’il est rapidement devenu évident que toute l’information publique (presse mainstream, réseaux sociaux, GAFAM etc) concernant la Covid et la gestion de la crise était l’objet d’une censure aussi discrète qu’efficace (grâce aux performances des algorithmes des GAFAM).
Cette censure (aujourd’hui confirmée par de nombreux procès et enquêtes parlementaires) est une pratique totalement inacceptable dans une démocratie mais ici, elle était manifestement tolérée et même secrètement approuvée par nos « autorités ». Cette découverte a déclenché chez moi une colère qui, depuis n’a fait que s’amplifier. Le médecin « libéral » que je suis - et que vous êtes tous - a la liberté chevillée au corps et l’idée que nos responsables politiques censurent nos libertés légitimes m’est intolérable.
Il fallait donc chercher d’autres sources d’information dans des réseaux non-censurés, ce qui m’a pris beaucoup de temps. De plus, par souci de rigueur scientifique, je n’ai retenu que les voix des médecins et scientifiques plus diplômés que moi. J’ai ainsi découvert qu’ils étaient nombreux mais que leur voix était systématiquement ignorée par les médias ou même activement décrédibilisé par des « fact-checkeurs » totalement ignares dans le domaine qu’ils prétendaient « corriger ».
J’ai donc alors acquis l’intime conviction que nous étions tous l’objet d’une vaste campagne mondiale de désinformation visant à utiliser le prétexte d’une prétendue pandémie pour servir un objectif purement politique : la mise en place de ce « Nouvel Ordre Mondial » dont il est beaucoup question depuis plusieurs décennies dans les milieux mondialistes. Aujourd’hui encore beaucoup de résistants refusent d’assumer le titre de « complotistes » qu’ils pensent infâmant tant l’explication par un complot mondial leur semble « incroyable » au sens étymologique du terme.
Ce projet politique du « Nouvel Ordre Mondial » est activement soutenu par le Forum Economique mondial (FEM) qui, officiellement, n’est qu’un simple « lobby » mais qui, devenu mondial, est parvenu court-circuiter les processus de contrôle démocratiques des dépenses publiques en créant un « partenariat Public-Privé » (le slogan phare du FEM) qui met directement en contact les décideurs politiques et les géants du commerce mondial. Le meilleur exemple de cette atteinte directe au processus démocratique est la façon « occulte » dont les contrats des Vaccins Pfizer (71 milliards d’euros !) ont été gérés par texto par Ursula von der Leyen elle-même alors qu’elle ne dispose d’aucun mandat légitime pour remplir cette fonction.
Cela signifie que cette « pandémie » repose sur un véritable « complot » des élites économico-financière mondiale, visant à prendre le contrôle du pouvoir politique du nouvel « état mondial ». Pour ce faire, ces « maitres du monde » sont parvenus en quelques décennies à « vassaliser » toutes les élites politiques de nos pays dits démocratiques en soutenant financièrement l’ élection de très jeuns candidats qu’ils ont initié à leur propre vision de la mondialisation via l’école des cadres des « Young global Leaders » du FEM (il a formé la plupart des chefs d’états de nos démocraties). Mon analyse pourrait être aisément qualifiée de délire complotiste tant elle ressemble aux romans de science fiction mais je constate qu’elle rejoint l’analyse de nombreux autres « complotistes » arrivés, par d’autres voies que la mienne, aux mêmes conclusions.
J’assume donc pleinement aujourd’hui le titre de complotiste que je juge aussi honorifique que celui de lanceur d’alerte (statut protégé par la loi). L’ambiguïté du terme (complotisme délirant versus rationnel) a été exploitée intentionnellement par les autorités et les médias dans le but de décrédibiliser, avant qu’elle ne s’amplifie, l’hypothèse (parfaitement rationnelle) du complot politique mondial. C’est d’ailleurs la CIA qui a inventé cette technique pour cacher ses propres complots (assassinat de Kennedy, attentat du WTC, guerre au Vietnam et en Irak etc…).
Nous somme tous, médecins et patients, victimes d’une gigantesque manipulation médiatico-politique que la presse mainstream et une censure aussi efficace qu’illégitime tentent (avec de moins en moins de succès) de nous empêcher de voir. Ouvrez un instant la porte, dans votre esprit, à cette « incroyable » hypothèse et vous verrez que subitement, tout ce qu’il s’est passé depuis cinq ans « prend sens », devient cohérent, comme un tableau clinique au terme d’une longue investigation d’un cas difficile.
La nomination par le Président Trump à la tête de tous les organismes officiels responsables de la Santé publique des USA (CDC, FDA, NIH, …), de personnalités jusqu’alors qualifiée par l’administration Biden et la presse mainstream de « complotistes », va forcer la planète entière (et chacun de vous) à ne plus se contenter de la seule « doctrine » officielle de la pandémie puisque les thèses complotistes sont aujourd’hui défendues par l’équipe au pouvoir de la première puissance économique mondiale. Ceci va enfin permettre que s’ouvre un véritable débat contradictoire public dans lequel les arguments des complotistes (parfaitement rationnels et scientifiquement étayés, je vous l’assure) seront confrontés à ceux de la thèse officielle. Je n’ai aucun doute qu’au terme de cette confrontation rationnelle, le projet élaboré patiemment par la caste mondialiste va s’effondrer comme un « château de cartes », ouvrant la porte à une véritable « apocalypse » (mot qui signifie seulement « révélation »). Tout ce que nos « élites » politiques nationales et mondiales nous ont caché depuis des décennies va être connu de tous.
Il est donc hautement probable que, tout comme le système communiste s’est écroulé avec le mur de Berlin, l’empire capitaliste néolibéral et ses mensonges ne vont pas survivre à la « révélation » de ses méthodes et de ses projets profondément inhumains. Le seul frein qui empêche encore la réalisation de cette apocalypse est la peur que nous éprouvons tous de voir s’écrouler tous nos repères habituels.
Le débat contradictoire est, depuis plusieurs siècles, la voie royale de l’établissement, en Science, de la vérité scientifique et, en démocratie, des consensus acceptables. Or, c’est précisément ce débat que nos autorités politiques ont délibérément empêché depuis le début de la crise. Rappelez-vous : le président du conseil scientifique, JF Delfraissy, très conscient que seul, il ne pouvait aucunement garantir le caractère scientifique de son « Conseil », a demandé à trois reprises au Président Macron de « démocratiser » le débat. Sa demande lui a chaque fois été refusée et, depuis lors, tout est fait en haut lieu pour que ce débat n’ait jamais lieu.
La vraie Science - celle dont se nourrit la médecine - a donc été en réalité totalement absente de la stratégie sanitaire imposée à la planète entière durant ces cinq années. Le pouvoir médical dont chacun de vous a été investi sur base de sa longue formation et de son adhésion aux règles éthiques du serment d’Hippocrate (liberté diagnostique et thérapeutique) vous a été volé par la force et de façon totalement illégitime par des « autorités » politiques dénuées de toute autorité ou légitimité médicale. De plus, ces « autorités » nationales étaient manifestement aux ordres de puissances « mondialistes » occultes puisque tous les pays ont adopté la même stratégie éthiquement inacceptable. Nos dirigeants politiques sont donc coupables de « haute trahison » puisqu’ils ont vendu leur âme (nos principes et libertés démocratiques) à une « puissance étrangère », la caste mondialiste. L’incroyable unisson mondial de la réponse stratégique ne peut en effet s’expliquer sans l’intervention d’un tel « pouvoir mondial occulte». Lui seul était capable financièrement d’organiser ces gigantesques campagnes médiatiques mondiales et sans elles, jamais une politique sanitaire aussi brutale n’aurait été acceptée. Vous avez été victimes, comme nous tous, « manipulations psychiques » (techniques de la « guerre cognitive ») délibérées. Toute l’étrangeté de cette « pandémie » (étrange aux yeux du clinicien) ne prend sens que si on l’interprète comme le symptôme d’un véritable « complot » visant - comme tous les innombrables complots de l’Histoire - à s’emparer du pouvoir sur une population, c'est-à-dire, dans une démocratie, à voler le pouvoir au peuple, son seul détenteur légitime.
Tous ceux qui s’intéressent quelque peu à la géopolitique savent bien que la mondialisation est le défi majeur du XXIème siècle et il serait vraiment étonnant qu’un tel enjeu n’attise pas la convoitise des puissants de ce monde. La caste mondialiste s’est en fait subrepticement organisée ces dernières décennies dans des think tanks privés aussi puissants que confidentiels et avec l’aide logistique du FEM, sorte de « cocktail » mondain annuel où ne sont invitées que les élites politiques, économiques et financières de la planète (les gueux, le peuple, n’y ont aucune place). Son slogan phare, le « partenariat Public-Privé », n’est qu’une version maquillée du projet politique du fascisme défini comme la collusion entre les élites politiques et économiques d’un pays.
Les puissances économiques mondiales possèdent déjà le contrôle des deux premières « clés du pouvoir », l’argent (Black Rock etc) et l’information (les Gafam, AFP, Reuters, AP etc). Pour acquérir le pouvoir absolu, il ne leur restait qu’à voler le pouvoir politique qui, officiellement, appartient au peuple.
Savez-vous que ce vaste projet de gouvernance mondiale est, à l’insu de ce peuple, l’objet, depuis 2013, de réunions annuelles à Dubai (le « World Government Summit », création du FEM). A ces grand-messes sont conviés des centaines d’élites politiques et économiques de tous les pays pour discuter, à l’abri de toute interférence démocratique, de l’organisation de ce « Nouvel Ordre Mondial ». La mondialisation est donc, pour cette caste, une opportunité rêvée de se débarrasser définitivement de nos « démocraties défaillantes » (dixit Klaus Schwab, le patron du FEM).
Cette pandémie, secrètement planifiée depuis des décennies par des « exercices de simulation » sur table (https://www.youtube.com/watch?v=d3WUv5SV5Hg) a permis de familiariser les autorités sanitaires et politiques (invitées) de tous les pays à l’idée qu’il allait falloir un jour ou l’autre faire face à une pandémie mondiale. Or, cette hypothèse ne repose sur aucune base scientifique puisque toutes les épidémies s’éteignent spontanément après quelques mois. Elle n’est en réalité qu’un moyen de vendre une « vaccination » mondiale en créant la panique.
Cette vaccination elle-même n’avait en réalité aucune finalité sanitaire. Elle n’était que le « banc d’essai » d’un projet d’identification numérique (ID 2030) explicitement tenu pour fondamental par la caste mondialiste, c'est-à-dire un projet le puçage électronique de toute la population mondiale, comme il se fait pour le bétail. Souvenez-vous des curieux effets magnétiques et des codes « mac » (signaux bluetooth) décelables chez les vaccinés au début des campagnes de vaccination. Je prenais moi aussi ces informations pour des fake news juqu’à ce qu’un paysan du causse, inculte et illettré, m’explique en détail comment il faisait tenir sur son bras vacciné une pièce de 1 €. J’ai aussi pu vérifier par moi-même la présence de ces étranges signaux « mac » chez des sujets ne portant sur eux aucun appareil « connecté » ou électronique.
Le clinicien à l’habitude de donner à certains signes cliniques parfois minimes une valeur diagnostique décisive qui balaie toutes les vérités statistiques seules reconnues par l’ « évidence based medecine ».
Dans cette « guerre » des puissants, vous, les médecins généralistes, avez été à votre insu, à la fois la cheville ouvrière de ce plan mondialiste et la « chair à canon » de leur guerre des titans. Votre acceptation plus ou moins forcée de cette stratégie était la condition sine qua non du succès de cette politique « sanitaire » brutale totalement anti-déontologique. Il fallait donc absolument, pour que leur plan réussisse, vous écarter des lieux de décision (1 seul généraliste siégeait au Conseil Scientifique) et même de la première ligne des soins (ce qui est votre fonction spécifique) de façon à vous isoler de ceux qui vous font habituellement confiance sur le plan médical. Pour ce faire, ils vous ont interdit de visiter et même de soigner vos malades !!! (une première dans l’histoire de la médecine). En fait, vous avez été dépossédés illégitimement des prérogatives spécifiques à votre formation et vous avez été massivement et délibérément trompés par des élites politiques vassalisées par ces puissances mondialistes qui se servent d’eux comme de pions obéissants et totalement soumis à leur projet politique mondialiste.
Aucun gouvernement national n’aurait eu individuellement les moyens de financer les campagnes médiatiques de « sensibilisation » au prétendu « danger majeur » de cette pandémie puis à la promotion d’une prétendue vaccination par une substance génique encore au stade expérimental. Seule la création délibérée d’une panique mondiale a permis à ces « autorités » de l’ombre d’imposer à la planète une stratégie sanitaire en contradiction avec les principes de gestion des pandémies établis par l’OMS et avec de nombreuses règles éthiques de la médecine et de la pharmacovigilance. Or, en France, les statistiques officielles démontrent de façon incontestable qu’il n’y a aucun signe de pandémie meurtrière de 2020 à 2023 (cfr livre de P Chaillot, dont les données n’ont jamais été contesté sur le plan scientifique) et, qu’au contraire, les vaccinations ont causé 12 millions de décès supplémentaires (cfr les analyses détaillées du physicien canadien Denis Rancourt).
On est en donc droit d’évoquer ici l’organisation d’un véritable complot visant à déposséder le peuple de son pouvoir politique. Ces puissances de l’ombre sont arrivées à réaliser cela en pervertissant totalement notre système démocratique et ses élections par la corruption et la trahison, par nos élus, des principes démocratiques qu’ils sont censés défendre.
Après cinq ans de clivage idéologique profond de votre communauté médicale, de vos patientèles et même de chacune de vos familles, nous allons enfin nous trouver forcés, grâce à cette révolution « populiste » aux USA, d’aborder rationnellement tous les points du litige et les soumettre au tribunal d’un « débat contradictoire » public.
Je suis convaincu que vous pourriez jouer ici un rôle central puisque vous êtes les seuls médecins pouvant se targuer d’une connaissance concrète des épidémies. Tous les « spécialistes de plateau » qui ont soutenu la stratégie sanitaire du gouvernement n’ont jamais vraiment vécu, comme vous, une épidémie et, pour beaucoup, n’ont aucune expérience clinique de terrain. Il suffirait que vous vous réunissiez localement avec vos collègues proches en petits groupes et discutiez ouvertement entre vous des arguments de l’ « hypothèse complotiste » sur base de données scientifiquement et statistiquement établies. Il existe en effet aujourd’hui de nombreux ouvrages publiés qui remplissent ces conditions mais ils sont violemment critiqués et décrédibilisés par tous les médias aux mains des puissances mondialistes.
Il suffirait pour cela que tous ceux qui croient encore que les complotistes sont des paranoïaques aient l’honnêteté intellectuelle de lire ces livres (qui démontrent de façon incontestable l’arnaque politique de la désinformation dont vous avez été tous abreuvés durant cinq ans). Je propose à cette fin une liste non exhaustive de livres que je considère comme parfaitement conformes aux exigences de la Science.
C’est avec une consternation grandissante que j’ai assisté, au cours des dernières décennies, à la dévalorisation de votre fonction, c'est-à-dire de ce que je considère, par expérience, comme la seule vraie médecine holistique, au profit d’une médecine spécialisée de plus en plus technique et algorithmique et au remplacement progressif de l’approche clinique qui fait tout l’attrait, toute la richesse et toute la profondeur humaine du métier de médecin, par une approche technique limitée aux seules dimensions objectives et mesurables de notre organisme (l’Evidence Based Medecine).
C’est cette déshumanisation de la fonction médicale au nom de la prétendue toute-puissance de la Science (ici pourtant bafouée) qui a permis la mainmise progressive des pouvoirs politiques et économiques (big pharma en tête) sur la sacrosainte liberté diagnostique et thérapeutique des cliniciens et tout particulièrement de vous, les médecins généralistes, les seuls praticiens traitant les trois dimensions de la santé (physique, psychologique et sociale) reconnues par l’OMS.
La crise sanitaire n’est que le révélateur de cette dérive scientiste et déshumanisante de la médecine. Dans sa naïveté et son assurance d’homme d’affaire autrefois « le plus riche de la planète », Bill Gates reconnait publiquement et sans aucun complexe une idée qui est au cœur des convictions idéologiques de tous les « complotistes » : « La pandémie a été un test grandeur nature de gouvernance mondiale ».
Au cours des dernières années, nous avons appris peu à peu que la plupart des idées dites « complotistes » étaient en réalité parfaitement exactes et, depuis l’investiture des nouvelles autorités sanitaires aux USA, le voile du mensonge se lève bien plus vite que nous aurions pu l’imaginer il y a quelques mois. Si donc vous ne voulez pas vous trouver d’ici peu cloué au pilori par vos patients il est urgent que vous preniez connaissance, avant eux, des informations censurées depuis cinq ans et que vous les avertissiez vous-même et de préférence collectivement (par exemple par par un avis dans vos salles d’attente ou la mise à la disposition de votre patientèle de ma lettre) de l’ampleur mondiale de la mystification. Ils pourront comprendre d’autant mieux votre erreur qu’ils ont eux-mêmes été bernés par le même discours.
Le conflit idéologique qui vous divise aujourd’hui va alors disparaître comme un mauvais cauchemar tout comme a disparu celui qui dans l’« affaire Dreyfus », a divisé la France à la fin du XIXème siècle en deux clans devenus, comme ici, incapables d’encore dialoguer. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Dreyfus). Il avait toutefois alors fallu 12 ans avant que ne soit démontrée juridiquement la thèse du mensonge d’Etat (càd d’un complot politique) alors qu’initialement, comme ici, la presse et la population avaient adhéré à l’unanimité à ce mensonge.
Il est bon de rappeler que le caractère injurieux implicite de l’étiquette de « complotiste », n’est aucunement présent dans la définition de ce mot. Le Robert le définit comme un « individu adhérant à une théorie du complot » et le Larousse comme « quelqu'un qui récuse la version communément admise d'un événement et cherche à démontrer que celui-ci résulte d'un complot fomenté par une minorité active ».
En consacrant un peu de votre temps à visionner quelques vidéos particulièrement pertinentes et à lire quelques livres démontrant de façon particulièrement bien documentée et fiable l’arnaque mondiale créée par la caste mondialiste, vous pourrez vous faire une idée du « raz-de-marée » qui se prépare aux USA et peu après, dans le monde entier. Trump - dont je ne partage pas du tout la philosophie politique - semble bien décidé à « assainir le marais » mais la totale inféodation de l’Europe à l’empire américain nous fait partager, depuis des décennies, un marais commun. La commission européenne est aussi corrompue que l’état profond aux USA et l’Europe n’est plus, depuis longtemps un état de droit ou une démocratie.
Je recevrai avec plaisir et intérêt vos réactions, quelles qu’elles soient, ainsi que vos suggestions.
Très confraternellement,
Jean Stevens (F-82.140)
Mail : jean.stevens.po@gmail.com
PS : Si vous approuvez ma démarche, aidez-moi, s’il vous plait, à sa diffusion, partout mais en priorité chez les médecins généralistes parce qu’il est bien difficile, en ces temps de censure, de les atteindre tous individuellement. L’autre population que j’aimerais mettre au courant de ma démarche est l’ensemble de nos élus politique et de nos journalistes mainstream. Dans un délai assez bref, ils vont se trouver forcés de s’intéresser à la « thèse complotiste » et, de ce fait, de reconnaître qu’ils se sont (qu’ils ont été) trompés.
REFERENCES de livres
- Dr Jean Stevens :
« La Pandémie du Mensonge et de la Peur. Un médecin en quête de vérité. (Ed. Augustin de Livois, juin 2022). J’y raconte comment et pourquoi je suis devenu un « complotiste rationnel assumé »
« La Théorie du Complot Démontrée ? Une analyse rationnelle de cette théorie après 4 années de conflit idéologique ». (Ed Augustin de Livois, avril 2024).
« J’accuse le Président Macron de Haute Trahison. Une analyse du délitement de nos démocraties au travers du prisme de la crise sanitaire » (décembre 2024).
Ce manuscrit d’une centaine de pages présente une argumentation rationnelle de la thèse du complotisme assumé défendue par de nombreux autres « complotistes » que moi. Il est déjà disponible en format PDF sur simple demande à l’auteur en laissant vos coordonnées e-mail à l’adresse mail suivante : editions.lheterodoxe@gmail.com . La contribution aux frais est laissée libre à la générosité des lecteurs et sa diffusion n’est protégée par aucun copyright de façon à rendre ce manifeste argumenté accessible au plus grand nombre possible de citoyens.
- Jean-Dominique Michel. (A ma connaissance, les deux ouvrages en français les plus complets, les plus clairs et les plus référencés sur le sujet.)
« Autopsie d’un désastre. Mensonges et corruption autour du Covid ». (décembre 2023) Editions Resurgences, Marco Pietteur
« La Fabrique du Désastre. Qui ? Pourquoi ? Comment ? » (mai 2024) Editions Résurgences.
- Pr. Christian Perronne :
« Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Covid-19, l’union sacrée de l’incompétence» Ed. Le Livre de Poche (janvier 2021)
« Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! » Ed. Albin-Michel (2021).
Deux livres décrivant les réactions de bon sens d’un clinicien, professeur d’Université, qui, avant la crise, était un acteur majeur des campagnes vaccinales en France et en Europe et le « médecin de plateau » référent pour toutes les questions vaccinales. Depuis qu’il a exprimé son opinion, il est interdit de plateau et vilipendé par les « autorités » médiatiques.
- Laurent Toubiana :
« Covid-19 Une autre vision de la pandémie. Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas ». Ed. l’artilleur (2022).
Le témoignage du chercheur qui a mis sur pied le « Réseau sentinelle » qui suivait depuis 20 ans, au jour le jour dans toute la France, l’évolution des épidémies. Il a été totalement « invisibilisé » dans les médias quand il a démontré publiquement que, selon ses statistiques, qui jusque là faisaient autorité, il n’y avait aucun signe d’épidémie inquiétante.
- Laurent Mucchielli :
« La Doxa du Covid (Tome 1) : Peur, santé, corruption et démocratie ». Ed. Eolienne (2022).
La réflexion savante et profonde d’un sociologue sur la transformation de la Science en une véritable doctrine indiscutable, une « doxa »)
- Robert F Kennedy, Jr.
“Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma. Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique ». (2021) Ed. Résurgnces.
Un best-seller aux USA écrit par cet avocat, candidat à la présidence puis nommé par Trump ministre de la Santé. Il est engagé dans la lutte contre les mensonges des autorités sanitaires et de Big Pharma depuis bien avant la crise Covid.
- Christine Cotton :
« Tous vaccinés, tous protégés. Vaccins Covid-19. Chronique d’une catastrophe sanitaire annoncée” Ed. Guy Tredaniel. (2023).
Une lecture de tous les mensonges des « autorités scientifiques » par une experte en biostatistique des essais cliniques.
- Pierre Chaillot :
« Covid-19. Ce que révèlent les chiffres officiels. Mortalité, tests, vaccins, hôpitaux, la vérité émerge. l’Artilleur, Ed. du Toucan (2023) / Le Livre de poche (2024).
Un travail d’analyse fouillé des statistiques officielles qui dément totalement la version officielle.
- Eusèbe Rioché :
« Covid-19, Guerre ouverte contre les peuples. Décryptage des mensonges et de la folie ambiante. Ed. Résurgences (juillet 2023).
L’avis d’un autre statisticien brillant qui tient à rester anonyme (Très documenté).
REFERENCES de vidéos
Revue exhaustive des décisions de Trump et ses conséquences: https://www.youtube.com/watch?v=0-wUaKUPm88
Débat sur TVL : « Covid 19, 5ans après » (panel de complotistes parfaitement compétents et fiables) https://www.youtube.com/watch?v=U-fB-4mLnyU&t=273s
Exposé par l’anthropologue de la santé JD Michel « L’état profond contre la population » : https://www.youtube.com/live/Xj3Z1xKQ8Fg
Cour de justice européenne et obligation d’une ordonnance pour les vaccins: https://www.buongiornosuedtirol.it/2025/02/19/esclusivo-vaccini-covid-la-corte-ue-serviva-la-prescrizione-e-il-medico-poteva-sconsigliarli/
Cour suprème des USA : les ARNm ne sont pas de vrais vaccins : https://www.profession-gendarme.com/wp-content/uploads/2025/02/image-31.png
Martin Zizi, biophysicien de l’armée belge : « les 5problèmes non résolus des ARN messager » : https://youtu.be/KF-3DHJQS-s
L’avocat Juan Branco s’explique sur « le pouvoir oligarchique » :
https://www.youtube.com/watch?v=m-w9aaEgbx4
JD Michel : « un complot à ciel ouvert » : https://www.youtube.com/watch?v=FPfyQ84sLqc
André Berkoff détaille le rapport de la chambre des représentants aux USA (à partir du temps 10 :00): https://www.youtube.com/watch?v=q5jNgjqno9o
- une émission de JD Michel sur sa web-TV à propos des mesures décidées par Trump pour dévoiler tout ce qui nous a été caché par la censure depuis plus de quatre ans. https://www.youtube.com/watch?v=l0NQg8h1bn8
- l’intervention du Pr. Stefan Homburg (internise à l’université de Hambourg) au Bundestag allemand (sous-titrée en français) https://www.youtube.com/watch?v=XFIpgJuiqLE
-Allocution de Vladimir Poutine détaillant le complot mondialiste « criminel » et prophétisant l’ouverture prochaine d’un « Nuremberg 2.0 » : https://amg-news.com/breaking-putin-vows-to-punish-failed-new-world-order-criminals-in-nuremberg-2-0-trials-watch-the-peoples-voice-video/
- Pour ceux qui pensent encore que le Nouvel Ordre Mondial et l’identification digitale sont des fake news (vidéo en anglais sous-titré en anglais):
https://x.com/myhiddenvalue/status/1838699486958571987?t=h-xf93wF2R8kYGcuZn3uKw&s=09
-Explication succincte par l’ex-directeur scientifique de la firme Pfizer, Michael Yeadon, du mensonge de la pandémie et de la fraude des « vaccins ». https://t.me/c/1506356049/13862.
-Allocution de Vladimir Poutine détaillant le complot mondialiste « criminel » et prophétisant l’ouverture prochaine d’un « Nuremberg 2.0 » : https://amg-news.com/breaking-putin-vows-to-punish-failed-new-world-order-criminals-in-nuremberg-2-0-trials-watch-the-peoples-voice-video/